Cher Monsieur,
Je crois avoir mentionné vos nom et prénom tout à l'heure, après Monsieur,
ce qui devrait me valoir une peine non compressible d'interdiction d'accès
à ce forum.
Je m'efforce de rectifier selon les usages de la délicatesse (voir ci-dessus) et
de me faire oublier...
... Non sans préciser toutefois que la "photo à l'enfant lorrain" n'appartient pas à l'album
Au pays des Vandales, mais plus benoîtement à l'un des albums Le Jour ni l'heure.
Rien n'offusque le regard sur ce cliché de la Place Stanislas, et, même, cet enfant
a déjà recueilli plusieurs suffrages élogieux.
On lui sait gré d'être gracieux, photogénique, du coup la photo évoque Robert Doisneau
(si, si, je n'invente rien, voyez vous-même sur Flickr, rapprocher Renaud Camus de Robert
Doisneau semblerait pourtant des plus "improbable", pour parler comme on parle). Et Renaud
Camus se fend lui-même d'un commentaire pour souligner le côté cabotin de cet enfant...
En voilà un qui fait l'unanimité !
Je suis tout prêt moi-même à rendre hommage à sa grâce et, de manière plus sentie
encore, à lui savoir gré d'être apparemment un enfant lorrain au sens cratylien du terme.
Mais où irait-on si les photographies de notre auteur suivaient plus fréquemment l'art
poétique d'un Robert Doisneau (que j'apprécie en tant que photographe daté d'un
monde disparu, quasi-folklorique) et nous présentaient des spectacles de rue "bien
sympathiques" à la sauce populiste (surtout quand on mesure - on ne peut pas toujours
fermer les yeux - ce qu'est, qui est, le peuple aujourd'hui) ?