Why Israel is the world's happiest country

Spengler (excusez-moi cher Maître) nous apporte la bonne nouvelle.

Le pays du bonheur s'appelle Israel

J'aime ce passage où il est écrit - je traduis pour les non-anglophones :

Deux vieilles histoires juives illustrent la mentalité israëlienne.

Deux femmes juives sont assises sur un banc de parc à St Petersburg en Floride. «Madame Levy,» demande la première, «Vous avez des nouvelles de votre fils Isaac de Détroit ?» «C'est terrible» répond Mme Levy. «Sa femme est morte voici un an et l'a laissé avec deux petites filles. Il vient de perdre son emploi de comptable dans une entreprise de pièces détachées pour automobiles, et sa couverture maladie se termine dans quelques semaines. Vu l'état du marché de l'immobilier, il ne peut même pas revendre sa maison. Et le bébé a développé une leucémie qui nécessite un traitement onéreux. Il est seul et ne sait que faire. Mais quelle belle lettre écrite en hébreux - c'est un plaisir à lire.»
Il y a plusieurs niveaux de lecture à cette histoire drôle, mais la pertinente est que des mauvaises nouvelles sont atténuées si elles sont écrites dans la langue de la Bible, qui pour les juifs véhicule toujours l'espérance.

La deuxième histoire implique un homme d'affaire américain qui émigre en Israël peu après sa création. À son arrivée, il commande un téléphone, et attends plusieurs semaines sans réponse. Il finit par se déplacer en personne chez l'entreprise de téléphonie, et se trouve dans le bureau d'un représentant qui lui explique qu'il y a une liste d'attente de deux ans, et aucun moyen de passer devant. «Vous voulez dire qu'il n'y a pas d'espoir ?» demande l'américain. «Il est interdit pour un juif de dire qu'il n'y a aucun espoir !» tempête le préposé. «aucune chance, à la limite.» L'espérance transcende la probabilité.

Mes félicitations, cher PhiX, pour ces traductions parfaites !