Lu (merci, cher Boris) dans "Notes, Journal d'un musicien, Plon 1933, p. 109) :
"L'intransigeance m'agace. Je ne puis concevoir qu'on ait assez peu de sens philosophique, de goût, de mesure et d'espace dans l'esprit pour se contenter d'apercevoir les choses d'un seul côté. Il me semble que le seul vrai charme de la vie, c'est cette délicate et sensible prudence qu'on doit apporter à toute appréciation, à toute solution, l'émotion tremblante de l'esprit à l'approche d'une proie (1)......"
(1) "Léonard, dit quelque part Stendhal, tremblait en prenant les pinceaux"