Le site du parti de l'In-nocence

Communiqué n° 1101 : Sur un appel de personne ayant autorité à la désobéissance à toutes nos lois

Communiqué n° 1101, dimanche 19 septembre 2010
Sur un appel de personne ayant autorité à la désobéissance à toutes nos lois

Le parti de l’In-nocence voit dans l'invraisemblable diatribe faite par un imam à l'occasion d'une manifestation non autorisée à Limoges le 17 septembre dernier, et dont un vidéogramme visible sur Internet fait foi, une nouvelle preuve de ce qu'il faut bien considérer comme la volonté "naturelle" à l'islam d'imposer tôt ou tard, par l'entremise de ce qui se présente comme une religion mais qui est en réalité un système socio-politique complet de soumission intégrale à prétention religieuse, sous un prétexte faussement défensif dont l'histoire a assez montré ce qu'il signifiait, un modèle de société, l'islamique, partout où les musulmans s'installent et deviennent assez nombreux. Le pas décisif dans cette direction est de refuser toutes les lois du pays d'accueil, de les fouler au pied : or c'est ce qui fut fait symboliquement en cette occasion, en invitant les participants à cette manifestation, et au-delà, à en tirer toutes les conséquences.

Le parti de l’In-nocence réclame instamment à MM les ministres Brice Hortefeux et Éric Besson, au cas où cet agitateur aurait la nationalité française, qu'il soit déclaré avoir perdu sa qualité de Français par application de l'article 23-7 du code civil, et, au cas où il ne l'aurait pas, qu'il soit immédiatement expulsé selon la procédure de l'urgence absolue, tant il lui semble indispensable de rappeler sans délai, à cette personne comme à celles qui seraient tentées de le suivre, la nécessité du respect le plus strict de nos lois.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Les journaux, les ministères (intérieur, justice, identité nationale...), les rédactions de radio et de TV, les principaux sites internet, la Grand Mosquée de Paris, le CFCM...
Il me semble tout de même qu'il est un peu abusif de présenter cet agité du bocal comme étant un imam ou ayant une quelconque autorité. Je crois qu'il ne le revendique pas lui-même ("des inconnus comme moi", dit-il dans la vidéo). Il s'agit vraisemblablement d'un membre d'un petit groupe islamiste indépendant complètement paranoïaque qui aime faire parler de lui par des actions en public. Cela dit, ces gens-là sont peut-être finalement moins dangereux que certains dirigeants de l'islam officiel, car ils sont tellement stupides qu'ils sont incapables de manier le double langage et se montrent sous leur vrai jour, aussi caricatural soit-il ; au contraire de personnes comme Tariq Ramadan qui prônent les mêmes idées mais cachées sous un vernis respectable.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Le problème est qu'il n'y a pas de clergé dans l'islam sunnite, donc pas de hiérarchie... Dans notre conception occidentale, le terme d'autorité sous-entend, enfin me semble-t-il, que quelqu'un a conféré un pouvoir à un individu, et que des personnes reconnaissent l'autorité dudit individu. Or rien ne prouve, d'après la vidéo, que cet islamiste soit "officiellement" désigné ou reconnu par qui que ce soit (à part par son groupuscule)... C'est pour cela que parler d'autorité me semble un peu abusif, à moins de considérer que n'importe qui prennant un micro et prétendant parler au nom de l'islam ait autorité.

Cela dit, qu'il ait autorité ou non ne change en rien le caractère purement scandaleux de son intervention, tout comme la passivité de la police à son égard, et le fait qu'il incite à désobéir aux lois et provoque des troubles à l'ordre public est bien évidemment un motif de sanction, qu'il parle au nom de l'islam ou non.
Je suis bien conscient de ce que cela implique et révèle de la mentalité des uns et des autres : il est clair que plus on leur laissera le champ libre, et plus ils avanceront : il suffit pour cela de voir les vidéos en provenance d'Angleterre où les manifestations comme celle-là sont bien plus nombreuses, bien plus haineuses et bien plus décomplexées, entourées même de cordons de policiers qui restent là sans bouger au nom de la sacro-sainte "liberté d'expression".

Voici ce qui nous attend si les pouvoirs publics continuent à laisser faire :


Respect, respect, hurle-t-il dans son micro... Insupportable. Et cette passivité débonnaire de la police qui, pour un esprit simple comme le mien, vaut acceptation... Insupportable.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Et Allah vous a-t-il répondu, cher Didier Bourjon, par la voix de son digne messager ?
(Message supprimé à la demande de son auteur)
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Citation
Florentin
Je me méfierais des pseudo-musulmans...

Bah, il s'agit d'un monothéiste, tout de même, Didier aurait pu tomber sur pire...
(Faut-il un point d'ironie ؟)
Citation

Pédophilie, homosexualité, polygamie, prostitution vous êtes servi dans la bible..

Mère a dû me donner une version bien expurgée et peu croustillante de la bible. Je vais relire sans délai l'édition complète. Laquelle choisir ? Cher Jean-Marc, auriez-vous la bonté de me conseiller ?
".Pédophilie, homosexualité, polygamie, prostitution vous êtes servi dans la bible..."

Un vrai déluge !
Je ne veux pas répondre à la place de Jean-Marc, mais la Pléiade, avec l'Ancien (2 T.) et le Nouveau Testament, les écrits intertestamentaires, les apocryphes (2 T.) et les gnostiques font un superbe ensemble (7 tomes). Les gnostiques (les manuscrits de Nag Hammadi) sont particulièrement passionnants. Il reste à y ajouter l'évangile de Judas, aussi intéressant (qui devrait se trouver dans les apocryphes), édité par Kasser en 2006 (conférence à écouter sur Canal académie).
Je ne veux pas répondre à la place de Jean Marc, moi non plus, mais je recommande, en français, la traduction du chanoine Osty dite Bible Osty, pour l'abondance des notes. Les étudiants en histoire de l'art qui n'ont pas fréquenté le catéchisme ont là de quoi suivre.
Pour la polygamie, la prostitution et l'homosexualité, il est patent que le Bible en parle (je vous rassure, Côme : elle est contre).

Pour la pédophilie, non, car la notion même est récente.

On notera que l'Évangile y fait indirectement référence, à propos des objets de scandale.

Pour la question relative à Aïcha, il y a une grande incertitude. L'âge d'Aïcha n'est pas établi, et dans l'Europe des Temps modernes l'âge de nubilité pour les filles était très bas (entre 10 et 12 ans pour l'Angleterre, voir Michelle Oberman, Gender Issues and the Criminal Law: Turning Girls Into Women: Re-evaluating Modern Statutory Rape Law, [www.jstor.org]) et il est resté très bas en Espagne (13 ans).
Il y a aussi la très belle traduction de Castellion, qu'Henri Bès nous avait présentée ici même (16e siècle). Dommage qu'elle soit un peu chère.
Côme,

Je ne sais si cela répondra à votre attente, mais voici le lien qui vous permet de voir la traduction de la Bible telle que l'église universelle l'utilise dans les pays francophones.

Je ne sais si elle est très poétique, mais elle a pour elle d'appartenir à notre univers culturels, et de ne pas soulever de difficulté théologique qui n'ait été préalablement pesée.

[www.aelf.org]

Vous noterez que tous les chapitres ne sont pas traduits.
Après, comme le dit Bernard et comme le disent les autres, il y a de fort belles traductions, et je n'ai aucune compétence pour dire que telle est meilleure que telle autre... il y en a que j'apprécie, d'autres non...
Chut !
Le silence des médias sur cette manifestation est organisé. Depuis le18 septembre aucun nouvel article selon Google news : (2 articles en tout), 1 seul sur Yahoo.
Je ne sais si l'article de "La Montagne" a été mis en ligne :

Une manifestation de musulmans « révoltés » a eu lieu dans le centre-ville de Limoges, hier soir, entre 17 et 18 heures.

Un homme a harangué les foules à l’aide d’un porte-voix, notamment place de la Motte, puis rue Jean-Jaurès et place des Bancs. Très rapidement, des dizaines de personnes l’ont entouré et l’ont suivi dans les rues de la ville.

Sur une banderole blanche était inscrit en lettres rouges Coran brûlé, musulmans révoltés, en référence à ce révérend de Floride, Terry Jones, qui avait menacé ces derniers jours de brûler le Coran. Alternant langue arabe et langue française, l’homme a lancé selon de nombreux commerçants des « slogans de haine ». « C’était quelque chose de très violent », témoigne une commerçante souhaitant garder l’anonymat.

« Comprenez-moi, je n’ai pas envie qu’ils me pètent la vitrine, je préfère ne pas donner mon nom, ni que mon magasin soit cité. J’en frémis encore. » « Les policiers eux-mêmes ne sortent pas de leur voiture et laissent baissée leur fenêtre », témoignait un autre commerçant.

L’organisateur ferait partie du groupe Sirât Alizza, le même qui avait fait une action antijuive au Mac Donald’s de Limoges en juin. Notre photographe leur a demandé s’il pouvait prendre une photo de la manifestation, comme c’est le cas chaque fois qu’un événement se produit à Limoges « Va-t-en avec ton appareil. Sinon on te casse la gueule. »

Notre journal a tenté de joindre le recteur de la mosquée de Limoges, en vain.


*

Le lundi 20 septembre 2010 à 14:59 par LePopulaire.fr

En raison du grand nombre de réactions comportant des propos insultants, haineux, et racistes, nous nous voyons contraints de supprimer la totalité des commentaires concernant cet article et de ne pas mettre en ligne ceux en attente de validation. Merci de votre compréhension.
Citation
Jean-Marc
Pour la question relative à Aïcha, il y a une grande incertitude. L'âge d'Aïcha n'est pas établi.

C'est inexact, cher Jean-Marc. Les textes islamiques le mentionnent.

Citation

Le messager d'Allah m'a épousée quand j'avais six ans, et il m'a admis chez lui quand j'avais neuf ans.
Muslim, Sahih 8/3310

Khadija est morte trois ans avant que le prophète parte à Médine. Il y est resté environ deux ans et il se maria ensuite avec Aïsha qui était une fillette de six ans ; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage.
Bukhari, Sahih 58/236

Aïsha a rapporté que le messager d'Allah l'a épousée quand elle avait sept ans, elle a été emmenée chez lui à neuf ans comme nouvelle mariée, avec ses poupées, et elle avait dix-huit ans quand il est mort.
Muslim, Sahih 8/3311

[www.islam-documents.org]
Pour un envoyé d'Allah c'est ou monstrueux ou bestial.
Merci, cher Bernard Lombart, cher Florentin et cher Jean-Marc de vos recommandations de lecture. Je ne suis pas croyant au sens strict, mais ma culture est incontestablement chrétienne et les textes bibliques font partie de cet héritage.
Les textes musulmans sont contradictoires à propos d'Aïcha, vous le savez très bien. Par ailleurs, ne nous trompons pas d'époque historique : que Mahomed et Aïcha aient eu une grande différence d'âge, tout le monde est d'accord là dessus. Que les âges aient été imprécis à l'époque, c'est acquis. Que ce trait n'ait pas scandalisé, c'est certain aussi (si le fait avait été à l'époque jugé abominable, pourquoi voudriez-vous que ses sectateurs l'aient ainsi exposé ?).


Prenons garde à ne pas trop charger la barque, en tenant comme vrai ce qui nous arrange. Restons-en à combattre les points indiscutables.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
« Les textes musulmans sont contradictoires à propos d'Aïcha, vous le savez très bien »

Moi pas, cher Jean-Marc. Avez-vous des exemples de citations à opposer à celles qu'a données Félix ?
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Citation
Didier Bourjon
Le point indiscutable, cher Jean-Marc, et vous le savez, et perdre trop souvent du temps jusqu'en ces lieux devient pénible, est que cela fait jurisprudence.

C'est évident...

Mais que vous faut-il pour être définitivement convaincu ?

On peut marier de force des fillettes de moins de neuf ans
Mes sources sont les travaux de Denise Spellberg, qui montre comment le "mythe" s'installe à propos d'Aïcha (le fait qu'elle ne soit pas nubile est une affirmation absolue de sa virginité).

Si vous considérez les hadiths comme parole d'évangile, si je puis dire, libre à vous. Je les considère comme des textes écrits à un moment donné de l'histoire, point.
Phénarète, vous mélangez les textes d'imbéciles actuels avec des textes qui ont plus de mille ans. L'étude des textes chrétiens montre qu'il faut prendre les commentaires des commentateurs comme de simple renseignements, et recouper.

Je trouve piquant qu'on tombe exactement dans le même travers que ceux qui nous brandissent le droit islamique à tout propos.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Didier,

Lisez le livre de cette dame, il est fort bien fait et parfaitement accessible.

Un exemple d'informations "conflictives".

Ibn Kathir écrit, circa 1350, qu' Asma, soeur d'Aïcha, était morte à cent ans, l'an 73 de l'islam, et qu'elle avait dix ans de plus qu'Aïcha. Cela donne, pour Aïcha, un âge de dix-neuf ans au mariage.

Abu Jafar Muhammad Ibn Jarir al Tabari écrit vers l'an 900 que Abu Bakr eut plusieurs enfants, tous nés avant l'islam (Al Tabari nous parle là de l'appel de Dieu à Mohamed). Le mariage de Mohamed étant postérieur à l'Hégire, cela nous donnerait un âge d'un vingtaine d'années pour Aïcha.

On peut en débattre des heures.
Le Coran et les hadiths ne sont pas du même niveau, c'est une erreur que de le prétendre.
L'ouvrage se nomme :

Politics, Gender, and the Islamic Past:
The Legacy of 'A'isha Bint ABI Bakr

Presses de l'Université de Columbia, 1996.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Citation
Jean-Marc
On peut en débattre des heures.

Bien cher Jean-Marc : en effet c'est ce qu'il semblerait, enfin pour ce qui vous concerne, tout du moins...

Ergotez autant que vous le voudrez sur le sexe des Anges et l'âge d'Aïcha... Pendant ce temps le ciel ne cesse de s'assombrir.

N'avez-vous pas entendu Cassandre ?

Vous me direz, plus Cassandre voir l'avenir avec précision, moins on l'écoute. Fâcheuse répétition de l'histoire tout de même... qu'il serait mieux d'éviter.
Je vous dis, Didier, que cela est exposé dans cet ouvrage, fort clairement.

L'ouvrage d'Al-Tabari compte trente-neuf volumes, je ne l'ai pas lu, mais ses citations sont faciles à trouver.

Plus près de nous, vous avez Maulana Muhammad Ali, qui écrit en 1920 :

A great misconception prevails as to the age at which Aisha was taken in marriage by the Prophet. Ibn Sa‘d has stated in the Tabaqat that when Abu Bakr [father of Aisha] was approached on behalf of the Holy Prophet, he replied that the girl had already been betrothed to Jubair, and that he would have to settle the matter first with him. This shows that Aisha must have been approaching majority at the time. Again, the Isaba, speaking of the Prophet’s daughter Fatima, says that she was born five years before the Call and was about five years older than Aisha. This shows that Aisha must have been about ten years at the time of her betrothal to the Prophet, and not six years as she is generally supposed to be. This is further borne out by the fact that Aisha herself is reported to have stated that when the chapter [of the Holy Quran] entitled The Moon, the fifty-fourth chapter, was revealed, she was a girl playing about and remembered certain verses then revealed. Now the fifty-fourth chapter was undoubtedly revealed before the sixth year of the Call. All these considerations point to but one conclusion, viz., that Aisha could not have been less than ten years of age at the time of her nikah, which was virtually only a betrothal. And there is one report in the Tabaqat that Aisha was nine years of age at the time of nikah. Again it is a fact admitted on all hands that the nikah of Aisha took place in the tenth year of the Call in the month of Shawwal, while there is also preponderance of evidence as to the consummation of her marriage taking place in the second year of Hijra in the same month, which shows that full five years had elapsed between the nikah and the consummation. Hence there is not the least doubt that Aisha was at least nine or ten years of age at the time of betrothal, and fourteen or fifteen years at the time of marriage.


Cette idée de la très jeune fille impubère comme image de la pureté est aussi présente dans notre culture, nous avons le protévangile de Jacques, qui nous dit :

VIII. 2. Quand elle eut douze ans, les prêtres se consultèrent et dirent : " Voici que Marie a douze ans, dans le temple du Seigneur. Que ferons-nous d'elle, pour éviter qu'elle ne rende impur le sanctuaire du Seigneur notre Dieu ? "

Et ils dirent au grand-prêtre : " Toi qui gardes l'autel du Seigneur, entre et prie au sujet de cette enfant. Ce que le Seigneur te dira, nous le ferons. "

VIII. 3. Et le prêtre revêtit l'habit aux douze clochettes10, pénétra dans le Saint des Saints et se mit en prière. Et voici qu'un ange du Seigneur apparut, disant : " Zacharie, Zacharie, sors et convoque les veufs du peuple. Qu'ils apportent chacun une baguette. Et celui à qui le Seigneur montrera un signe en fera sa femme. "

Des hérauts s'égaillèrent dans tout le pays de Judée et la trompette du Seigneur retentit, et voici qu'ils accoururent tous.

IX.1. Joseph jeta sa hache et lui aussi alla se joindre à la troupe. Ils se rendirent ensemble chez le prêtre avec leurs baguettes. Le prêtre prit ces baguettes, pénétra dans le temple et pria. Sa prière achevée, il reprit les baguettes, sortit et les leur rendit. Aucune ne portait de signe. Or Joseph reçut la sienne le dernier. Et voici qu'une colombe s'envola de sa baguette et vint se percher sur sa tête.

Alors le prêtre : " Joseph, Joseph, dit-il, tu es l'élu : c'est toi qui prendras en garde la vierge du Seigneur. "

IX.2. Mais Joseph protesta : " J'ai des fils, je suis un vieillard et elle est une toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d'Israël ? "

" Joseph, répondit le prêtre, crains le Seigneur ton Dieu, et souviens-toi du sort que Dieu a réservé à Dathan, Abiron et Corê. La terre s'entrouvrit et les engloutit tous à la fois, parce qu'ils lui avaient résisté. Et maintenant, Joseph, crains de semblables fléaux sur ta maison ! "
Didier, j'aborde ce sujet complexe et à perte de vue tout simplement parce que vous nous avez écrit, dans un de vos messages, ceci :

Il faut dire que j'ai insisté (pardon pour ce qui suit, cela n'était pas écrit pour l'In-nocence...) :"Pour le porno, il faut dire que Mahomet en connaissait un rayon... Épouser une fillette de six ans et avoir des relations sexuelles avec elle à partir de neuf ans, même à l'époque : bravo... Non, je blague, c'était de l'amour, bien sûr... et puis, elle était sûrement très mûre pour son âge... L'ennui c'est que Mahomet étant le "Beau Modèle", c'est toujours licite ce genre de choses, aujourd'hui, pour l'islam ; dommage : chez nous ça s'appelle de la pédophilie, c'est pénalement condamnable, et ça tombe bien parce que c'est moralement inqualifiable."
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Je ne sais si nous sommes d'accord, mais je vous proposerais ceci :

Il est vain de considérer Mahomet comme un modèle ; dès lors qu'on ne le considère pas comme un modèle, les écrits à son propos n'ont pas de valeur normative.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Oui, cette façon de faire est déplaisante : soit ces textes sont censés relater des faits indiscutables, et il faut les prendre ne varietur ; soit ils ont un but informatif et symbolique, et on ne peut les ériger en norme.
Phénarète, vous mélangez les textes d'imbéciles actuels avec des textes qui ont plus de mille ans.

BCJM, j'aime bien cette formulation, qui laisse entendre qu'il ne saurait y avoir des imbéciles de mille ans d'âge.
Cher Didier,
Les vidéos se suffisent à mon avis.
Comme le disait Muray : "Il ne faut jamais débattre", surtout lorsque l'objet qui pourrait l'être, ce sont les faits. Les faits sont les faits, les textes sont les textes. Les vidéos, votre excellente compilation sur l'autre forum et nos discussions établissent des faits. Il ne s'agit pas de discuter des faits, mais de s'interroger ensuite, pourquoi pas dans des débats, sur leur compatibilité avec notre pays, ses traditions, ses usages, ses lois et sa sensibilité. Nous connaissons assez bien ces dernières, les gens les connaissent un peu. Mais tous, surtout ses défenseurs frénétiques, ignorent allègrement l'islam. En ce sens nous nourrisson l'autre partie de la confrontation pour nourrir la discussion. Cette confrontation est-elle destinée à être violente et guerrière ou peut-elle être pacifique ?
Plus nous connaissons l'islam, moins nous croyons à cette deuxième possibilité. Et cela n'engage pas nos rapports avec les musulmans, souvent pacifiques et accommodants. Cela engage les concessions à faire au système dans l'espace public, dans la législation, dans le débat médiatique...
(Message supprimé à la demande de son auteur)
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Je vous invite à continuer, si je puis me permettre, cher Didier Bourjon ! Mes amusements passagers ne sont là que pour ponctuer vos joutes, que je goûte fort pour ma modeste part.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Citation

(il s'est avéré que c'était une femme, "belge"),

Je parie que c'est la veuve du commandant Massoud !
Citation

Les faits sont les faits, les textes sont les textes

Certes, certes. Et les faits, comme les textes, sont toujours univoques. Pauvre Gadamer ! Pauvre Ricoeur !
Le débat avance à grands pas !
« Un fait est comme un sac : vide, il ne tient pas debout. Pour qu'il tienne debout, il faut d'abord y faire entrer la raison et les sentiments qui l'ont déterminé. », dit Pirandello.
Très belle citation. Merci, cher Francmoineau. A cause des sentiments, jamais la raison n'est pure.
Dès sa publication, nous avions fait parvenir ce communiqué n° 1101 à Messieurs les ministres Éric Besson et Brice Hortefeux. Pour information, voici le courrier que nous venons de recevoir de la part du chef de cabinet de Monsieur le ministre Brice Hortefeux :

« Monsieur le Secrétaire général,

Vous avez appelé l'attention de Monsieur Brice HORTEFEUX, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales, sur les propos qu'a tenus un prédicateur du groupe « Sirat Alizza », à Limoges, le 17 septembre dernier.

Le ministre m'a chargé de vous répondre.

Il n'est pas acceptable qu'un tel discours, particulièrement violent, puisse être prononcé publiquement et diffusé sur Internet.

C'est la raison pour laquelle, le ministre a saisi Madame Michèle ALLIOT-MARIE, ministre d'État, garde des Sceaux, ministre de la justice et des libertés, afin d'examiner le bien-fondé d'une éventuelle saisine du Parquet, estimant que ces paroles pourraient constituer les délits de diffamation et d'injure publique envers des personnes dépositaires de l'autorité publique, ainsi que le délit d'apologie de crime.

Vous assurant de la détermination du ministre à lutter contre les attaques dirigées contre l'État et ses citoyens, je vous prie de croire, Monsieur le Secrétaire général, à l'assurance de mes sentiments les meilleurs,

Le chef de cabinet
»
Je trouve déjà bien que le chef de cabinet de Monsieur le ministre Brice Hortefeux ait répondu. C'est normal mais aujourd'hui ce qui est normal de va pas de soi. Faut-il voir dans cette réponse courtoise un début de prise en considération du PI, voire de l'annonce de candidature de Renaud Camus ?
Diable, Éric !

Vous avez sans doute raison : pour que "Monsieur le ministre Brice Hortefeux" dépêche un courrier pour porter un tel message, il faut qu'il soit impressionné.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
C'est étonnant, ce monsieur a tout à fait un style de militant syndical...

Je me demande quel est le Dumas auquel il fait allusion...
Il est à craindre que cela ne soit incurable, cher Florentin...
Alors il faut l'envoyer à la première maladière venue, car cette maladie est aussi hautement contagieuse.
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