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Echauffourées devant un lycée du XIVe arrondissement à Paris.

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
02 juin 2008, 22:47   Echauffourées devant un lycée du XIVe arrondissement à Paris.
Décidément, nos petits "Ché" ne désarment pas...

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LIBERATION.FR : lundi 2 juin 2008


Echauffourées devant un lycée du XIVe arrondissement à Paris
Trois adolescents ont été interpellés au cours d'une manifestation d'élèves et de parents d'élèves devant ce lycée qui devait recevoir la visite du Premier ministre François Fillon.

Trois adolescents ont été interpellés par les forces de l’ordre ce matin lors d’une manifestation devant le lycée parisien Paul-Bert (XIVe arrondissement) où devait se rendre le Premier ministre François Fillon avec Xavier Darcos (Education) et Rachida Dati (Justice).

Les trois jeunes qui tentaient de franchir un barrage des forces de l’ordre ont été interpellés sans ménagement par les gendarmes mobiles, dans une ambiance très tendue, a constaté un journaliste de l’AFP. Un officier de gendarmerie a été «sérieusement blessé à la main» lors de ces échauffourées, selon la police, qui affirme d'autre part que l'un des jeunes interpellés était porteur d'une arme blanche.


Quelque 150 personnes (lycéens et parents d’élèves) manifestaient à proximité du lycée, la rue étant barrée par les forces de l’ordre.

François Fillon était attendu pour une visite au lycée Paul-Bert dans le cadre de la politique de prévention contre les drogues en milieu scolaire.

«On a appris leur venue il y a trois jours seulement. Cela trouble la sérénité de l’établissement. C’est une provocation», dénonçait Elisabeth Coutrot, parent d’élève FCPE du lycée Paul-Bert.

«Venant de personnes qui ont organisé pendant trois mois la confusion dans les établissements, c’est presque comique», a répliqué devant la presse Xavier Darcos.

Les manifestants distribuaient des tracts intitulés «madame et messieurs les ministres vous n’êtes pas les bienvenus». «Nous ne cessons de réclamer des moyens», déclarent-ils en dénonçant «une dotation horaire amputée», «des heures supplémentaires qui alourdissent la charge de travail des enseignants» et le manque de surveillants
Ben quoi, c'est pas leur faute, on les a "provoqués"...
Fallait pas les chercher.
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