Un professeur de philosophie à la retraite aujourd'hui dont j'ai retrouvé des notes prises lors de ses cours.
Il parlait de l'homme prothétique à qui on avait retiré la capacité de choix individuel soit "l'accidentalité du propre". Le nouveau corollaire en était qu'il n'y avait
pas de solution biologique à l'humain. Il posait qu'il n'y avait de vérité qu'en établissant une théorie axiomatique qui n'a plus de relation avec le réel, logique dialectique Egélienne reprenant le logos formel etc.... En résumé et pour faire vite, tout ceci revenant à des modes d'accès à la preuve, à la démonstration, à la grammaire ou dans une construction de réalité sans contradiction. Or l'idéogramme
juxtaposant deux termes, permet de s'appuyer sur une
effectivité de non savoir ("l'entre" des deux termes, la valeur 3)
qu'elle tient en réserve (position réservé du philosophe). Parce qu'il n'y a
pas de solution économique à l'économie humaine, l'économie humaine ayant déjà dépassée l'économie de marché, il serait bon d'ouvrir des voies vers "une économie au delà de l'argent", non comptabilisable.
"Qu'est-ce qu'un humain pour qu'il ne rencontre pas de solution cognitive, biologique et économique?". Puisqu'il a échoué dans les vérités qui appartiennent à des logiques binaires. Comment élargir la notion de vérité en sortant "de l'expérience empirique, transcendantale, dialectique"?