Cher Didier, le passage auquel vous faites référence a même été mis en vidéo. (Voir ci-dessous.)
Quant à la comparaison entre Mahomet et Jésus, elle est édifiante car on voit là que ce sont les représentants de deux doctrines totalement antagonistes : quand Jésus sauve la femme adultère, Mahomet la lapide, lorsque Jésus ordonne d'aimer son prochain, Mahomet déclare que les musulmans doivent être compatissants entre eux mais dur envers les mécréants ; quand Jésus s'insurge contre la loi du talion et la vengance ("ne résistez pas au méchant"), Mahomet lance le Jihad. Jésus va jusqu'à pardonnez ceux qui sont responsables de sa condamnation à mort ("pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font"), alors que Mahomet n'a aucun scrupule à faire assassiner ceux qui se sont simplement moqués de lui, etc.
Comme l'avait écrit
Robert Redeker,
"Jésus est un maître d'amour, Mahomet un maître de haine."
Pour ce qui est de la biographie de Mahomet qui serait trafiquée dans un sens plus positif, je n'ai pas la réponse au sujet de celle que mentionne Jean mais cela ne m'étonnerait pas tant l'islam s'est toujours servi de la dissimulation pour cacher la réalité des textes, car ceux-ci sont tellement choquants qu'ils pourraient faire prendre conscience de la dangerosité de cette "religion", même chez les musulmans eux-mêmes. Je pense d'ailleurs que la plupart d'entre eux sont loin d'imaginer la monstruosité du comportement de leur prophète qui est pourtant décrite textuellement dans les textes religieux.
Voir ce qu'en dit le site
islam-documents.org, qui a analysé tous les textes :
Citation
Il s' agit d' effacer le discours mystificateur si répandu en Occident qui veut présenter les violences et les injustices commises au nom de l' islam comme des trahisons, perversions, interprétations extrêmistes d' une doctrine forcément irréprochable, toute entière de la pureté de ses origines. Mais que dit-on alors des origines?
La simple consultation des textes originaux, de ceux qui font références, de ceux qui forment la doctrine telle qu’elle est apparue, prouve qu il n' en est rien, que les auteurs de ces méfaits ne font que suivre pieusement les enseignements primitifs de la religion, à son état natif. Aussi inhumains et aberrants, voire totalement ridicules, abjects ou stupides qu’ils puissent être, ceux-ci ne sont jamais remis en cause, chez les uns, et jamais mis en évidence chez les autres, d'où l'accumulation tragique des malentendus de part et d' autre. Les premiers ne font qu’appliquer des principes caduques, ils suivent un modèle archaïque, ils prolongent au début du troisième millénaire la brutalité de l' Arabie du VIIème siècle, transcendée par l' aventure personnelle de Muhammad. Même si cela inquiète, même si cela blesse, trouble et dérange, il existe une cohérence totale entre les atrocités commises sous les ordres de Muhammad (dit “le prophète ou “l'apôtre d'Allah”) et les atrocités commises durant toute l' histoire musulmane jusqu’à nos jours, à l'encontre des infidèles, des femmes, des dissidents. La littérature jihadiste, si volumineuse, n’est en réalité que la répétition à l’infini de l’aventure primitive de Muhammad, de toutes ses phases, surtout guerrières, connues à la perfection. Le mythe fondateur remplit sa fonction à merveille, et fournit des exemples de courage, de violence, de dureté, d’abnégation, de patience et de sacrifice.
Les comportements les pires se sont appuyés sur les textes les plus clairs, les plus évidents, les plus respectés : on verra ici des centaines de textes exhortant à la violence, la légitimant, la sacralisant. Le mal, c' est-à-dire la haîne, est enracinée dans la doctrine primitive, et toute les tentatives pour l' extirper ont échoué les unes après les autres. L'immense majorité des exégètes musulmans a approuvé et a encouragé de telles actions. Bien rares et courageux ont été les clercs qui ont tenté d' infléchir la doctrine vers plus de tolérance et d' humanité en remettant en cause les principes ; ils l' ont souvent payé de leur vie ; en revanche, des personnages tels que Sayyid Qubt, même disparus, ont eu une postérité plétorique : celui-ci n’a fait qu’adapter le message coranique de la manière la plus brutale et révolutionnaire.
Par des exemples innombrables, il est malheureusement facile de retrouver dans les actes et les paroles de personnages actuellement (et faussement) considérés comme extrémistes, les actes commis et les paroles proférées par Muhammad et ses disciples.
Les références sont limpides et la continuité est rectiligne, même si cela semble parfaitement déraisonnable aux yeux des partisans du progrès et des défenseurs de l' humanisme.
Le plus cruel sans doute dans le dévoilement des sources de la doctrine est bien que l'on se rendra compte que le totalitarisme ainsi établi est parfaitement incapable de s' adapter dans ses principes à la diversité humaine et aux notions de progrès et de tolérance. Il est donc temps de passer à autre chose, qui ne pourra qu’être meilleur, plus favorable à l’épanouissement de l’être humain.
Les tentatives de réformes ont toujours eu pour référence la pureté originelle des commencements, et l' exemple muhammadien, sans lequel il n' y a point de salut. S' il y a eu des moments de créativité et de liberté relative dans le monde musulman, c'est en dehors du système, contre lui et de la part de dissidents courageux. Rien n' a jamais changé dans les principes et rien ne changera, tant que les principes ne seront pas définitivement abandonnés. Espérons que leur présentation au public le plus large possible sera le préalable à cet abandon salutaire à cette rupture, et qu’ il y contribuera à sa façon.