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Covid-19 : Pfizer va soutenir la production et la recherche en France à hauteur de 500 millions d’euros
Envoyé par Pierre Jean Comolli
| 17 janvier 2022, 10:51 Covid-19 : Pfizer va soutenir la production et la recherche en France à hauteur de 500 millions d’euros |
Pfizer qui pénètre la France avec son traitement oral... C'est son directeur général, Albert Bourla (!!!), qui le dit : [www.leparisien.fr]
| 18 janvier 2022, 00:29 Oh là là |
| 18 janvier 2022, 18:29 Re : Covid-19 : Pfizer va soutenir la production et la recherche en France à hauteur de 500 millions d’euros |
La vaccination de masse est une médecine vétérinaire qui ne connaît que les groupes (l'"immunité de groupe" que recherche la vaccination se dit "herd immunity" dans la langue internationale dominante, où "herd" désigne le troupeau).
La médecine était un art adossé à la science qui traitait les individus, le sale type Bourla et ses protecteurs/protégés l'éliminent pour vacciner les troupeaux sans que jamais l'historique et les antécédents des individus ne soient pris en compte. Que cela soit dit et reconnu une fois pour toute : nous assistons à une régression de la science qui se reflète dans (et est reflétée par, est-il besoin de le préciser) une régression du politique, discipline dans laquelle les gouvernants se vautrent désormais avec délectation dans le concept de "liberté collective", qui est un concept proprement nazi.
La notion de "liberté collective" devrait nous faire frémir et vomir d'horreur : elle annihile tout ce que l'âme et la pensée d'Occident avait pu patiemment, douloureusement, façonner depuis Platon et Aristote.
Cette notion mortifère reste populaire en Asie sinisée, où elle s'accorde avec celle de "responsabilité collective", pilier du totalitarisme qui conduit à éliminer toute une famille quand parmi elle se trouve, d'aventure, un meurtrier ou un dissident politique.
Ce glissement (vers une médecine vétérinaire appliquée aux humains et une philosophie politique qui ne connaît que le troupeau, le bétail humain) devrait scandaliser quiconque se pique, ici ou ailleurs, d'être un tant soit peu éclairé sur l'histoire des sociétés et de la pensée.
La médecine était un art adossé à la science qui traitait les individus, le sale type Bourla et ses protecteurs/protégés l'éliminent pour vacciner les troupeaux sans que jamais l'historique et les antécédents des individus ne soient pris en compte. Que cela soit dit et reconnu une fois pour toute : nous assistons à une régression de la science qui se reflète dans (et est reflétée par, est-il besoin de le préciser) une régression du politique, discipline dans laquelle les gouvernants se vautrent désormais avec délectation dans le concept de "liberté collective", qui est un concept proprement nazi.
La notion de "liberté collective" devrait nous faire frémir et vomir d'horreur : elle annihile tout ce que l'âme et la pensée d'Occident avait pu patiemment, douloureusement, façonner depuis Platon et Aristote.
Cette notion mortifère reste populaire en Asie sinisée, où elle s'accorde avec celle de "responsabilité collective", pilier du totalitarisme qui conduit à éliminer toute une famille quand parmi elle se trouve, d'aventure, un meurtrier ou un dissident politique.
Ce glissement (vers une médecine vétérinaire appliquée aux humains et une philosophie politique qui ne connaît que le troupeau, le bétail humain) devrait scandaliser quiconque se pique, ici ou ailleurs, d'être un tant soit peu éclairé sur l'histoire des sociétés et de la pensée.
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