Le parti de l'In-nocence fait remarquer que dans le discours de son président et candidat à la présidence de la République, prononcé le 18 décembre dernier à l'occasion des Assises sur l'islamisation, il n'est pas question une seule seconde du moindre plan ni "gros plan" et encore moins de "théorie du complot". Le Grand Remplacement dont parle Renaud Camus n'a pas besoin d'être un plan : c'est un fait en voie d'accomplissement. La nocence n'est pas l'instrument d'un quelconque "complot" : elle est de façon en quelque sorte organique et factuelle le moyen du changement de peuple, le bras militairement armé de la prise de possession de zones sans cesse plus vastes du territoire, par exclusion des couches populaires indigènes, dont le nom même est usurpé par ceux qui les remplacent.

Le parti de l'In-nocence note au demeurant que cette façon de projeter sur l'adversaire des fantasmes en abyme et de le modeler selon les termes de son propre système de représentation, si caduc soit-il, est un puissant indice du désarroi des remplacistes face à une résistance indigène qui se présente désormais de façon totalement inédite, en un paysage politique en voie de recomposition précipitée. Les vieilles catégories, les vieilles insultes, les vieux automatismes de langage ne touchent plus au réel. De même que le titre du "Monde" selon lequel Renaud Camus serait "le candidat de l'Occident" ne parlait que du "Monde", des hantises et des travaux passés de son journaliste, "gros plan" et "théorie du complot", prêtés par invention pure au discours de Renaud Camus, n'ont quelque chose à dire que du MRAP. " />
Le parti de l'In-nocence fait remarquer que dans le discours de son président et candidat à la présidence de la République, prononcé le 18 décembre dernier à l'occasion des Assises sur l'islamisation, il n'est pas question une seule seconde du moindre plan ni "gros plan" et encore moins de "théorie du complot". Le Grand Remplacement dont parle Renaud Camus n'a pas besoin d'être un plan : c'est un fait en voie d'accomplissement. La nocence n'est pas l'instrument d'un quelconque "complot" : elle est de façon en quelque sorte organique et factuelle le moyen du changement de peuple, le bras militairement armé de la prise de possession de zones sans cesse plus vastes du territoire, par exclusion des couches populaires indigènes, dont le nom même est usurpé par ceux qui les remplacent.

Le parti de l'In-nocence note au demeurant que cette façon de projeter sur l'adversaire des fantasmes en abyme et de le modeler selon les termes de son propre système de représentation, si caduc soit-il, est un puissant indice du désarroi des remplacistes face à une résistance indigène qui se présente désormais de façon totalement inédite, en un paysage politique en voie de recomposition précipitée. Les vieilles catégories, les vieilles insultes, les vieux automatismes de langage ne touchent plus au réel. De même que le titre du "Monde" selon lequel Renaud Camus serait "le candidat de l'Occident" ne parlait que du "Monde", des hantises et des travaux passés de son journaliste, "gros plan" et "théorie du complot", prêtés par invention pure au discours de Renaud Camus, n'ont quelque chose à dire que du MRAP. " />
Le parti de l'In-nocence fait remarquer que dans le discours de son président et candidat à la présidence de la République, prononcé le 18 décembre dernier à l'occasion des Assises sur l'islamisation, il n'est pas question une seule seconde du moindre plan ni "gros plan" et encore moins de "théorie du complot". Le Grand Remplacement dont parle Renaud Camus n'a pas besoin d'être un plan : c'est un fait en voie d'accomplissement. La nocence n'est pas l'instrument d'un quelconque "complot" : elle est de façon en quelque sorte organique et factuelle le moyen du changement de peuple, le bras militairement armé de la prise de possession de zones sans cesse plus vastes du territoire, par exclusion des couches populaires indigènes, dont le nom même est usurpé par ceux qui les remplacent.

Le parti de l'In-nocence note au demeurant que cette façon de projeter sur l'adversaire des fantasmes en abyme et de le modeler selon les termes de son propre système de représentation, si caduc soit-il, est un puissant indice du désarroi des remplacistes face à une résistance indigène qui se présente désormais de façon totalement inédite, en un paysage politique en voie de recomposition précipitée. Les vieilles catégories, les vieilles insultes, les vieux automatismes de langage ne touchent plus au réel. De même que le titre du "Monde" selon lequel Renaud Camus serait "le candidat de l'Occident" ne parlait que du "Monde", des hantises et des travaux passés de son journaliste, "gros plan" et "théorie du complot", prêtés par invention pure au discours de Renaud Camus, n'ont quelque chose à dire que du MRAP. " />
Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Sur des menaces de poursuites du MRAP
Le parti de l'In-nocence relève avec amusement, à l'occasion des menaces de poursuites qu'agite le MRAP à l'encontre de Renaud Camus, que les fantasmes de "plan" et même de "gros plan", comme dit comiquement le MRAP, tiennent aux côtés de la fameuse "théorie du complot", dans la mythologie des remplacistes et de leurs alliés statutaires les Amis du Désastre, la même place exactement que le pal et le supplice du pal dans le langage rituel des homophobes : ce sont des obsessions qu'ils prêtent à leurs adversaires et qu'ils reconnaissent chez ceux-ci quand bien même il n'y en a pas la moindre trace, parce que c'est dans leur propre arsenal langagier, fantasmatique et polémique que ces termes et ces images sont omniprésents.

Le parti de l'In-nocence fait remarquer que dans le discours de son président et candidat à la présidence de la République, prononcé le 18 décembre dernier à l'occasion des Assises sur l'islamisation, il n'est pas question une seule seconde du moindre plan ni "gros plan" et encore moins de "théorie du complot". Le Grand Remplacement dont parle Renaud Camus n'a pas besoin d'être un plan : c'est un fait en voie d'accomplissement. La nocence n'est pas l'instrument d'un quelconque "complot" : elle est de façon en quelque sorte organique et factuelle le moyen du changement de peuple, le bras militairement armé de la prise de possession de zones sans cesse plus vastes du territoire, par exclusion des couches populaires indigènes, dont le nom même est usurpé par ceux qui les remplacent.

Le parti de l'In-nocence note au demeurant que cette façon de projeter sur l'adversaire des fantasmes en abyme et de le modeler selon les termes de son propre système de représentation, si caduc soit-il, est un puissant indice du désarroi des remplacistes face à une résistance indigène qui se présente désormais de façon totalement inédite, en un paysage politique en voie de recomposition précipitée. Les vieilles catégories, les vieilles insultes, les vieux automatismes de langage ne touchent plus au réel. De même que le titre du "Monde" selon lequel Renaud Camus serait "le candidat de l'Occident" ne parlait que du "Monde", des hantises et des travaux passés de son journaliste, "gros plan" et "théorie du complot", prêtés par invention pure au discours de Renaud Camus, n'ont quelque chose à dire que du MRAP.
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