Le parti de l'In-nocence ne s'étonne certes pas d'une prétendue analyse politique qui relève de la plus totale cécité sur ce qui survient et sur les menaces qui pèsent sur un pays et sur un peuple en lesquels M. Bernard-Henri Lévy, il est vrai, n'a guère trouvé, au cours de sa carrière, que des motifs de reproche et de vindicte. Que les regroupements défensifs et les réagencements qui s'opèrent sous nos yeux lui échappent n'a rien que de très naturel. Mais qu'un hebdomadaire d'une certaine notoriété puisse laisser passer, même sous sa plume, un tel ramassis d'erreurs patentes, qui va de la confusion entre Pierre Cassen et Bernard Cassen à l'assimilation totalement diffamatoire du Bloc identitaire à un groupuscule néonazi, en passant par l'amalgame insinuant et progressif entre les Assises du 18 décembre et le Front national qui n'y participait pas, il y a là de quoi interloquer même les plus blasés des observateurs du complexe politico-médiatique français, de sa compétence et de ses procédés.

Le parti de l'In-nocence n'aurait évidemment jamais participé aux Assises sur l'islamisation en même temps que le Bloc identitaire — qui d'ailleurs n'en était pas l'organisateur initial — si ce mouvement en son état actuel pouvait être soupçonné de près ou de loin de la moindre accointance avec le néonazisme, le négationnisme ou l'assassinat d'un chef de l'État ou de qui que ce soit. Les diffamations de M. Bernard-Henri Lévy ne reflètent rien d'autre que le désarroi d'un pouvoir médiatique affolé de voir se déciller et se révolter un peuple qu'il a tant fait pour aveugler et pour énerver." />
Le parti de l'In-nocence ne s'étonne certes pas d'une prétendue analyse politique qui relève de la plus totale cécité sur ce qui survient et sur les menaces qui pèsent sur un pays et sur un peuple en lesquels M. Bernard-Henri Lévy, il est vrai, n'a guère trouvé, au cours de sa carrière, que des motifs de reproche et de vindicte. Que les regroupements défensifs et les réagencements qui s'opèrent sous nos yeux lui échappent n'a rien que de très naturel. Mais qu'un hebdomadaire d'une certaine notoriété puisse laisser passer, même sous sa plume, un tel ramassis d'erreurs patentes, qui va de la confusion entre Pierre Cassen et Bernard Cassen à l'assimilation totalement diffamatoire du Bloc identitaire à un groupuscule néonazi, en passant par l'amalgame insinuant et progressif entre les Assises du 18 décembre et le Front national qui n'y participait pas, il y a là de quoi interloquer même les plus blasés des observateurs du complexe politico-médiatique français, de sa compétence et de ses procédés.

Le parti de l'In-nocence n'aurait évidemment jamais participé aux Assises sur l'islamisation en même temps que le Bloc identitaire — qui d'ailleurs n'en était pas l'organisateur initial — si ce mouvement en son état actuel pouvait être soupçonné de près ou de loin de la moindre accointance avec le néonazisme, le négationnisme ou l'assassinat d'un chef de l'État ou de qui que ce soit. Les diffamations de M. Bernard-Henri Lévy ne reflètent rien d'autre que le désarroi d'un pouvoir médiatique affolé de voir se déciller et se révolter un peuple qu'il a tant fait pour aveugler et pour énerver." />
Le parti de l'In-nocence ne s'étonne certes pas d'une prétendue analyse politique qui relève de la plus totale cécité sur ce qui survient et sur les menaces qui pèsent sur un pays et sur un peuple en lesquels M. Bernard-Henri Lévy, il est vrai, n'a guère trouvé, au cours de sa carrière, que des motifs de reproche et de vindicte. Que les regroupements défensifs et les réagencements qui s'opèrent sous nos yeux lui échappent n'a rien que de très naturel. Mais qu'un hebdomadaire d'une certaine notoriété puisse laisser passer, même sous sa plume, un tel ramassis d'erreurs patentes, qui va de la confusion entre Pierre Cassen et Bernard Cassen à l'assimilation totalement diffamatoire du Bloc identitaire à un groupuscule néonazi, en passant par l'amalgame insinuant et progressif entre les Assises du 18 décembre et le Front national qui n'y participait pas, il y a là de quoi interloquer même les plus blasés des observateurs du complexe politico-médiatique français, de sa compétence et de ses procédés.

Le parti de l'In-nocence n'aurait évidemment jamais participé aux Assises sur l'islamisation en même temps que le Bloc identitaire — qui d'ailleurs n'en était pas l'organisateur initial — si ce mouvement en son état actuel pouvait être soupçonné de près ou de loin de la moindre accointance avec le néonazisme, le négationnisme ou l'assassinat d'un chef de l'État ou de qui que ce soit. Les diffamations de M. Bernard-Henri Lévy ne reflètent rien d'autre que le désarroi d'un pouvoir médiatique affolé de voir se déciller et se révolter un peuple qu'il a tant fait pour aveugler et pour énerver." />
Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Sur un billet de M. Bernard-Henri Lévy
Le parti de l'In-nocence, malgré son expérience des écrits, des agissements et du type de dénonciation qui font la notoriété de M. Bernard-Henri Lévy, prend connaissance avec stupéfaction du billet qu'il consacre dans son "bloc-notes" de ce jour, dans l'hebdomadaire "Le Point", aux Assises sur l'islamisation qui se sont tenues à Paris le 18 décembre dernier. Avec ce texte sont atteints en effet de nouveaux sommets dans la désinformation, la calomnie et la méconnaissance venimeuse, drapées dans la plus élimée des pompes oraculaires.

Le parti de l'In-nocence ne s'étonne certes pas d'une prétendue analyse politique qui relève de la plus totale cécité sur ce qui survient et sur les menaces qui pèsent sur un pays et sur un peuple en lesquels M. Bernard-Henri Lévy, il est vrai, n'a guère trouvé, au cours de sa carrière, que des motifs de reproche et de vindicte. Que les regroupements défensifs et les réagencements qui s'opèrent sous nos yeux lui échappent n'a rien que de très naturel. Mais qu'un hebdomadaire d'une certaine notoriété puisse laisser passer, même sous sa plume, un tel ramassis d'erreurs patentes, qui va de la confusion entre Pierre Cassen et Bernard Cassen à l'assimilation totalement diffamatoire du Bloc identitaire à un groupuscule néonazi, en passant par l'amalgame insinuant et progressif entre les Assises du 18 décembre et le Front national qui n'y participait pas, il y a là de quoi interloquer même les plus blasés des observateurs du complexe politico-médiatique français, de sa compétence et de ses procédés.

Le parti de l'In-nocence n'aurait évidemment jamais participé aux Assises sur l'islamisation en même temps que le Bloc identitaire — qui d'ailleurs n'en était pas l'organisateur initial — si ce mouvement en son état actuel pouvait être soupçonné de près ou de loin de la moindre accointance avec le néonazisme, le négationnisme ou l'assassinat d'un chef de l'État ou de qui que ce soit. Les diffamations de M. Bernard-Henri Lévy ne reflètent rien d'autre que le désarroi d'un pouvoir médiatique affolé de voir se déciller et se révolter un peuple qu'il a tant fait pour aveugler et pour énerver.
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