Le parti de l'In-nocence estime qu'il y a tout lieu de s'interroger, certes, sur les motifs et la légitimité des avances des firmes américaines et des États-Unis eux-mêmes, ès-qualités, auprès des jeunes gens "héritiers de l'immigration". Il doute qu'une des raisons de ces avances soit la maîtrise de l'arabe (car de quelle autre langue pourrait-il s'agir ?), de la part de leurs bénéficiaires. Mais il juge parfaitement déplacé, et d'une complaisance remplaciste inouïe, qu'un ancien ministre et qu'un chef de parti désigne implicitement ses compatriotes indigènes comme en situation d'infériorité parce qu'ils ont le malheur de n'avoir naturellement à leur disposition, sur le territoire de leur patrie, que la langue de leurs parents et de leurs ancêtres. " />
Le parti de l'In-nocence estime qu'il y a tout lieu de s'interroger, certes, sur les motifs et la légitimité des avances des firmes américaines et des États-Unis eux-mêmes, ès-qualités, auprès des jeunes gens "héritiers de l'immigration". Il doute qu'une des raisons de ces avances soit la maîtrise de l'arabe (car de quelle autre langue pourrait-il s'agir ?), de la part de leurs bénéficiaires. Mais il juge parfaitement déplacé, et d'une complaisance remplaciste inouïe, qu'un ancien ministre et qu'un chef de parti désigne implicitement ses compatriotes indigènes comme en situation d'infériorité parce qu'ils ont le malheur de n'avoir naturellement à leur disposition, sur le territoire de leur patrie, que la langue de leurs parents et de leurs ancêtres. " />
Le parti de l'In-nocence estime qu'il y a tout lieu de s'interroger, certes, sur les motifs et la légitimité des avances des firmes américaines et des États-Unis eux-mêmes, ès-qualités, auprès des jeunes gens "héritiers de l'immigration". Il doute qu'une des raisons de ces avances soit la maîtrise de l'arabe (car de quelle autre langue pourrait-il s'agir ?), de la part de leurs bénéficiaires. Mais il juge parfaitement déplacé, et d'une complaisance remplaciste inouïe, qu'un ancien ministre et qu'un chef de parti désigne implicitement ses compatriotes indigènes comme en situation d'infériorité parce qu'ils ont le malheur de n'avoir naturellement à leur disposition, sur le territoire de leur patrie, que la langue de leurs parents et de leurs ancêtres. " />
Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Sur M. Hervé Morin et la question des langues
Le parti de l'In-nocence est profondément choqué par les propos publics de M. Hervé Morin, candidat déclaré du Nouveau Centre à l'élection présidentielle, et par ses appels publics à l'électorat "héritier de l'immigration", comme il veut qu'on dise désormais, comme si l'immigration était un bien précieux, ce qui n'est pas tout à fait acquis. M. Hervé Morin célèbre "les jeunes du 93" que viennent recruter selon lui les firmes américaines "car ils ont la chance inouïe de parler plusieurs langues".

Le parti de l'In-nocence estime qu'il y a tout lieu de s'interroger, certes, sur les motifs et la légitimité des avances des firmes américaines et des États-Unis eux-mêmes, ès-qualités, auprès des jeunes gens "héritiers de l'immigration". Il doute qu'une des raisons de ces avances soit la maîtrise de l'arabe (car de quelle autre langue pourrait-il s'agir ?), de la part de leurs bénéficiaires. Mais il juge parfaitement déplacé, et d'une complaisance remplaciste inouïe, qu'un ancien ministre et qu'un chef de parti désigne implicitement ses compatriotes indigènes comme en situation d'infériorité parce qu'ils ont le malheur de n'avoir naturellement à leur disposition, sur le territoire de leur patrie, que la langue de leurs parents et de leurs ancêtres.
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