Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Sur les réalités parallèles
Le parti de l’In-nocence observe que le gouffre se creuse sans cesse davantage entre les deux réalités, la vraie et la fausse, le réel et le faussel. Dans la première, le prétendu “vivre-ensemble” révèle chaque jour plus clairement sa vraie nature de terreur imposée, de colonisation brutale, de génocide par substitution, accéléré maintenant par le génocide au cou par cou : cent vingt attaques au couteau par jour, jamais vingt-quatre heures sans leur égorgement ou leur viol, la nocence de l’occupant partout, dans les piscines, les centres commerciaux, les transports en commun, sur les plages. Dans la seconde, celle des médias égout central, la France vit sa vie presque normale de nation, nonobstant, la chaleur, les incendies, les pénuries, l’inflation, la dette. On a trop vite enterré la négationnisme du bloc négationniste-génocidaire. Il n‘a fait que se déplacer d’un cran : certes il ne nie presque plus le Grand Remplacement, puisque désormais il s’en targue — ce sont ses conséquences qu’il oblitère, sa consistance qu’il cache.
1854
Sur la visite à Paris du prince Mohammed ben Salmane
Le parti de l’In-nocence salue dans la visite à Paris du prince saoudien Mohammed ben Salmane une excellente occasion de l’arrêter et de le soumettre à jugement, ainsi que le réclament légitimement plusieurs associations de victimes de ses crimes. Le principe de compétence universelle trouverait là, dans la comparution d’un quasi-chef d’État tortionnaire et assassin, une parfaite illustration de son opportunité contestée. Et la justice française, par une initiative de ce genre, pourrait distraire un moment l’attention de sa scandaleuse complaisance quotidienne envers le génocide par substitution comme à l’égard du génocide au cou par cou.
1853
Sur la forêt primaire de Bialowieza
Le parti de l’In-nocence n’est certes pas favorable à l’invasion migratoire et au génocide par substitution qui s’ensuit. Aussi se trouve-t-il profondément divisé avec lui-même quand la Pologne, qu’il a toujours soutenue dans sa résistance au Grand Remplacement, met en œuvre un projet de mur à édifier au beau milieu de la forêt primaire de Bialowieza, la dernière d’Europe. Protéger l’Europe du changement de peuple et de civilisation ne saurait être trop encouragé, certes. Mais il en va là comme pour les écologistes qui prétendent protéger les territoires du réchauffement climatique en y dressant partout des éoliennes. À quoi bon gâcher irrémédiablement ce que l’on croit vouloir défendre ? Pour que la Pologne reste la Pologne, et l’Europe l’Europe, il est capital que la forêt de Bialowieza demeure intacte. Pas de mur à travers ses bois : arrêter l’invasion, on ne saurait trop — mais par d’autres moyens, et d’abord, pour l’Europe, en cessant de la provoquer et de l’encourager.
1852
Sur les menaces poutiniennes
Le parti de l’In-nocence estime que si les menaces poutiniennes à propos de l’Ukraine recevaient le moindre début d’exécution, l’Union européenne, au moins, à défaut de l’OTAN — et bien entendu dans la mesure où l’Ukraine elle-même en serait d’accord —, devrait aussitôt proclamer ce pays comme appartenant de plein droit à sa communauté de nations. La protection de l’OTAN devrait aussi lui être immédiatement accordée ; mais bien préférable évidemment serait la protection d’une force militaire européenne, actuellement inexistante, hélas, mais dont la création urgente ne se fait que davantage sentir chaque jour. Le parti de l’In-nocence n’en continue pas moins d’estimer bien sûr que de telles mesures ne seraient nullement incompatibles avec des négociations entre l’Ukraine et la Russie, éventuellement par l’entremise de l’Europe, sur de légitimes rectifications de frontières assurant à tous les peuples leur appartenance aux nations dont ils relèvent par leur histoire, leur culture et leur langue.
1851
Sur les agressions contre des élus
Le parti de l’In-nocence, fidèle à son nom, et en conformité pleine et entière avec ses idéaux constitutifs, condamne bien sûr sans réserve les agressions qui semblent se multiplier ces temps contre des élus, maires ou députés, comme ces jours derniers à Saint-Pierre-et-Miquelon, dont on est triste de voire le cher nom associé à ces brutalités. Sur le territoire national les élus, comme les professeurs, les infirmiers et infirmières, les médecins, les pompiers, les policiers et gendarmes, les conducteurs et contrôleurs d’autobus ou de trains et toutes les personnes appartenant aux divers services publics, ont déjà assez à faire à se protéger contre les violences quotidiennes de l’occupant sans devoir être exposés, en plus, par contagion, et par l’effet du recul général de la civilisation au temps du vivre ensemble imposé, à des attaques physiques de la part de la population indigène, quels que soient ses motifs.
1850
Sur les agressions contre des élus
Le parti de l’In-nocence, fidèle à son nom, et en conformité pleine et entière avec ses idéaux constitutifs, condamne bien sûr sans réserve les agressions qui semblent se multiplier ces temps contre des élus, maires ou députés, comme ces jours derniers à Saint-Pierre-et-Miquelon, dont on est triste de voire le cher nom associé à ces brutalités.Sur le territoire national les élus, comme les professeurs, les infirmiers et infirmières, les médecins, les pompiers, les policiers et gendarmes, les conducteurs et contrôleurs d’autobus ou de trains et toutes les personnes appartenant aux divers services publics, ont déjà assez à faire à se protéger les violences quotidiennes de l’occupant sans devoir être exposés, en plus, par contagion, et par l’effet du recul général de la civilisation au temps du vivre ensemble imposé, à des attaques physiques de la part de la population indigène, quels que soient ses motifs.
1849
Sur les "Rafales", les tortures et les princes
Le parti de l’In-nocence constate que rarement la politique extérieure de la France aura été une chose aussi incohérente, cynique et basse que sous la présidence d’Emmanuel Macron — du moins n’a-t-elle d’autre cohérence que son cynisme, sa bassesse et de petits intérêts d’épicerie, ou plutôt de porteur de valise qui espère un bon pourboire. À quelques jours d’intervalle on voit le prétendu pays des droits de l’homme, cette tyrannie remplaciste livrant incessamment son propre peuple, apporter sa voix à l’élection à la tête d’Interpol d’un général émirati notoirement tortionnaire, et le président de la République se rendre à Riyad, le premier de toute la communauté internationale, pour s’incliner devant le prince héritier d’Arabie saoudite, encore tout sanglant du corps d’un journaliste découpé sur ses ordres. Il va sans dire que dans le même temps notre malheureux pays, vautré dans l’ignominie, se targue d’un fabuleux contrat de vente d’avions "Rafale", après toutes les ventes dans les mêmes régions d’équipes de football, de monuments historiques et de grands hôtels. La France est bradée à l’encan, souvent sous le prétexte de l’emploi, qui décidément aura été depuis des lustres la meilleure couverture au désastre diplomatique et moral comme au désastre écologique. La dite "realpolitik" n’est jamais qu’une lâche abdication devant le réel, une renonciation à l’existence vraie et, à ce titre, un chapitre parmi d’autres, et parmi les plus éhontés, du faussel, le réel à l’envers.
1848
Sur le château de La Rochepot
Le parti de l’In-nocence voit dans l’actuel dépeçage du château de La Rochepot, en Bourgogne, une catastrophe, bien sûr, une faute très grave de l’État et des autorités de tutelle, et plus que tout, sans doute, la marque d’une insuffisance manifeste de la loi, au demeurant maintes fois dénoncée par lui. Même lorsqu’est assurée, et ce n’est pas toujours le cas, la conservation des monuments historiques, elle est tout à fait insuffisante quand ils sont dotés de mobilier et de collections qui leur sont propres et qui se trouvent séparés d’eux, comme à Rosny-sur-Seine il y a quelques années, ou plus récemment à Barante, dans le Puy-de-Dôme, alors qu’ils sont une part essentielle de leur personnalité. Même la loi sur les dations a fait sans doute plus de mal que de bien. On dirait que l’idéal poursuivi est d’appauvrir systématiquement, fût-ce au profit des musées, des édifices qui, seraient-ils propriété privée, n’en constituent pas moins un élément capital du patrimoine de la nation et de l’intelligence de son histoire. Non seulement il faut cesser d’obliger les familles propriétaires à se séparer du bien lui-même en leur infligeant des droits de succession exorbitants qui interrompent la transmission, il faut également que des lois et décrets garantissent le maintien sur place des ensembles précieux qui en sont l’ornement et le sens.
1847
Sur la Chine et la croissance démographique
Le gouvernement chinois, dont le peuple est un des deux plus nombreux du monde, s’inquiète de sa décroissance démographique. C’est témoigner une rare inconscience de la situation de la planète, de l’espèce humaine et même de l’avenir de la vie en Chine. Après avoir très sagement, des années durant, limité à un enfant par couple la reproduction familiale, Pékin a d’abord aboli cette disposition — première erreur —, et voici maintenant qu’il interdit à peu près, ou qu’il rend impossible, l’interruption volontaire de grossesse. Il dit s’inquiéter du vieillissement et met en avant, pour expliquer sa nouvelle et indéfendable position, le souci des retraites. La préoccupation des retraites, dont l’humanité s’est passée des millénaires durant, aura décidément, à l’époque moderne, amené bien des désastres. En Europe elle a servi longtemps de prétexte au Grand Remplacement, ou génocide par substitution, mais même les plus ardents immigrationnistes n’osent plus aujourd’hui l’invoquer pour la cause remplaciste. Voici qu’elle est à présent convoquée pour servir en Asie, et sans doute ailleurs, de légitimation à la croissance démographique, cette première des causes du réchauffement climatique, comme de la plupart des maux de la Terre. Certes, l’absence de croissance, et a fortiori la décroissance, même mesurée, impliquent inévitablement un vieillissement de la population, avec les inconvénients, mais aussi les avantages, que peut impliquer cette évolution ; cependant c’est là peu cher payer la sauvegarde de ce qui reste d’espace libre et de terres épargnées par l’urbanisation, l’artificialisation et la culture intensive. Les gouvernements doivent faire porter leurs efforts sur les manières de prendre soin de la vieillesse et de la grande vieillesse chez les humains, et certainement pas infliger à leurs territoires une prolifération également fatale à la faune, à la flore, à la beauté des paysages, à la santé de l’âme et à la paix civile.
1846
Sur les Jeux Olympiques et les jardins ouvriers
Le parti de l’In-nocence appuie naturellement sans réserves les propriétaires et usagers des jardins ouvriers d’Aubervilliers, ainsi que toutes les associations, mouvements et particuliers qui les soutiennent dans leur combat contre l’installation, en lieu et place de leurs cultures, d’une piscine olympique pour les jeux de 2024. Il est révoltant que des jardins centenaires, qui, outre leur beauté, alimentent en légumes frais des dizaines de familles du cru, soient sacrifiés sur l’autel très suspect de Jeux Olympiques toujours plus éloignés des idéaux de Pierre de Coubertin comme de ceux de la Grèce antique, et qui ne relèvent plus guère que de la société du spectacle en sa pire acception. L’artificialisation des terres est une catastrophe en soi, les Jeux Olympiques livrés aux gros intérêts du remplacisme global davocratique ne sont pas loin d’en être une autre, leur conjonction est un désastre écologique et moral.
1845
Sur Marseille et le congrès mondial de la Nature
Le parti de l’In-nocence remarque que les histoires marseillaises ont fini par faire de Marseille la capitale mondiale du mensonge — la "cité fausséenne", pourrait-on dire, la ville du faussel, du réel inversé. Ce qui y triomphe cependant n’est pas tant l’exagération, la sardine qui bouche le Vieux-Port, que l’occultation, le négationnisme, le renversement terme à terme de la réalité. Ainsi le Bloc Négationniste-Génocidaire (BNG) s’épuise-t-il à expliquer le délabrement de la ville, la saleté et la violence qui y règnent, en prenant bien soin d’éviter le seul motif qui vaille à tous ces maux, à savoir la colonisation, la conquête, le changement de peuple et de civilisation, le génocide par substitution. Pendant ce temps se tient dans la ville un congrès planétaire pour la défense de la biodiversité, qui non seulement choisit pour site un des lieux de la Terre où la biodiversité humaine est le plus cyniquement écrabouillée par le brassage obligé, le "multiculturalisme", la disparition progressive des indigènes et de leur civilisation, mais qui met tous ses soins à éviter d’énoncer la seule exigence écologique sans laquelle toutes les autres sont parfaitement vaines, la décroissance démographique.
1844
Sur la vente à un promoteur de l’école-château de Grignon
Le parti de l’In-nocence soutient tous ceux — anciens élèves, amis du Patrimoine, défenseurs de l’environnement — qui s’opposent à la vente au premier promoteur immobilier français, Altarea Cogedim, du château de Grignon, à Thiverval-Grignon, dans les Yvelines, et des plusieurs centaines d’hectares agricoles de son domaine. Le château est un chef-d’œuvre de l’architecture française du XVIIe siècle, et il est le siège, depuis 1826, de l’école nationale d’agriculture, devenue hélas “AgroParisTech“, un nom totalement déculturé qui laissait présager le pire. Le pire est en train de survenir. L’école est transférée à Saclay, tout un programme pour l’agriculture française industrialisée par le truchement de la science ; et le domaine est bradé à un exploitant commercial, qui se propose d’y établir une résidence, un hôtel, un restaurant de luxe, et d’y bâtir de nouveaux bâtiments, au mépris du classement et au profit de l’artificialisation, déjà précipitée dans le département. Toute l’affaire est hautement significative d’un régime de remplacisme davocratique qui, dans sa frénésie de déraciner les hommes, bafoue leur histoire et leur géographie à travers la pierre, les sols, les eaux, la faune et la flore en lesquels elles ont corps.
1843
Sur le dépassement de la Terre
Après une légère amélioration l’an dernier, due à la pandémie, la consommation du monde reprend son cours normal. Et c’est de nouveau à la fin juillet que la planète a mangé tout son pain blanc industriel pour l’année — les mois à suivre sont une dépense sans ressources et sans capital, engagée sur crédit auprès d’une banque qui ne pardonne ni à la banquise, ni aux ours blancs, ni à la couche d’ozone, ni aux océans plastifiés, ni aux rivières pourries, ni aux forêts déforestées, ni au bidonville global, ni aux pauvres hommes et à leurs pauvres enfants. Les savants hurlent, mais il ne sort pas grand bruit de leur bouche béante, comme dans les cauchemars. Et même quand les plus audacieux d’entre eux osent mettre en cause la croissance, la plupart de leurs avertissements s’arrêtent au seuil de la croissance démographique, à quoi se résument pourtant tous les désastres en cours. On ne le répétera jamais assez, d’autant que personne ne paraît vouloir l’entendre : tant que l’augmentation globale de la population de la Terre ne sera pas maîtrisée et renversée, toutes les autres dispositions à prétention “écologique” ne seront que démonstrations inutiles, mesures d’accompagnement du rien.

Où que ce soit les politiques natalistes sont une folie. Les peuples qui doivent à leur sagesse la chance d’une raisonnable et progressive réduction en nombre de leurs individus se laissent ravir cet avantage par la submersion migratoire imposée. Le pire crime du remplacisme global davocratique — en sa course effrénée à toujours plus de consommateurs, sa fin suprême — est de procéder au remplacement systématique des peuples à faible taux de reproduction, objets d’un véritable génocide par substitution, par des populations à la croissance quantitative échevelée.
1842
Sur l’héritage
Le parti de l’In-nocence constate qu’entre les deux tours des élections régionales et départementales le régime macro-remplaciste annonce des mesures apparemment sans rapport avec elles et qui, semble-t-il, ne présentent pas de caractère d’urgence. En revanche elles procèdent de l’essence même du remplacisme global davrocratique qui, toujours, sous couvert d’égalitarisme ou d’antiracisme, entend avec constance broyer l’espèce, l’écrabouiller, l’uniformiser, la liquéfier pour la rendre mieux interchangeable, la déculturer, la désoriginer, la désinscrire du temps. Très naturellement il s’attaque à l’héritage. On dira qu’il ne s’agit que de l’héritage matériel, mais les choses sont ainsi faites qu’héritage matériel et héritage culturel, maisons de famille, objets de famille, attaches familiales, ne sont pas dissociables. En voulant que soit taxée plus encore qu’elle ne l’est déjà la transmission, le macro-remplacisme davocratique poursuit son entreprise totalitaire de réduction de l’être à un présent hébété, sans géographie et sans histoire.
1840
Sur Mlle Thaïs d’Escufon
Le parti de l’In-nocence en est sûr, le procès à Toulouse de Mlle Thaïs d’Escufon marquera une date : non pas tant parce que le Parquet demande contre elle de la prison — les résistants au génocide par substitution sont habitués à ces outrances —, mais parce qu’on voit bien au réquisitoire du procureur que c’est désormais toute opposition à la dite « “immigration” » qui est criminalisée. Mlle d’Escufon n’a bien sûr commis aucune violence, ni incité à la moindre. Elle n’incite pas davantage à la haine, car la haine n’a évidemment que faire dans un combat mené par amour pour son pays et pour qu’il perdure dans l’être. Génération Identitaire, dont Mlle d’Escufon est le porte-parole, défend mieux la loi, la Constitution, l’indépendance nationale et la sécurité des Français que les juges qui prétendent la juger. Mais dans ce monde à l’envers, ce réel de remplacement, ce faussel qu’imposent le négationnisme de masse et le remplacisme global, ce sont tous les continuateurs exacts du combat des aïeux pour l’indépendance et la liberté qui sont promis au cachot.
1839
Sur les éoliennes de Saint-Brieuc
Le parti de l’In-nocence observe que la grave fuite d’huile hydraulique du système de forage liée au chantier des éoliennes de Saint-Brieuc est comme une mise au carré de leur nocence si justement fustigée récemment par Mlle Mélisse X. Rarement est apparue de façon plus claire, ou plutôt plus fangeuse, l’hypocrisie fondamentale qui prétend rattacher les éoliennes à un souci de la Terre, de la mer et de leurs habitants. Non seulement les éoliennes sont une organisation méthodique de l’Enfer sous prétexte de combattre le diable, mais en plus, bien loin d’atténuer le mal, elles l’accroissent.
1838
Sur les violences petites et grandes
Le parti de l’In-nocence ne serait pas ce qu’il est s’il ne condamnait pas de la façon la plus formelle les brutalités dont ont été victimes dans la même semaine le président de la République et M. Jean-Luc Mélenchon. Elles sont caractéristiques du réensauvagement du monde tel que l’assure le remplacisme global, gestion davocratique du parc humain, Petit et Grand Remplacement mêlés. Tout juste peut-on remarquer que les effets du Petit Remplacement sur la violence sont jusqu’à présent moins sanglants, heureusement, que ceux du Grand. Les uns et les autres n’en contribuent pas moins à l’instauration du bidonville global, du bidon-monde — chaotique, misérable, hébété, sans foi ni loi.
1837
Sur les éoliennes et Stéphane Bern
Le parti de l’In-nocence soutient naturellement avec enthousiasme et sans réserve le combat que mène M. Stéphane Bern pour la défense du Patrimoine, et tout spécialement, ces jours-ci, contre la prolifération des éoliennes, qui sont de loin la pire atteinte à lui être portée, ainsi qu’aux paysages, à l’âme de la Nation et à la dignité d’y vivre. La question des éoliennes doit tenir une place capitale dans la campagne et l’élection présidentielle.

Les éoliennes sont le sinistre étendard brandi au-dessus de nos têtes et de nos existences de la conception remplaciste du monde, pour laquelle le territoire même et jusqu’au ciel, à l’horizon, peuvent être transformés à loisir en fonction de prétendues exigences pratiques ou économiques, voire écologiques. Les prétentions écologiques de l’industrie de l’éolien sont particulièrement cyniques et absurdes, bien sûr, puisqu’il est vain de vouloir protéger un monde du désastre en organisant méthodiquement sa catastrophe. La logique est ici la même, on le remarquera, que celles de ces politiques également remplacistes qui prétendent lutter contre l’insécurité, non pas en mettant fin à ses causes — le Grand Remplacement, le changement de peuple et de civilisation, le multiculturalisme déculturé et décivilisé —, mais en construisant toujours de nouvelles prisons et en multipliant les caméras et autres instruments de surveillance. Dans un cas comme dans l’autre, ce n’est jamais qu’aménager l’Enfer au lieu de tenter d’en sortir.
1836
Sur la justice et et la police
La police reproche à la justice d’être trop laxiste, et de ne pas lutter efficacement contre la délinquance. La justice repousse cette accusation et fait remarquer que jamais la population carcérale n’a été si nombreuse. Or les deux propositions sont vraies — la seconde nonobstant la première. Leur somme, c’est l’augmentation constante de la délinquance, de la nocence, de la violence, partant de l’insécurité. Mais la police et la justice, malgré leur désaccord, sont tout à fait résolues l’une et l’autre à ne pas dire un mot des causes et donc de la réalité de pareille situation, qui est l’expression inévitable de la conquête coloniale en cours, du Grand Remplacement, du changement de peuple et de civilisation, du génocide par substitution : c’est-à-dire de tout ce qui fait la matière même du négationnisme de masse, et ne doit, selon lui, en aucune façon être mentionné. Dans ces conditions, caractéristiques du faussel, du réel faux, du faux réel, débats et disputes entre justice et police relèvent du théâtre d’ombres : ils sont littéralement parler pour ne rien dire.
1835
Sur l’invasion bien-aimée
Le parti de l’In-nocence remarque que l’invasion du continent se poursuit tandis que les Français retrouvent leur cher “petit café en terrasse”, que la nocence ravage les territoires occupés et que la police, sous la pression des riverains excédés, déplace vers les jardins publics les drogués et leurs fournisseurs. Les commissariats font l’objet de véritables actes de guerre et le ministre de l’Intérieur descend dans la rue pour manifester avec les forces de l’ordre contre le ministère de l’Intérieur. Une guerre ? Quelle guerre ?

Des milliers d’Africains touchent terre en Espagne, et la Presse, l’ensemble des médias du Bloc Négationniste Génocidaire (BNG), déplore que près d’un quart d’entre eux courent le risque, hélas, d’être refoulés. Le Bloc est tout indulgence pour ces envahisseurs et tient absolument à faire partager à la population indigène, ou à ce qu’il en reste, sa complaisance énamourée à leur égard. D’ailleurs il est si sûr de son affaire, désormais, et de l’accomplissement sans encombre du génocide par substitution, qu’il ne fait plus la moindre référence au plus léger soupçon de “réfugiés”. Ceux qui débarquent pour nous remplacer n’ont plus besoin de prétexte ou de semblant. Ils sont de toute façon les bienvenus, et ceux qui les aident sont des bienfaiteurs de l’humanité. Quant aux victimes du Grand Remplacement en cours, elles ne sont invitées à rien d’autre qu’à aimer les premiers pour leur détermination et admirer les seconds pour leur vertu.
1834
Sur les éoliennes du Blayais
Le parti de l’In-nocence s’associe tout naturellement avec ardeur à la pétition et à toutes les intentions de protestation et d’action qui depuis 2014 s’attachent à contrer l’ignominieux projet de l’ÉDF d’ériger quarante éoliennes de cent quatre-vingt mètres de hauteur en plein estuaire Gironde, entre les sites classés au patrimoine de l’humanité de la forteresse de Blaye et du plus beau phare du monde, celui de Cordouan, dans un paysage admirable, au beau milieu de marais et autres zones humides à la biodiversité incomparable, étape essentielle des grandes migrations. On ne saurait concevoir plus dense et plus compacte accumulation de nocences que ce dessein qui s’arrange pour attenter férocement à la culture, à la fois, à la nature, à la loi, aux traités internationaux, au confort et à la dignité des habitants et au bon sens. Rarement le prétexte écologique aura plus cyniquement servi de couverture aux plus bas appétits économiques et aux plus graves outrages à la mer, à la Terre, à l’air, au monde animal, à la beauté et à l’homme. Toutes les forces de la raison doivent s’unir pour empêcher cet irréversible désastre.
1833
Sur l’insécurité et les quartiers populaires
Le parti de l’In-nocence observe que le président de la République, préparant la campagne de sa réélection, choisit d’évoquer à Montpellier le thème de l’insécurité, en incriminant plus particulièrement la drogue, telle que sévit son trafic dans les dits “quartiers populaires”. On ne saurait trop relever la survie dans le vocabulaire présidentiel de cette expression cynique, “quartiers populaires”, pour désigner les zones d’où le peuple indigène a été éradiqué, où le nettoyage ethnique est achevé. Ce choix de mots dit tout ce qu’il y a à dire et à comprendre de l’ensemble du message, et suffit à montrer combien il est typique du remplacisme global davocratique, et représentatif du négationnisme génocidaire. Au lieu qu’un vaste phénomène, une nocence caractérisée relevant de l’action policière et de la répression pénale — la drogue, le trafic de drogue —, soit replacé dans la situation historique dans laquelle il s’inscrit et qui explique seul les formes qu’il a prises, c’est cette situation, au contraire, qui est encore une fois totalement occultée, comme s’il n’y avait pas de colonisation en cours, pas de submersion ethnique, pas d’islamisation, pas d’africanisation, pas de génocide par substitution. C’est le triomphe de “l’hypothèse exclue” : toutes les hypothèses sont envisageables, à une unique exception près, celle qui convoque la réalité, le changement de peuple, le changement de culture et de civilisation, le Grand Remplacement.
1832
Sur la sécession scolaire et le volontariat étendus aux universités
Le parti de l'In-nocence propose depuis sa fondation que soient attribués par l’Éducation nationale des bâtiments et des fonds à ceux, adultes et enfants, qui désirent prodiguer ou recevoir un enseignement traditionnel, sur le fondement d’un triple volontariat : des maîtres, des parents d’élèves et des élèves eux-mêmes, appuyés par un corps professoral d’assistance individuelle. L’état actuel des universités, le sinistre spectacle de celle de Tolbiac durant et après son occupation par ses étudiants, l’évidence de la lumpen-prolétarisation quasi générale de l’enseignement supérieur — et cela bien moins à cause du manque de moyens que du fait de la nature et des méthodes de l’enseignement dispensé —, tout cela le convainc que ce qu’il préconisait pour l’enseignement primaire et secondaire serait également d’un usage judicieux, à présent, pour les universités. Évidemment, en cette occurrence, le volontariat, double, donc, ne concernerait plus que les maîtres et les étudiants. Ceux-ci et ceux-là seraient assurés de véritables cours, de véritables notations, de véritables examens, d’une authentique sélection. Ils ne risqueraient rien d’autre, s’ils ne pouvaient s‘en accommoder, qu’un retour au système actuel. Le parti de l’In-nocence estime qu’il convient de fonder en France, de toute urgence, à titre de sanctuaires, deux ou trois universités véritables au moins. Elles ne nuiront en rien à toutes celles qui existent, mais pourront au contraire leur servir de modèles.
1831
Sur le paquebot “Symphony of the Seas”
Le parti de l’In-nocence a vu avec accablement prendre la mer, des chantiers de l’Atlantique, à Saint-Nazaire, le monstrueux paquebot de croisière “Symphony of the Seas", double barre de HLM de luxe, on le suppose, qui va souiller les mers de son imbécile énormité, comme de comparables architectures souillent les montagnes. Il est presque inimaginable que la finance hors-sol (c’est le cas de le dire) s’obstine à mettre à flot des projets aussi absurdement éléphantesques, à une heure où tout dit à l’homme qu'ayant été jusqu’au bout de lui-même il lui faut à présent revenir sur ses pas — d’autant que ce bout de lui-même, manifestement, n’est pas un pays très hospitalier, ni très séduisant…. Le temps n’est plus des records, des plus grands, des plus hauts, des plus gros, des plus laids, des plus bêtes. Voilà pourtant que le remplacisme global transporte entre les îles, sous les espèces de ce mastodonte, une de ses marques de fabrique, la massification low-cost, fût-elle ostentatoire et ruineuse. Le peu qui reste à la France d’industrie, il est bien triste qu’il lui serve à produire, pour le reste du monde, ces ravageuses sottises.
1830