FOG sévit encore, en ce moment c'est sur France 5.

Décadence, individualisme, moeurs ramollies et tutti quanti

[www.france5.fr]

La «civilisation occidentale» serait-elle en déroute ? Quels sont les marqueurs de ce supposé déclin ? Doit-on, peut-on y remédier, et comment ? Pour répondre à cette question explosive, Franz-Olivier Giesbert reçoit sur le plateau des intellectuels et éditorialistes issus de courants de pensée différents qui confrontent leurs idées. Il donne la parole aux philosophes Alain Finkielkraut et Michel Onfray, ainsi qu'à Maboula Soumahoro, expert en civilisation. La polémiste Elisabeth Lévy prend elle aussi la parole au cours de cet échange aux implications politiques et sociales des plus nombreuses.

La “civilisationniste” Maboula Soumahoro n’est-elle pas celle que l’on voyait rire face à Richard Millet, à “Ce soir (ou jamais !)”, le 7 février 2012, lorsque l’écrivain expliquait qu’il était, parfois, le seul Blanc au Châtelet, à six heures du soir (cf. la vidéo de YouTube intitulée « La dépossession ») ?

C'est bien elle. Sa prestation face à Millet était son grand oral, c'est son diplôme.

L'émission était soporifique.
Je n'y ai pas entendu le moindre diagnostic, la moindre vision d'ensemble ; des petits aperçus sur l'économie... Quelqu'un a-t-il saisi une idée ? En 1h30, dire aussi peu de choses, c'est un exploit ; de quoi est-il le nom ?

Je n’avais pas vu l’émission (actually, j’étais en train d’enregistrer la mienne avec Finkielkraut lui-même) ; je la regarde maintenant. Dès le début, que la présentation de départ est vulgaire, agressive, comme elle se permet tout et traite tout avec légèreté !

On trouve sur internet la très mauvaise thèse de cette Maboula Soumahoro. C'est moins un chercheur qu'une militante.
[www.applis.univ-tours.fr]
La dédicace est très instructive :
"A mon Père. A mon Oncle. A Bouna et Zyed. Pour ma Mère et mon sang."
Cette femme est donc raciste ! Un Blanc qui dirait cela serait tout simplement banni de toute institution publique.
Le reste de sa thèse est mal écrite. Son sujet est artificiel et militant. Il est question de "la diaspora noire", notion absurde !
Qu'on invite cette anglicisite (et non une spécialiste des civilisations, comme la présente complaisamment F.O.G.) médiocre me dépasse. Elle n'est rien, n'a rien à dire. Si elle disait la même chose en étant blanche, personne ne lui tendrait un micro : c'est donc du racisme ou du racialisme ! C'est de toute façon une trahison de la tradition française !

Finkielkraut sauve le tout, comme d'hab'. Notre amie Elisabeth Lévy, en revanche, n'est pas en grande forme, comme souvent ces derniers temps.

Merci, cher Virgil, votre lien est très instructif, en effet, sur la valeur du travail de cette dame. Sans doute un exemple de résultat de l'objectif "réussite pour tous à l'Université"...

On peut y trouver aussi, dans les remerciements, une jolie collection (la douzaine de frères et sœurs, "tonton Ben, Tatie Jen", etc.). C'est très très sympa et chaleureux, et puis c'est pas coincé, quoi.

Merci à ma famille (diasporique), dispersée de tous les côtés de l’Atlantique:
Hadja Bamousso, le modèle.
Mes frères (Mamadou, Hallassane, Gento, Gilles et Richard) et soeurs (Massiamy, Boutou, Momo, Myriam, Selbé et Inzata), la force et l’inspiration.
Mon neveu et mes nièces (Naomi, Ismaël, Iman, Soheïla, Diane, Kayla et Lana).
Mon filleul et mes filleules.
Tonton Ben, Tatie Jen, les familles Compaoré et Ouédraogo, Aïcha.
Au Tana de Sumanguru, qui veille H24.

A noter également que cette Maboula Soumahoro était présente à une conférence du "Parti des indigènes de la République" aux côtés de Houria Bouteldja, un parti qui distille un discours rancunier, anti-blanc, et qui soutient les islamistes.



On a donc bien affaire à une militante idéologique. Evidemment, si le même genre de points de vus extrémistes émanaient d'un universitaire "de droite", celui-ci serait immédiatement dénoncé comme étant d'extrême droite ou raciste, marginalisé, victime de pétitions hostiles ou poussé au départ, et l'on considérerait que ses travaux ne sont pas objectifs. Mais dès lors qu'il s'agit de thèses d'extrême gauche, communautaristes et violemment anti-occidentales, cela ne semble pas gêner outre mesure…

Maboula, la bien prénommée.