Communiqué n° 1031 : Sur les États-Généraux à propos de sécurité à l'école

Communiqué n° 1031, mercredi 7 avril 2010
Sur les États-Généraux à propos de sécurité à l'école

Le parti de l'in-nocence voit dans les prétendus États-Généraux (très peu généraux...) à propos de la sécurité à l'école une nouvelle manifestation, et parmi les plus criantes, de l'aveuglement passif ou délibéré qui préside à tant de débats dans notre pays depuis les débuts de la contre-colonisation : on y constate en effet que des dizaines d'experts supposés sont parfaitement capables d'échanger leurs vues sur cette question, et de proposer leurs remèdes à la catastrophique situation actuelle, sans évoquer jamais le facteur ethnique, dont l'influence est pourtant éclatante, et sans remettre un seul instant en cause les sacro-saints principes du multi-culturalisme et de la diversité. Que la diversité engendre la violence, c'est ce que tous ceux qui ont présidé à travers les siècles aux destinées de la France, comme d'ailleurs à celles de n'importe quel pays, ont toujours su. Encore n'imaginaient-ils pas que leurs successeurs seraient assez inconscients pour organiser et pour célébrer avec éclat une diversité maximale et d'emblée antagonistique, entre des peuples, des cultures, des civilisations, des religions, des langues dont les représentants sont quotidiennement dressés, et d'abord par nous-mêmes, à détester notre peuple, à mépriser sa culture, à vomir sa civilisation, à bafouer sa langue, à haïr son histoire et à honnir sa religion ou l'ensemble de sa réflexion spirituelle ou philosophique. Les promoteurs du Grand Remplacement et les alliés de la conquête en cours sont mal venus à venir s'inquiéter à présent des formes désagréables mais trop prévisibles que revêtent dans les enceintes scolaires ces évolutions qu'ils ont tolérées, permises, encouragées et finalement, en désespoir de cause et contre toute évidence, exaltées comme de hauts accomplissements de la vertu civique, de l'humanisme et de la morale.

Je découvre avec terreur que le criminologue A. Bauer a été associé à ces états généraux. Compte tenu de la faveur extraordinaire dont il jouit en très haut lieu, il est à craindre que ses propositions ne soient rapidement suivies d'effets...

Extrait du Point :

"L'exclusion est le mode de non-gestion des problématiques" de violences en milieu scolaire, a déclaré M. Bauer. "Nous ne souhaitons pas prohiber" cette pratique, mais elle doit être "entièrement reconsidérée", a-t-il ajouté.

Le criminologue a notamment plaidé pour "que les règles du droit s'appliquent de manière claire dans les établissements" scolaires, en particulier lors des conseils de discipline, où actuellement la même personne a les rôles de procureur et de juge.

"Le conseil de discipline doit être présidé par quelqu'un d'extérieur à l'établissement", a-t-il prôné, ajoutant que les parents des élèves en cause devaient être reçus "avant chaque conseil de discipline".

Parmi ses autres propositions, la mission prône de "refondre le système d'analyse et de statistiques" des violences qui n'est "ni stable ni fiable, et peut être stigmatisant", a dit M. Bauer.

Elle propose aussi de "modifier les nominations d'enseignants du second degré", un "sujet sensible", pour "ne plus affecter les enseignants les plus jeunes dans les établissements les plus difficiles".

Quant à la formation à la gestion de crise, "très importante", elle doit être donnée "tout au long de la formation des enseignants, dès la licence". Et la formation doit aussi être ouverte "aux assistants d'éducation", a ajouté M. Bauer.

Et pendant ce temps les professeurs de doute continuent de refuser l'éclatante et tragique réalité de la Diversité, la sachant ou la dissimulant volontairement, minaudeurs qui se posent des questions tordues (tel le cigare de Lacan) pour savoir si le feu qui embrase la maison est vraiment un feu ou bien un fantôme de feu - et le rat, après tout, n'est-il pas un chat ?, ceci afin, et toujours selon l'expression consacrée, de "ne stigmatiser personne".


"sans évoquer jamais le facteur ethnique, dont l'influence est pourtant éclatante"

C'est très courageux de le souligner.

[Texte mis aux normes]

Le colloque s'est déroulé en partie au lycée Louis-le-Grand, en partie à la Sorbonne. Tous ces "spécialistes" n'ont jamais dépassé le boulevard périphérique, et n'ont jamais chercher à voir la réalité. Ils se contentent de débattre entre eux dans un endroit agréable. Pourquoi le colloque n'a-t-il pas eu lieu à Villiers-le-Bel ou Clichy-sous-Bois? La réalité aurait-elle été trop visible?

La réalité aurait-elle été trop visible?

Meuh non Bellini, la "visibilité" c'est seulement pour les "minorités", jamais pour la réalité.

Citation
Agrippa
Je découvre avec terreur que le criminologue A. Bauer a été associé à ces états généraux. Compte tenu de la faveur extraordinaire dont il jouit en très haut lieu, il est à craindre que ses propositions ne soient rapidement suivies d'effets...

La fiche Wikipédia de A. Bauer nous apprend, entre autres, qu'il possède de nombreux liens avec des responsables du Parti socialiste et qu'il a été membre de la Halde de 2005 à 2007...
Il y a en effet fort à parier qu'il ne sortira rien de ces Etats-Généraux, si ce ne sont les mêmes sempiternelles mesures bien pensantes qui ont justement fait que la situation est dans un état si déplorable.


Dommage qu'ils n'aient pas confié ces travaux au criminologue Xavier Raufer ; on aurait eu un autre son de cloche...


Xavier Raufer à "C dans l'air" sur la violence à l'école



Xavier Raufer à "C dans l'air" sur les bandes violentes

Les deux hommes se connaissent bien et signent des livres en commun.

Seul l'un des deux a l'oreille du Prince.

Il est préfèrable de ne pas entrer trop dans les détails, mais sachez que quand le monsieur en cause (et dont les idées me semblent contraires à celles d' l'In-nocence) a décidé de faire aboutir un projet, il y a peu de gens à même de lui résister, quelle que soit leur couleur politique.