Il est devenu évident qu'Obama est un progressiste de la plus dégoulinante bienpensance et un musulman pratiquant la takia.
Trois extraits pour la mise en bouche:
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« Les Etats-Unis renoncent à utiliser l’arme nucléaire contre des pays ne disposant pas officiellement d’armes nucléaires, même en cas d’attaque venant de l’un de ces pays ».
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les scientifiques israéliens travaillant à la centrale de Dimona se voient désormais refuser tout visa d’entrée aux Etats-Unis. Voici quelques jours, Tariq Ramadan, lui, recevait un visa qui lui avait longtemps été refusé….
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« Obama pense que nous pouvons tous nous tenir par la main béatement, chanter des chansons et brandir des symboles pacifistes. Il devrait s’apercevoir que la Corée du Nord et l’Iran ne sont pas prêtes à chanter avec lui ».
Obama, Président « bizarre » ? (info # 011204/10) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Cela fait moins d’un an et demi qu’Obama est à la Maison Blanche. Je m’attendais à ce qu’il soit un homme dangereux et destructeur. J’ai expliqué longuement pourquoi. J’ai retracé son passé, décrit ses fréquentations douteuses, où les escrocs voisinent avec les terroristes, les islamistes avec les antisémites.
Je prévoyais qu’il se conduise très mal avec Israël et qu’il tienne des propos injustifiés tels ceux qu’il a tenus dans son discours du Caire.
Je prévoyais aussi qu’il dilapiderait des milliards de dollars et endette le pays. Je m’inquiétais de l’idolâtrie aveugle de ceux qui le traitaient comme une réincarnation de Jésus ou d’Elvis Presley, alors qu’il n’était, évidemment, ni l’un ni l’autre.
Je ne m’attendais pas, je l’ai dit, et je le redis ici, à ce qu’il se révèle dangereux et destructeur à ce point. Je comptais sur la solidité des institutions américaines, sur les principes de « surveillance et d’équilibre » qui, en général, permettent qu’un pouvoir en tempère et en modère un autre.
Dans une situation où deux pouvoirs sur trois, l’exécutif et le législatif, sont aux mains de gens qui ne sont pas hantés par les scrupules, les institutions sont fragilisées : on l’a vu de manière très claire lors des manœuvres, contorsions et contournements de procédure, qui ont précédé le vote de la loi de « réforme du système de santé », qui n’a de « réforme du système de santé » que le nom.
Je comptais sur un minimum d’éthique chez un certain nombre de représentants et de sénateurs Démocrates pour s’opposer à des nominations trop marquées idéologiquement, ou pour s’inquiéter de la façon dont le Président monopolise des dossiers, sans même consulter le Congrès. Il y parvient en nommant des « tsars », chargés de tous les dossiers possibles et imaginables, qui vont du « dialogue entre les religions » (confié à une musulmane proche d’une organisation wahhabite, bien entendu), aux relations avec les syndicats.
Il n’y a eu, pour l’heure, ni opposition ni inquiétude, et, outre quarante tsars, Obama a pu nommer des gens aux attaches islamiques prononcées à des postes importants, touchant la sécurité nationale : Arif Alikhan et Kareem Shora.
Obama pense que nous pouvons tous nous tenir par la main béatement, chanter des chansons et brandir des symboles pacifistes (Rudy Giuliani)
Il vient de nommer Rashad Hussain - l’un des avocats de Sami al Arian, convaincu d’avoir organisé le financement, depuis les Etats-Unis, de fonds pour le « Djihad islamique palestinien » - envoyé spécial des Etats-Unis auprès de l’Organisation de la Conférence Islamique, avec rang de ministre plénipotentiaire.
Je comptais sur un réveil de la presse et des grands médias : celui-ci tarde à venir. Le seul bon signe de ce côté est que les ventes des grands magazines d’actualité, Newsweek et Time sont en chute libre, comme celles du New York Times.
Du côté des télévisions, ce qui reste une autre bonne nouvelle, Fox news est désormais, de très loin, la première chaîne du câble.
Mais des nouvelles sont déformées outrageusement : des Tea Parties qui attirent trente mille personnes sont décrites comme ayant « quelques dizaines de participants ». Ou, plus grave, les Tea Parties sont présentées comme « racistes », quitte à ce que soient utilisés à cette fin de faux témoignages. Je ne parlerai pas, pour l’heure, de manipulation de l’opinion, mais je ne suis plus très loin de penser que ces mots seraient adéquats.
Je ne m’étais pas penché de manière détaillée sur le profil psychologique d’Obama, ce qui était une erreur de ma part. Je n’étais pas le seul, il est vrai, à ne pas l’avoir fait.
Je constate que, depuis quelques jours, des commentateurs se posent des questions à ce sujet. Anne Kornblut, dans le Washington Post, relate une récente rencontre avec des électeurs Démocrates et explique, d’une manière très détaillée, l’inaptitude d’Obama à répondre à des questions simples, dès lors qu’il ne dispose pas de son téléprompteur.
Mais aussi, son aptitude à dire une chose et son contraire à quelques minutes d’intervalle. L’article du Washington Post en a suscité un autre, dans le San Francisco Chronicle, un troisième dans le Wall Street Journal.
Sur le site Pajamas media, dans un texte appelé « President Weirdo » (Président bizarre), Roger Simon élargit la perspective, note d’autres incidents, et manifeste une profonde anxiété : Obama est sans doute un socialiste, dit-il, mais le problème est plus complexe. « Cet homme a une inaptitude psychologique à gouverner ». « Il a été élu par des gens qui ne savaient presque rien de lui. Il est maintenant notre président jusqu’en 2012 au moins. Je dois nous souhaiter bonne chance ».
Je partage l’anxiété de Roger Simon. J’aimerais pouvoir me dire que ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Mais cela devient vraiment un très mauvais moment.
Parce que j’aime les Etats-Unis, je ressens ce moment avec douleur. Parce que je sais que la puissance américaine est tout ce qui nous sépare, sur terre, du règne des barbares, je crains plus qu’il y a quelques mois que cette plaisanterie ne s’achève tragiquement.
Parce que je vois le traitement subi par Israël de la part d’Obama, et que je vois que les gouvernements européens en profitent pour en rajouter, je suis partagé entre l’indignation et le dégoût.
Le grand poète et écrivain canadien David Solway a publié, il y a quelques jours, une lettre ouverte au peuple américain intitulée : « Qu’avez-vous fait ? ». Et le texte explique : comment avez-vous pu élire ce personnage et lui confier de telles responsabilités ? « Vous allez en payer le prix. Mais vous ne serez pas seuls à payer, Et nous avons, en ces conditions, le droit de vous le dire, oui : qu’avez-vous fait ? ».
Alors que j’achevais cet article, Obama a pris une décision qui a suscité l’extase dans toutes les rédactions européennes, mais qui a montré la justesse de l’interpellation de David Solway : un renoncement à la dissuasion nucléaire.
Je cite le document officiel : « Les Etats-Unis renoncent à utiliser l’arme nucléaire contre des pays ne disposant pas officiellement d’armes nucléaires, même en cas d’attaque venant de l’un de ces pays ».
Je citerai là le commentaire à chaud de Rudy Giuliani : « Obama pense que nous pouvons tous nous tenir par la main béatement, chanter des chansons et brandir des symboles pacifistes. Il devrait s’apercevoir que la Corée du Nord et l’Iran ne sont pas prêtes à chanter avec lui ».
Celui de Charles Krauthammer : « une décision ridicule ou relevant de la maladie mentale ». Quelle sera la décision suivante ? J’ai renoncé à tenter d’imaginer.
Tandis que je rajoutais ce dernier paragraphe, j’ai appris une nouvelle décision : les scientifiques israéliens travaillant à la centrale de Dimona se voient désormais refuser tout visa d’entrée aux Etats-Unis. Voici quelques jours, Tariq Ramadan, lui, recevait un visa qui lui avait longtemps été refusé….