Communiqué n° 1066 : Sur la plus grave menace issue de la crise économique

Communiqué n° 1066, jeudi 3 juin 2010
Sur la plus grave menace issue de la crise économique

Le parti de l'In-nocence reçoit avec une grande inquiétude la nouvelle selon laquelle, aux Pays-Bas et à l'occasion des élections législatives, les partis dont les premiers sujets de préoccupation sont le Grand Remplacement et les divers méfaits de la société pluriethnique et multiculturelle verraient diminuer rapidement les intentions de vote en leur faveur, et cela du fait de la crise économique européenne, qui paraîtrait aux électeurs un problème plus urgent.

Le parti de l'In-nocence estime évidemment que la plus grave des crises économiques, si douloureuse soit-elle pour nombre d'entre nous, est peu de chose comparée aux maux de la contre-colonisation qui mettent en cause, eux, l'existence même des peuples concernés, leur participation, ou non, à la suite de l'histoire, la possibilité même, ou pas, pour eux, d'une suite à l'histoire. Les électeurs où qu'ils soient en Europe seraient bien fous qui se laisseraient distraire une fois de plus de cette menace-là, car elle englobe toutes les autres. Au reste on ne voit pas pourquoi les partis indigènes opposés à la contre-colonisation seraient moins compétents que les autres pour lutter contre la crise économique : les autres, qui se targuent de leur expérience, ce sont précisément eux qui l'ont fait advenir, cette crise, et qui nous y ont entraînés.

"(...) les autres [partis], qui se targuent de leur expérience, ce sont précisément eux qui l'ont fait advenir, cette crise, et qui nous y ont entraînés."

Comment ça ? Je croyais que l'envie générale de "batifolage" des populations était cause de tout.

Citation
Au reste on ne voit pas pourquoi les partis indigènes opposés à la contre-colonisation seraient moins compétents que les autres pour lutter contre la crise économique : les autres, qui se targuent de leur expérience, ce sont précisément eux qui l'ont fait advenir, cette crise, et qui nous y ont entraînés.

Juste mais il ne faut pas oublier que dans toute l'Europe les courants politiques responsables de l'immigration-invasion détiennent le monopole médiatique et culturel depuis des décennies et que c'est grâce à cet avantage, que l'on peut considérer comme décisif, qu'ils se sont maintenus et se maintiendront au pouvoir contre vents et marées.

Une partie importante des francais avaient élu NS en 2007 dans l'espoir qu'il entreprenne enfin une politique en vue de restreindre le nombre de nouveaux arrivants et d'adopter des mesures concrétes pour diminuer les problèmes de sécurité dont les citoyens de notre pays sont tous les jours les victimes.

En dehors de quelques mesures de nature cosmétique rien de sérieux n'a eu lieu et le pays continue à voir année après année un flot de nouveaux immigrants entrer alors que l'Etat est surendetté et qu'un chômage endémique régne.

Résultat: en 2012 on peut prédire que la gauche reviendra au pouvoir avec toutes les conséquences que cela va avoir.

Les partis qui combattent le plus la contre-colonisation devraient s'attacher à développer, outre cet aspect de leur programme, une analyse et des propositions en matière économique.

Force est de constater que ces partis-là ont des faiblesses significatives en ce domaine (mise à part la Ligue du nord, qui s'appuie sur la coalition conservatrice, et le parti suisse dont on parle parfois).

Combattre la contre-colonisation, c'est bien, mais ce n'est pas l'alpha et l'oméga de la politique.

Les préoccupations matérielles des populations ont leur place, comme le disait déjà Brecht : "Erst kommt das Fressen, dann kommt die Moral!"

Le Parti de l'In-nocence me paraît être en capacité de construire un schéma cohérent, basé sur une politique de basse imposition, à condition qu'il renconce à des a priori pour moi incompréhensibles, le plus évident étant celui de l'étatisation de l'instruction et de l'enseignement, domaine qui allie profondeur du gouffre budgétaire et noirceur de l'abîme culturel.

A l'inverse, un parti comme le Front-national a un projet économique qui ne le dispute en stupidité qu'à sa politique étrangère.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Très très bien !

Juste, en effet, et cependant, on pourrait élargir le spectre des couleuvres que la crise économique est destinée à faire avaler.