Lugan et l'esprit aristocratique

Desouche nous livre cette interview sur l'avenir de l'Europe vu par Bernard Lugan (vision optimiste à mon avis, mais bon...).





A signaler : Bernard Lugan fait référence au Grand Remplacement dans un article que vous pourrez lire dans le numéro de septembre 2010 du Choc du mois.

J'étais en train de le regarder. J'allais le signaler. Très intéressant.

Un peu d'optimisme, de temps en temps, ça fait du bien. Merci.

Optimisme, optimisme... Oui, si l'on veut.

J'appelle optimiste celui (ou celle) qui, dans son domaine, agit pour que les choses s'améliorent. Agit et réfléchit.

De lui, je me rappelle cette phrase prononcée, je crois, à la télévision : "Mais je parle viril, moi, Monsieur !". C'est toujours vrai.

Son analyse de mai 68, dans un autre épisode de cet entretien, est excellent. Je trouve aussi excellente son analyse de l'arrivée au pouvoir de socialistes : "la prise de pouvoir des instituteurs, du bas clergé" dont il montre comment ils ont détruit l'université, puis le lycée, puis tout le reste, par démagogie, par ressentiment, jalousie. Leur médiocrité, "fille bien portante de la vanité blessée" (René Martineau), fut imposée à tout le système d'instruction, au monde du travail ensuite.