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De l’intégration à la désintégration…

Envoyé par Gérard Rogemi 
De l’intégration à la désintégration…
Dimanche 19 septembre 2010

Avec des propos amers et, certes, parfois très vulgaires, mais aussi plein de bon sens Aldo Sterone explique pourquoi l’Europe en général, la France en particulier courent à leur perte en « désintegrant » ceux qui avaient suivi les règles du jeu du pays d’accueil.


Remarquablement intelligent.

Vive la Corse où les immigrés maghrèbins vivent bien plus heureux que sur le continent parce que les Corses savent se faire respecter !
La vulgarité, les grosses métaphores génitales, ne sont pas aussi impertinentes ou absurdes qu'il y paraît, car c'est bien l'athlète, qui fait tant frémir et émoustillent si fort nos invités des plateaux télés représentant le showbiz, qu'il est juste, à leurs yeux gourmands, de récompenser d'une carte de séjour: voyez le film de Costa Gavras, tout à la gloire du clandestin saute-frontières, héros des temps modernes, gladiateur qu'il faut gracier à l'arrivée de sa course sous forme de la récompense suprême, celle de la carte de séjour offerte avec le sourire, et les prestations sociales "no question asked" auxquelles le peuple historique n'a pas droit (AME, CMU, etc.). Jeu du cirque, jeu Koh Lanta -- si tu parviens à t'échouer sur une plage française, t'a gagné le gros lot -- et cinémonde ne font qu'un, les perdants du jeu étant les étrangers qui, respectant encore la France, font la queue au bureau des délivrances de visa Shengen dans leur pays comme on leur a dit de faire. Ils ignorent, les malheureux, les pauvres couillons, que la France adore le resquilleur et la crapule et leur confère, au détriment de ceux qui obéissent encore aux lois, la priorité suprême. Ils ignorent que l'Etat français se comporte avec l'ensemble du monde et ses citoyens comme la prod d'un jeu de téléréalité, même morgue capricieuse, même divertissement à propager l'injustice par jeu. Et l'on s'étonnera ensuite que dans les parcs d'attraction, certains jeunes ne font plus la queue, vous passent devant, vous marchent sur les pieds et vous font un doigt d'honneur en manière d'excuse: c'est qu'ils ont bien vu que les autorités du pays adorent ça, récompensent cette attitude, vénèrent le rebelle, et que ces autorités, qui bafouent les lois en favorisant qui les séduit ou qui leur en impose, ont adopté au fond un comportement qui ressemble au leur.

Donner sans poser de questions à ces clandestins tout ce qu'ils demandent revient à octroyer des couvertures sociales à des gens qui peuvent, chez eux, être propriétaires fonciers, posséder des affaires, ou en être partenaires, bref autant d'atouts économiques et sociaux qu'il est interdit au ressortissant français ordinaire de posséder, même à l'étranger, pour prétendre à ces prestations de la part de l'Etat dont il est citoyen et que ses parents et grands-parents ont contribué à bâtir et à renforcer. Cela revient aussi à se faire le complice potentiel de mafias, de réseaux mondiaux opaques, et d'entreprises dont la nature criminelle doit être soupçonnée du fait même que ces réseaux ont recours à l'illégalité pour s'implanter dans le pays.

Un état qui favorise les clandestins et leurs mafias au détriment de ses citoyens est un état voyou.
Utilisateur anonyme
25 septembre 2010, 11:17   Re : De l’intégration à la désintégration…
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Citation
Tout de même, c'est instructif...

Instructif et accablant ....
Didier, cela me confirme qu'il faut sortir des constructions trop sophistiquées et parler aux Français des choses qu'ils comprennent : ces chiffres sont du plus grand intérêt.
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