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Communiqué n° 1120 : Sur la réunion à Vienne de certains partis hostiles à l'immigration de masse

Communiqué n° 1120, mardi 26 octobre 2010
Sur la réunion à Vienne de certains partis hostiles à l'immigration de masse

Le parti de l'In-nocence remarque qu'une réunion organisée ces jours-derniers à Vienne a regroupé divers partis européens hostiles à l'immigration de masse, à l'islamisation de l'Europe et à l'entrée de la Turquie dans l'Union. Même s'il est bien loin d'être en accord avec toutes les vues des partis réunis à Vienne, et se trouve même en opposition radicale avec certaines d'entre elles, le parti de l'In-nocence adhère sans réserve à l'urgente nécessité du combat politique à l'égard de la contre-colonisation de l'Europe et du rapide remplacement des peuples de notre continent par d'autres qui imposent progressivement leur propre civilisation.

Le parti de l'In-nocence note que les organisateurs de cette réunion se sont dispensés d'inviter à se joindre à eux le Front national français. Il tient à cette occasion à rappeler qu'il a toujours vu comme un drame historique désolant que l'impérieux besoin du combat anti-remplaciste n'ait été soutenu en France que par un parti auquel les accablants débordements de son chef et les compromissions d'une partie de ses troupes rendaient totalement impossible d'adhérer. Le Front national de Jean-Marie Le Pen a tout fait pour que ses analyses, justes sur bien des points, et en particulier l'immigration, restent sans suite et ne débouchent pas sur une résistance véritable à la submersion colonisatrice qui survient — nous en observons tous les jours les sinistres conséquences.
La mise au point quant au Front national est limpide ; elle est capitale pour l'avenir en ce qu'elle contribue à définir le PI ; personnellement, j'y adhère sans la moindre réserve.
L'avocat du diable : "Mais le PI est plus jusqu'auboutiste que le FN : il veut des résultats, au lieu de grimaces et de frime !"
moui en tout cas le PI avant 2025 ou plus et une structuration, une médiatisation et des symboles forts, à par 0,9% à une election, que peut-il esperer? je suis sarcastique, mais le FN est le seul pouvant aspirer à quelque chose(et le seul qui défende les choses communes à votre parti), cette division est dangereuse, j'espère qu'en temps voulu, vous ne défendrez pas l'UMPS, bien pire que les diabolistions excessives affublées au FN.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Mais pourquoi parle-t-on de l'UMPS ?

C'est un discours qui ne correspond qu'à une réalité : celle des Français qui ne veulent ni de M. Le Pen, ni de sa fille, ni de de M. Besancenot, ni de M. Mélenchon (je suppose que Mme Duflot est membre honoraire de l'UMPS).

Cette UMPS, comme les extrémistes disent, est en fait la France modérée, qui n'aime pas les agitations tribunitiennes et les bateleurs.

Pour les ennemis de l'UMPS, un conseil, à plusieurs volets :

- ayez un programme qui ne soit pas que protestation et incantation ;

- ensuite, faites-vous élire, c'est à dire, dans notre démocratie, rassemblez une majorité dans votre circonscription.

Si votre but est simplement de vous plaindre et alterner prise de veste et déculottée, alors continuez à parler d'UMPS.

Pour conclure, si vous croyez voir que MM. Mariton et M. Emmanuelli ont des positions identiques, allez en urgence aux Quinze-vingts, il y a d'excellents ophtalmologistes.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Cher Didier,

Prenez le NPA du sémillant Besancenot : il pro-remplaciste à un point inimaginable. Pourtant, il n'appartient pas à ce que vous nommez UMPS. En fait, tout le courant d'extrême gauche partage ces vues-là (ouverture totale des frontières). Son score électoral est d'environ 10%.

D'un autre côté, des personnes comme M. Mariton ou Lionnel Luca, fils de réfugiés roumains, sont de farouches adversaires du remplacisme. Cette histoire d'une UMPS fantasmée est une formule commode, qui est une variante du "tous pourris", "tous dans le même sac".
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Mais bien sûr ! je voterai sans aucun état d'âme pour eux !

Cela étant, je voterai surtout pour le candidat qui empêchera le monstre socialiste de revenir.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Citation
Secrétaire général
Le Front national de Jean-Marie Le Pen a tout fait pour que ses analyses, justes sur bien des points, et en particulier l'immigration, restent sans suite et ne débouchent pas sur une résistance véritable à la submersion colonisatrice qui survient — nous en observons tous les jours les sinistres conséquences.

La critique est légitime mais un peu rude, pour trois malheureuses phrases en quarante ans d'opposition, il est vrai soigneusement montées en mayonnaise médiatique.
Lorsque le P.I. cessera d'être un parti virtuel et qu'il sera confronté à la réalité du combat électoral, peut-être fera-t-il montre de plus d'humilité envers l’œuvre de Jean-Marie Le Pen.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
C'est cela, uniquement de la mayonnaise médiatique...

Pourquoi ne voulez-vous pas voir la réalité, qui est simple ?

Ce monsieur a :

- un fonds de commerce électoral, qui est la position tribunitienne d'extrême-droite ;

- le désir d'emmerder, et si possible d'emmerder la droite, car pour les extrémistes rien n'est pire que ce qui est proche ;

- la passion de la pique antisémite.

Le pouvoir ? il n'en a jamais voulu, il le fuit ! casser, insinuer, voici une grande et noble tâche : fédérons les mécontents, grappillons, glanons... mais surtout ne soyons pas élus (autrement que par la proportionnelle, et surtout dans l'opposition, comme cela on peut empocher les jetons de présence, brailler et ne pas participer), et si un de vos proches est élu avec des responsabilités effectives (style maire d'une ville), alors on le dégomme !

Ne trouvez-vous pas étrange que tous ceux qui furent élus maires FN se soient fâchés avec ce monsieur ?
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Non, alors, je ne suis pas d'accord. L'UMP et le PS n'ont pas la même vision des choses en ce domaine. Que les deux croient en la nécessité d'une immigration, c'est vrai et c'est regrettable. Que le PS ouvre davantage les vannes, c'est certain.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Didier,

Vous oubliez que le PS a été renvoyé dans ses foyers en 2002, il y a donc huit ans. Il est exact que, depuis ce temps, la droite est au pouvoir, et il est exact que l'immigration se poursuit, et il est exact que le Grand Remplacement est en marche.

Je suis cependant convaincu que, si le PS revenait, ce serait encore pire, car il n'a pas la sorte de surmoi incarnée par des Mariton ou des Luca. Bien au contraire, son surmoi c'est RESF.

Nous avons donc à comparer une droite réelle et un PS potentiel.

Il en va de même pour les impôts : le PI nous parle de 33%, sous-entendant que la politique fiscale de la droite est prédatrice quant aux gens à leur aise. Je vous laisse imaginer une politique PS.

Pour ainsi dire, entre la grippe et la vérole, je choisis la grippe.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Pour répondre à Jean-Marc et Didier Bourjon, je dirais que la question de savoir si le FN et Jean-Marie Le Pen étaient secrètement non désireux d'exercer les responsabilités suprêmes est secondaire. En effet, s'il avait été élu en 2002, il aurait été de facto porté au pouvoir.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
N'en jetez plus, cher Didier, je suis prêt à vous rejoindre sur ce point. Mais si les français avaient tout de même voté pour son parti en 2002, ne serait-ce que pour protester contre le Système et le faire imploser, il aurait été mécaniquement porté à l'Élysée.

PS : je ne vois pas d'incohérence à combattre l'immigration arabe en France et à être contre l'envoi de troupes françaises en Irak ou à soutenir toutes les nations libres face à l'impérialisme américain.
PhiX, je suis d'accord avec vous sur ce point : s'il avait été élu, il aurait été président.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Un pays libre ne demande qu'à se développer. Un pays développé ne provoque pas la fuite de ses habitants vers l'Europe. C'est comme ça que je comprends l'idée générale sous-jacente aux positions de Le Pen vis-à-vis des pays d'émigration.
PhiX,

Il y a un point qui est techniquement inexact.

Les départs d'un pays atteignent leur intensité maximale quand ce pays entre dans une phase de développement, avec la circonstance que ces départs frappent en priorité ses élites.
Si ce que vous écrivez était exact, la France serait un pays en phase de développement et nous recevrions surtout les élites chinoises ou marocaines.
Marcel,

Nous avons beaucoup de médecins "faisant fonction" dans nos hôpitaux, ils sont originaires des pays en voie de développement. Pour ce qui est du départ des élites françaises, c'est largement une légende, il s'agit simplement des effets de la "mondialisation". Vous noterez que, dans le même temps, on se plaint que les cadres étrangers font monter les loyers parisiens.

Pour le lien entre développement et émigration, nous avons des études fort anciennes. Un exemple historiquement bien connu est celui de l'émigration depuis les Iles britanniques à la suite de l'évolution des modes de production agricole. D'autre part, le migrant n'est souvent pas celui qui est dépourvu de tout, mais plutôt celui qui a d'avantage d'allant que ses concitoyens.

En fait, la courbe ne s'inverse que lorsque ces pays ont atteint le stade de pays développés.

Vous avez un exemple à l'échelle européenne actuelle, ce furent les grandes migrations vers l'ouest à la suite de l'effondrement du communisme, suivies quelques années plus tard de bon nombre de retours.
Citation
Jean-Marc
Pour ce qui est du départ des élites françaises, c'est largement une légende, [...]

Non. Désolé de vous contredire, cher Jean-Marc. Notamment en ce qui concerne le domaine de la recherche, délaissé par les dirigeants français.
Oui, c'est exact dans certains domaines, et la recherche est un bon exemple. Je pense cependant que vous parlez de la recherche publique fondamentale, qui est soviétisée en France. Les entreprises françaises ont quant à elles de fort bons chercheurs dans les domaines appliqués.

C'est vrai aussi dans le secteur financier, mais le phénomène est mondial et tient à la taille des places (le lieu de migration est, actuellement, Singapour).

Savez-vous que, chaque année, il y a, à peu près, 4000 Américains et 3000 Japonais qui viennent résider en France, essentiellement pour motifs professionnels (voir [www.ined.fr]) ?
Je vais dire cela autrement.

Si vous prenez un pays dans une misère atroce, avec un niveau d'éducation lamentable et une population rurale, et que vous lanciez de très importantes actions de développement, alors un des premiers effets de cet appel d'air sera le départ des plus entreprenants, des audacieux, des mieux formés vers des cieux étrangers qu'ils n'envisageaient pas auparavant. C'est un effet pervers, et connu, des politiques de coopération.
Ce qui est exact, c'est que les migrants ne sont, en général, pas les plus miséreux parmi les populations des pays d'émigration, mais de là à écrire que les départs frappent en priorité les élites, il y a un gouffre ! Un des aspects les plus terribles du Grand Remplacement en cours, c'est précisément que nous recevons chaque année plusieurs centaines de milliers de pauvres dépourvus de qualification professionnelle et de véritable éducation.
Il suffit de voir la plupart de ces nouveaux arrivants: ils ont l'ait de débarquer tout droit du bled ou de la brousse.
Marcel et Cassandre, il y a les pauvres, c'est vrai, mais vous serez surpris du nombre de personnes qualifiées qui viennent. Allez dans un grand hôpital public, cela vous marquera.

Je parlais plutôt de question de proportions : si, dans ces pays, les "élites" représentent, mettons, 5% de la population, leur proportion, parmi les migrants, est bien plus élevé.
Pour ce qui est de la démographie médicale, nous avons, au 1er janvier 2009, en ce qui concerne les médecins étrangers inscrits à l'ordre :

9 112 médecins (des Belges (16,37 %) ; des Roumains (12,04 %) ; des Allemands (10,89 %) ; des Algériens (10,26 %) ; des Italiens (8,30 %) ; des Marocains (7,69 %) ; des Tunisiens (4,85 %) ; des Espagnols (3,44 %)), source "La Croix".

Il faut y ajouter les "faisant fonction" dans les hôpitaux publics, qui ne sont pas inscrits à l'ordre. Ils sont très largement d'origine extra-européenne, et leur nombre est d'environ 8000 (http://www.la-fps.fr/lelongparcoursverslintegration.htm).
Ce que cette pauvre Cassandre n'arrive pas à comprendre, c'est que nous recevons les élites. Ensuite, peut-être, plus tard, viendront des éléments moins raffinés. Mais jusqu'à présent c'est le gratin, le dessus du panier, le top du top. Tout le jet-set de Sétif est à Vaux-en-Velin. Si vous voulez vraiment comprendre Villiers-le-Bel, relisez Le Côté de Guermantes.
Je vais donc exposer cela autrement, pour que vous compreniez de quoi il s'agit. Je ne vous parlerai pas seulement de Sétif et de l'Europe, mais de l'Asie et des Amériques.

Vous avez, en Asie, des pays développés, des pays qui avancent vers le développement, et des pays où le niveau de vie reste très bas.

Les pays les plus développés reçoivent bon nombre d'immigrants issus des classes inférieures des populations des pays les moins développés, c'est un fait. Dans le même temps, ils reçoivent des immigrants qualifiés issus de ces pays-là. Un cas est frappant, celui des Philippines.

Il y a bon nombre de Philippins qui émigrent, en général d'ailleurs dans le but de revenir chez eux. Vous avez beaucoup d'employés de maison, mais vous avez aussi beaucoup d'employés qualifiés, médecins, infirmiers et... pilotes d'avion. Les airbus philippins ont été récemment cloués au sol car leurs pilotes avaient assez largement choisi l'immigration, vers Kuala Lumpur et la compagnie Air Asia.

De même, en Haïti, la population qualifiée n'a eu, ces dernières années, rien de plus pressé que de fuir le marasme et d'immigrer qui au Canada, qui aux États-unis.

De même, en Équateur, bon nombre de médecins ou de professeurs ont quitté le pays pour l'Espagne.

Pour ce qui est de Sétif, je n'ai pas de lumière particulière. Je sais simplement qu'il y a bon nombre de personnes éduquées des pays du sud qui viennent travailler dans les pays plus développés. Cela provoque une véritable hémorragie de cadres dans ces pays-là, avec la circonstance que la proportion de cadres est infime par rapport à ce qu'elle est dans la population de notre pays. Cette immigration de personnes qualifiées n'est pas d'ailleurs tournée que vers l'Europe : elle est aussi largement à destination du Golfe, et de l'Arabie.
Cassandre, pour qu'on se comprenne.

L'immigration de masse des années 1960/1970 (essentiellement une immigration maghrébine pour la partie non-européenne, les sub-sahariens jouant un rôle marginal) a largement été une immigration incitée, c'est à dire que les entreprises allaient parfois jusque dans les villages rechercher de la main d'oeuvre.

A la fin de la période d'expansion, cette immigration a surtout été le fait de décisions individuelles du migrant. Le migrant adulte de 2010 n'est pas inculte. Vous serez surprise, si vous lisez la presse espagnole, de voir quel genre de personne embarque dans les esquifs qui passent d'Afrique en Europe. Une chose complique notre perception, en France : c'est le regroupement familial qui est, de mon point de vue, source de bien des maux : cette population-là est mue par une autre logique.

Je reviens au migrant "par choix". Je vous assure que, dans une grande majorité de cas, il appartient à la catégorie supérieure de son pays (le terme d'élite est impropre, je l'ai formulé à tort). C'est justement parce qu'il a les moyens psychologiques d'envisager le départ, les moyens financiers de le payer qu'il partira.

C'est là un drame réel et peu connu de l'aide au développement : on forme localement des cadres et ceux-ci, une fois formés, essayent de monnayer leurs compétences à l'extérieur.


Un exemple, cet article un peu long à lire. Il n'est pas journalistique mais issu d'une revue professionnelle, le New England Journal of Medicine, qui fait autorité. Il est relatif au "Brain Drain" des médecins.

[www.nejm.org]
Cassandre et Marcel,

A propos des pilotes Philippins, un article qui se lit de façon assez aisée, j'étais sur place quand Philippine Airlines a été clouée au sol, cela avait fait grand bruit :


01 August 2010

PAL Rejects Pilot's resignation; Asks them to return to work

To avert more flight delays and cancellations, the management of Philippine Airlines (PAL) today (01 August 2010) said it rejected the resignation of more than two dozen pilots and gave them seven days to return to work.

In a statement, the flag carrier called on its pilots to respect their existing contracts with PAL and demanded that they immediately return to work or face civil, criminal and administrative charges.

This developed as PAL was again forced to cancel eight (8) flights today owing to the pilot shortage, but most affected passengers were accommodated in merged or succeeding flights. “PAL makes sure that all passengers are attended to,” the airline said as it assured the public that it hopes to get schedules back to normal “within a week.”

The eight cancelled flights include Manila-Cagayan-Manila (PR181/182); Manila-Bacolod-Manila (PR133/134); Manila-Iloilo-Manila (PR147/148); and Manila-Cebu-Manila (PR847/848). Meanwhile, a Manila-Iloilo-Manila flight (PR145/146) that usually departs Manila at 4:20PM was rescheduled to 6:30PM.

“PAL doesn’t want to get in the way of its pilots’ dream of landing better paying jobs abroad, but they have contractual obligations with the company and a moral responsibility to thousands of passengers,” PAL stressed.

In the last few days, PAL was forced to cancel several regional and domestic flights after 13 captains and 12 first officers flying its Airbus A319s and A320s resigned from the flag carrier. They left without giving PAL ample time to train replacements, PAL said.

Recognizing the plight of its passengers, PAL sought public understanding as it adjusts flight schedules and merges some flights. It also intensified the training of more pilots to fill the gap.

“We apologize to our loyal patrons for the inconvenience. We know our passengers missed connecting flights, including important personal and business appointments. But the pilots’ resignation is something we couldn’t prevent. Many of them simply did not show up for work and just handed in their resignation letters. Some of them even owe PAL millions of pesos for the cost of their training,” the flag carrier said.

PAL added that most of the resigned pilots were reportedly ‘pirated’ by other carriers in the Asian region including the Middle East where the pay is allegedly two or three times their current salaries.

“By Philippine standards, an Airbus A320 pilot’s pay at PAL is considered ‘high’. But it’s still no match to the offer of foreign carriers. Our problem is, our competitors abroad seem to prefer PAL pilots because of they were highly-trained by PAL and renowned for their flying skills,” PAL added.

Considered “Mission Critical Skills”, pilots and aircraft mechanics are required by government regulations to give their local employers at least 180 days or six months to find suitable replacements before taking another job abroad.

PAL said it is in talks with various government agencies like the Philippine Overseas Employment Administration (POEA) and the Civil Aviation Authority of the Philippines (CAAP) to avert the loss of more pilots to ‘poachers” abroad.

Citation
Jean-Marc
Je pense cependant que vous parlez de la recherche publique fondamentale, qui est soviétisée en France.

C'est très précisément l'exemple que j'avais en tête.
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