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L’islam radical conditionne notre existence

Envoyé par Gérard Rogemi 
Quelques paroles de vérité !

Citation
Mais il y a, en Europe aussi, tant de gens prêts à toutes les servilités et à toutes les obséquiosités pourvu qu’ils retrouvent leur lit douillet, le soir tombé...

L’islam radical conditionne notre existence (info # 012311/10) [Analyse]

Par Guy Millière © Métula News Agency

Chaque fois que je dois prendre l’avion, et c’est assez fréquent, je constate que les formalités d’embarquement se font plus longues, plus complexes et plus restrictives. Il fut un temps, désormais lointain, où les contrôles étaient minimaux : c’était avant les détournements d’avions et les premiers actes terroristes.

Puis sont venus les détecteurs de métaux, la fouille des bagages et leur passage aux rayons X. Après les attentats du onze septembre, la moindre lime à ongle et le plus petit briquet se sont trouvés prohibés dans les bagages de cabine.

Avec Richard Reid, l’homme qui avait des explosifs dans ses chaussures, on est passé à la nécessité de se déchausser et de faire contrôler bottes et mocassins. Puis ce furent les liquides, limités désormais à moins de dix centilitres, suite à une tentative de recours à des explosifs dissimulés dans des bouteilles de boissons anodines.

Depuis qu’un individu a tenté de faire sauter un vol Amsterdam-Detroit, voici quelques mois, en utilisant des substances cachées en dessous de ses parties génitales, les choses sont devenues plus complexes encore. Des scanners corporels sont installés dans un nombre croissant d’aéroports et permettent de voir le corps nu sous les vêtements, et, par conséquent, tout ajout collé sur la peau.

Par sécurité, aux Etats-Unis, on demande désormais à des passagers de se soumettre, en supplément, à une inspection tournée vers les encoignures les plus intimes de l’anatomie. Des incidents éclatent, suscités par des gens s’étonnant de devoir exhiber ce qu’ils hésitent à montrer à leur médecin de famille ; et je les comprends d’autant mieux que je trouve, chaque fois, que les limites du grotesque sont reculées un peu davantage.

Il faut, dit-on, éviter le profilage et la discrimination, et donc ne pas faire quoi que ce soit qui puisse mener des gens appartenant à une communauté ou à une religion à se sentir stigmatisés.

En l’occurrence, puisqu’il s’agit de cela, il ne faut pas qu’un musulman barbu, en provenance d’Irak, se sente, disons, plus suspect qu’une vieille octogénaire tremblante, de type suédois, montant à bord avec un exemplaire de la Bible. En fonction de quoi, les contrôles seront identiques pour l’un et l’autre et, au nom de la « non discrimination », s’il faut vraiment en choisir un des deux pour une fouille plus précise, on choisira la grand-mère.  

Nul n’a calculé non seulement le temps que perdent chaque jour des millions de gens dans des milliers d’aéroports pour ces raisons. Et nul n’a calculé le prix de ce temps qui, en termes économiques, est considérable et se chiffre, chaque année, en centaines de millions de dollars.

Nul n’a ajouté à ces coûts ceux des primes d’assurance des transporteurs et ceux des aéroports, contraints de se doter d’appareillages de plus en plus sophistiqués et coûteux.

Nul ne peut imaginer la jouissance de ceux qui sont les plus directement concernés : les terroristes islamistes. Ils ne sont pas nombreux, mais ils créent des contraintes, des dépenses, des retards, des humiliations pour des populations entières, sur les cinq continents. Dès lors qu’ils semblent très sérieusement envisager de placer des explosifs dans l’orifice anal et les intestins d’apprentis terroristes, on peut se demander à quoi cela va mener en termes de contrôle.

Les populations américaines et une bonne part des populations européennes préféreraient un profilage intelligent et précis, tel que celui pratiqué par Israël, qui a fait ses preuves. Mais celui-ci serait très « politiquement incorrect ».

Si la peur d’être « politiquement incorrect » dans le monde occidental se limitait aux contrôles absurdes et ruineux effectués dans les aéroports, ce serait déjà navrant, mais ce n’est là qu’un fragment visible d’un immense iceberg, contre lequel il m’arrive d’avoir l’impression que nous venons nous fracasser.

L’islam occupe une place disproportionnée dans les débats politiques ; il conduit des hommes politiques, engoncés entre des opinions publiques inquiètes et leur volonté de ne pas paraître irrespectueux envers les fidèles d’une religion, à adopter, au prix de contorsions risibles, des mesures étranges ; ainsi en va-t-il de la loi censée interdire le port de la burqa en France.

Avoir fait voter un texte inapplicable et qui ne concerne que quelques centaines de femmes, tandis que des dizaines de milliers d’autres portent des voiles stricts, et que des idées malsaines prolifèrent, est un geste qui devrait susciter l’hilarité plutôt que la colère dans les zones tribales de la frontière afghane.

Les media s’autocensurent chaque jour davantage lorsqu’il s’agit d’aborder certains sujets. On ne parle plus, en France, de quartiers islamisés mais de « quartiers sensibles » ou de « quartiers » tout court.

Dans d’autres pays d’Europe, on admet désormais que certaines zones soient interdites d’accès aux mécréants que sont les Juifs, les chrétiens et les athées. On discerne de tous côtés qu’il s’agit de ne pas froisser des gens dont on redoute les mouvements d’humeur.

On ne cesse de parler de « religion de paix », mais on voit fort bien que ceux qui parlent de « religion de paix » pensent, en fait, à une « religion dont les adeptes peuvent devenir violents si je ne dis pas que c’est une religion de paix ; et comme je tiens à rester en vie et à ne pas finir comme Théo Van Gogh aux Pays-Bas, je dis que c’est une religion de paix ».

On distingue ainsi, dans l’attitude ordinaire vis-à-vis d’Israël, la quintessence de cette pusillanimité généralisée, qui explique à elle seule pourquoi, dans les aéroports occidentaux, hors les comptoirs d’El Al, on n’adoptera jamais les pratiques de profilage israéliennes.

Il est évident pour quiconque n’a pas le cerveau essoré et transformé en fromage blanc, qu’Israël est un pays démocratique, victime d’agresseurs totalitaires et fanatiques ; mais on nie cette évidence à chaque instant dans les media et dans les déclarations officielles : un attentat sur le sol européen est si vite arrivé.

Il est clair, pour quiconque étudie scrupuleusement l’histoire, que la généalogie de la situation au Proche-Orient proposée par la propagande arabe ne tient pas debout, mais on écarte peu à peu les faits avérés pour leur substituer des fragments de propagande inepte : un coup de couteau est si vite donné. De surcroît, il peut toujours y avoir des contrats à signer avec des pays producteurs de pétrole.

Quand j’observe les dirigeants politiques et les journalistes européens, je me dis qu’ils font la cour à ceux qui les terrorisent, en espérant s’acheter une survie ou un moment de répit, mais qu’ils n’obtiendront ni l’un ni l’autre. Je me dis qu’ils se conduisent comme si les tenants de l’islam radical avaient déjà gagné et comme s’ils rampaient aux pieds des vainqueurs. Je n’ai même pas besoin de me dire qu’ils se conduisent ainsi : car c’est ce qu’ils font effectivement.

On voit sur le visage d’un homme comme Ahmadinejad, lorsqu’il se déplace en Occident, à Genève ou à New York, un étrange sourire qui ressemble à celui d’un général triomphant.

Jamais la survie de la civilisation sur Terre, et celle des sociétés ouvertes, n’ont reposé sur un aussi petit nombre d’hommes : ceux qui, en Israël, restent dignes et lucides, et savent qu’ils doivent compter sur leurs propres forces. Ceux qui, aux Etats-Unis, se rappellent de ce qu’étaient les idéaux des révolutionnaires de 1776.

En Europe ? Des hommes tels que Geert Wilders.

Mais il y a, en Europe aussi, tant de gens prêts à toutes les servilités et à toutes les obséquiosités pourvu qu’ils retrouvent leur lit douillet, le soir tombé...
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 16:38   Re : L’islam radical conditionne notre existence
"Religion de paix" : « religion dont les adeptes peuvent devenir violents si je ne dis pas que c’est une religion de paix ».

Le genre de définition qu'il faut faire circuler.
La violence est non seulement permise mais recommandée.
Utilisateur anonyme
23 novembre 2010, 20:52   Re : L’islam radical conditionne notre existence
«[Celui] qui méprise sa vie est maître de la tienne.»

Cela arrive aussi parce que nous petits Européens, sommes élevés dans des boîtes en coton.

Certains groupuscules identitaires, d'ailleurs (autre-jeunesse.com) se reconnaissent absolument dans l'idéologie et la symbolique des films Fight Club et 300, c'est à dire un retour délibéré à la précarité, la violence, l'exposition personnelle.
Vous savez, Emmanuel, l'avance technologique et le combat à distance ont du bon aussi.

Voyez Israël et le Hamas.
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