Le site du parti de l'In-nocence

Communiqué n° 1148 : Sur les réactions aux propos de Mme Marine Le Pen

Communiqué n° 1148, lundi 13 décembre 2010
Sur les réactions aux propos de Mme Marine Le Pen

Le parti de l'In-nocence remarque que les réactions indignées aux propos de Mme Marine Le Pen sur l'occupation d'une partie du territoire français par certains musulmans sonnent totalement mécaniques, artificielles, forcées. Seuls, dirait-on, les plus mauvais acteurs du complexe politico-médiatique parviennent à les débiter sans rire, les autres paraissant avoir scrupule à laisser croire qu'ils puissent être tout à fait sérieux en les émettant et semblant demander aux auditeurs d'être indulgents, de comprendre qu'ils sont obligés de jouer cette comédie qui n'abuse personne.

Le parti de l'Innocence estime pour sa part que si Mme Le Pen a parlé de l'Occupation, la période historique, elle s'est aventurée sur un terrain dangereux qui dans le passé n'a pas réussi à sa famille politique, et encore moins à sa famille tout court. Si en revanche elle n'a parlé que de l'occupation au sens premier et général de ce mot, de l'occupation du sol, de l'occupation du territoire, ses propos sont marqués au coin du bon sens et ils relèvent de la pure et simple observation des faits, telle que pourrait y procéder n'importe quel honnête huissier et telle qu'il devrait s'y être livré depuis longtemps. Les Français ne seront pas dupes, cette fois, d'appels à la diabolisation qui en l'occurrence n'ont pas de fondements sérieux. Les musulmans n'occupent pas la France de la même façon que les Allemands de la dernière guerre, en revanche l'esprit de collaboration paraît bien n'avoir guère changé.
Bien vu, et difficile à démolir.
Les anciens résistants membres du FN : Michel de Camaret, compagnon de la Libération, le colonel Etienne François, grand officier de la Légion d'honneur, Robert Hemmerdinger, Roger Holeindre... pour ne citer que les plus célèbres.
K,

Je me félicite de votre retour de l'orient compliqué vers le site des In-nocents aux joies simples et au parler-vrai.
Citation
Jean-Marc
K,

Je me félicite de votre retour de l'orient compliqué vers le site des In-nocents aux joies simples et au parler-vrai.


Cher BCJM,

c'est toute la question des ponts à jeter entre des "aires mentales" fonctionnant selon des logiques différentes, sinon même, en partie, opposées...
En tout cas, il est clair que Mme Le Pen "occupe" le devant de la scène, avec l'Islam en France… J'ai appris au informations hier soir que les Musulmans pratiquants étaient désormais plus nombreux que les Catholiques… Je serais né dans un pays Catholique et développé, je mourrais dans un pays Musulman et sous développé. Vae Victis
Tiens, la vidéo montrant l'occupation de la rue Myrha par des musulmans en prière (avec haut-parleurs, s'ils vous plaît) que j'avais mise en ligne hier dans l'autre fil vient d'être enlevée de Youtube « car elle ne respecte pas les règles de YouTube interdisant l’usage de contenu incitant à la haine. »
(Message supprimé à la demande de son auteur)
" ...après avoir depuis plusieurs mois lancé les pires accusations contre ceux et celles qui adhèrent à l’Islam."

Oh, les vilains ! Mais c'est interdit, cela ! Dénigrement ! Dénigrement ! Bouh !

(Hmm...)

La loi française sur la laïcité, après avoir été l'instrument, dans certaines mains, de la déchristiannisation de la France, s'avère désormais, il me semble, le principal allié des Français non musulmans ; ses adversaires ne s'y trompent pas. Le thème de la laïcité, par quelque étonnant revirement de la classe politique française, est en passe de devenir le thème favori de la famille politique qui l'avait le plus combattu.
Quant à la reductio ad petainum, il est savoureux de la voir revenir comme un élastique dans la figure de ceux-là mêmes qui ont le plus tiré dessus... Cette affaire aura peut-être au moins le mérite de calmer les ardeurs comparatistes de ceux qui hurlent aux heures les plus sombres etc. au moindre cillement de leurs adversaires.
Citation
Thomas Claude
Je serais né dans un pays Catholique et développé, je mourrais dans un pays Musulman et sous développé. Vae Victis

Saisissant.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
(Message supprimé à la demande de son auteur)
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Quand on regarde ces images, ces forêts de culs levés sur le pavé de notre capitale, on se dit que ça y est, que nous sommes faits, que les dés sont jetés, que l'histoire a parlé : leurs catacombes sont nos anciennes et familières rues, leur Constantin sera notre prochain Président converti et que Jacques Attali est bien le génie qui a bien fait de prophétiser que "la France est mûre pour l'Islam"; on se dit que Roland Barthes, Jean Baudrillard et notre cher Claude François que les Français, la vieille ou disons l'ancienne diversité des Français, ont tant aimés, ont eu bien raison, ont été des préscients de mourir comme ils l'ont fait pour s'épargner cette vue, ces culs dressés roulés dans des chiffons. Quelqu'un a dit: je suis né dans un pays catholique développé; je vais mourir dans un pays musulman sous-développé. Il a tout dit.

Tout va être à faire désormais, à re-refaire, comme si l'Histoire n'avait jamais existé. Il va falloir que les jeunes générations réapprennent à parler, avant même que de penser, ce qui chez leurs grand-pères allait de soi, était un acquis de l'histoire et même de la modernité, car pour les générations de Français à venir, la modernité est morte rue Myrha.
Bien sûr, les protestations des Amis du désastre aux déclarations de Mme (Marine) Le Pen sont pathétiques, à défaut d'être risibles (même si j'ai toujours pensé qu'il faut, dans ce domaine tout particulièrement, se garder des propos aggressifs et des comparaisons dont on sait pertinemment qu'elles vont braquer: c'est le meilleur moyen de rendre le message inaudible. Une bonne fois pour toutes, arrêtons les références intempestives à la seconde guerre mondiale, à l'Occupation, à la Shoah (et je le dis au passage, à la colonisation): non seulement, personne ne peut nier qu'en toute objectivité, ces comparaisons ne sont intellectuellement pas sérieuses, mais surtout elles sont totalement contre-productives, en fournissant à l'adversaire un prétexte facile pour ostraciser. Tout ce qui est excessif est insignifiant, refuser de l'admettre, c'est de l'orgueil, ou de l'entêtement, bref, ça ne mène à rien).
Ceci dit, il ne faut pas être dupe. La sortie de Mme Le Pen a avant tout des motivations tactiques et sont donc principalement à visée interne, dans le cadre de l'affrontement qui l'oppose à Bruno Gollnisch pour le contrôle du parti. J'ai cru comprendre que les "historiques" du parti sont plus favorables à Gollnisch, tandis qu'ils reprochent à Marine Le Pen de s'être un peu trop assagie, c'est-à-dire recentrée dans une quête de respectabilité qu'ils considèrent comme une trahison. Rien de mieux qu'une bonne déclaration bien polémique pour prouver à tous ces vieux militants qu'elle est bien la fille de Jean-Marie.
Je note que les Le Pen, père et fille, ont une sorte de fascination morbide pour la période de la guerre, et reviennent sans cesse, par un biais et par un autre, à ce sujet. Je note aussi que la vulgate de gauche se réfère sans arrêt, elle aussi, à cette période, cette fois pour son côté "heures les plus noires".

Dans ces conditions, je pense que le discours politique gagnerait à se passer de ces références exagérées (M. Sarkozy n'est pas Pierre Laval, et les musulmans qui prient dans la rue ne sont pas la Wehrmacht).

L'espéranto nous dit "Un plus jeune chaton pousse déjà des souris devant lui", Plej juna katido musojn jam pelas. Le français, amoureux des métaphores canines, préfère "Bon chien chasse de race". Ce dernier proverbe me semble parfaitement adapté à l'engeance Le Pen.
Citation
Il va falloir que les jeunes générations réapprennent à parler, avant même que de penser, ce qui chez leurs grand-pères allait de soi, était un acquis de l'histoire et même de la modernité, car pour les générations de Français à venir, la modernité est morte rue Myrha.

True !

En fait nous avons eu env. 50 ans de liberté absolue entre 1885 et 1939 mais depuis 1945 les choses se dégradent à vue d'oeil et personne et rien ne peut arrêter cette descente vers le gouffre.
Rogemi, je vous trouve un brin catégorique. En quoi avons-nous "50 ans de liberté absolue entre 1885 et 1939" ? Plus précisément, en quoi étions-nous alors plus libres que maintenant ? Et pourquoi 1885, d'ailleurs ?
Guisaul,

La date de 1885 me convient assez bien : c'est celle de la fin du ministère Ferry, qui fut à l'origine de bien des libertés publiques, c'est un moment où la République sera assez mûre pour résister au boulangisme.

1871, c'est trop tôt ; 1898, début de la République radicale, c'est trop tard. 1885 paraît un bon compromis.
Merci, cher Rogemi. J'ai corrigé


Non, les musulmans de France ne sont pas la Wehrmacht. Ils sont l'après wehrmacht : la situation qui aurait été celle de la France ( oserais-je dire en plutôt moins désespérée) si la guerre avait été gagnée par l'Allemagne.
Wehr signifie défense et Macht force d'où Wehrmacht = force de défense !
Citation
En quoi avons-nous "50 ans de liberté absolue entre 1885 et 1939


"Cinquante ans de liberté absolue, depuis le renforcement de la troisième république jusqu'à l'invasion de quarante, avec une parenthèse de censure durant la Grande Guerre... Un demi-siècle de fraicheur pour deux mille ans d'absolutismes insolubles, d'interdits de tergiverser et de contrôles drôlatiques!

Depuis, on a appris à escamoter en douceur les frondeurs et les géneurs. Ces malappris, on les estompe ä coups de gomme, on les ridiculise par approximations, on les diffame par amalgame. Ils n'ont que le droit de se taire puisque, par définition, ce sont eux les méchants de la fable. Qu'ils se cachent ou qu'ils se fâchent, qu'ils se rebiffent ou qu'ils subissent, ils sont la cible. Le collimateur destiné à les abattre a été concu par une coterie hargneuse de père-fétards farfelus.

Cinquante ans de liberte absolue et dire que je n'ai pas connu cà!
On pouvait tout dire, tout lire, tout écrire, comme jamais avant ni après... Et si la polémique dérapait vers l'injure, on allait s'expliquer virilement sur le pré au poing, au sabre ou au pistolet."
Si j'écris : Mme Le Pen au lieu de dire Marine le Pen, c'est que je n'ai pas élevé les cochons avec elle…
De la même façon, quand je vais voter , je mets une cravate: question de dignité devant l'acte.
Plaignez vous donc à mes parents, ce sont eux qui m'ont élevé comme cela…
Rogemi,

Une critique sur votre point de vue : je pense que la période en question a duré plus longtemps, sans doute jusqu'à la fin des années soixante.

Il me semble que dans la France de 1965, par exemple, on pouvait absolument tout écrire et que les ligues de vertu faisaient profil bas.

Je suis en revanche tout à fait d'accord avec vous sur le fait qu'actuellement il y a un réel problème de liberté d'expression dès lors qu'on ne s'exprime pas dans le sens du vent.
Citation
Il me semble que dans la France de 1965, par exemple, on pouvait absolument tout écrire et que les ligues de vertu faisaient profil bas.

Vous vous trompez car en 1965 l'édition et la presse étaient déjà entièrement entre les mains de la gauche crypto-communiste ou de ses compagnons de route.

La liste des auteurs jamais publiés en France dès les années cinquante est interminable.
"la modernité est morte rue Myrha"

Té, toujours le génie du titre, le Francis...
14 décembre 2010, 14:18   Années cinquante
"En juin 52, je ne suis jamais sortie du territoire qu'on nomme d'une façon vague mais comprise de tous, par chez nous, le pays de Caux, sur la rive droite de la Seine, entre Le Havre et Rouen. Au-delà commence déjà l'incertain, le reste de la France et du monde que par là-bas, avec un geste du bras montrant l'horizon, réunit dans la même indifférence et inconcevabilité d'y vivre. Il semble impossible d'aller à Paris autrement qu'en voyage organisé, à moins d'y avoir de la famille susceptible de vous guider. Prendre le métro apparaît comme une expérience compliquée, plus terrifiante que monter dans le train fantôme à la foire et nécessitant un apprentissage qu'on suppose long et difficile. Croyance générale qu'on ne peut aller quelque part sans connaître et admiration profonde pour ceux ou celles qui n'ont pas peur d'aller partout."

Annie Ernaux - La honte

Cet extrait pour recommander ce remarquable petit livre qui, à mon avis, offre une très juste peinture des années cinquante, en milieu populaire.
Orimont,

Je vous sais gré de citer Annie Ernaux, que je tiens en grande estime.
Je comprends ainsi l'affirmation de Rogemi : 1885-1939, nous avons eu cinquante ans de liberté absolue parce que nous avons su en faire quelque chose. En littérature, Anatole France, Proust, Gide, Larbaud, mais aussi Bernanos, etc. . En musique, les élèves de César Franck, mais aussi Fauré, Debussy, Ravel ...
Quant au "nous" employé à deux reprises, il est aussi agréable (inclusion implicite) qu'abusif. Disons donc : la France n'a jamais été aussi libre parce qu'une élite ( et/ou "si bien qu'une élite") a su de cette liberté, faire quelque chose.
Citation
(inclusion implicite)

Non pas d'inclusion implicite, cher Mr. Marcus, nous n'étions pas nés. Cette liberté allait largement au-delà de la littérature ou de la musique car la presse était vraiment libre et toutes les opinions pouvaient s'exprimer. Les voyages dans les contrées les plus lointaines se faisaient sans grand danger. C'était le temps des grands romans de Jules Vernes.
elle s'est aventurée sur un terrain dangereux qui dans le passé n'a pas réussi à sa famille politique, et encore moins à sa famille tout court.

Je ne suis pas sure de vous suivre sur ce point. Seriez vous en train d'affirmer que Marine Le Pen devrait se contenter d'expressions politiquement correctes?

Devrait elle omettre toute forme de comparaisons, d'avis, d'expressions, impliquant la seconde guerre mondiale et ce qui en a découlé, sous prétexte que son père a tenu des propos sur cette période (dans un contexte totalement différent d'ailleurs) qui ont choqué opinion publique et médiatique il y a plusieurs années?
J'apprends sur Wikipedia que l'occupation est "une situation dans laquelle se trouve un État — au cours ou à l'issue d'un conflit — envahi et placé sous domination militaire étrangère sans pour autant être annexé".

Pourquoi ne devrait-on pas dire que les rues islamisées sont occupées, alors que les musulmans qui y prient disposent d'un service de milice ?
Entre faire une fixation sur la seconde guerre mondiale, et se contenter d'expressions politiquement correctes, il me semble qu'il y a une marge. Par respect pour les victimes de 1939-45, et compte tenu des passions toujours vives liées à cette période, il est malvenu (et contre-productif) d'user de ces comparaisons. On peut très bien être politiquement incorrect et se refuser aux amalgames foireux, intellectuellement malhonnêtes et bêtement stigmatisants (avec, toujours, répétons-le, un effet contre-productif - ce qui, soit dit en passant et s'agissant du Front national, ne me dérange pas...)
J'ai du mal à prendre au sérieux des "prières" dont on remarque l'ostentation et le sans-gêne.
Mais MLP faisait peut-être référence à l'occupation ... musulmane .
Celle-ci a duré 781 ans dans le sud de l' Espagne ( la durée de 30 générations ) ; c' est quand même autre chose que les quatre années d' occupation allemande !
A Narbonne l'occupation musulmane a duré 40 ans , de 719 à 759 , et Pépin le Bref dut mener un siège de sept ans pour reprendre la ville car la population locale , qui s' était en partie convertie à l' Islam ( pour échapper peut-être à la capitation) , aidait les Musulmans .
Entendu, que plus jamais personne ne parle de la seconde guerre mondiale, ni d'aucun conflit ayant fait des victimes, par respect pour elles.

Je pense malgré tout que le terme d'"occupation" n'a pas a être perpétuellement associé au massacre des juifs et à la seconde guerre mondiale. Plus d'un pays au cours de l'Histoire a connu cette situation.
Ce lien direct fut peut être la seule erreur de Marine Le Pen, car le terme à lui seul est tout à fait approprié.
Ce lien direct, Marine Le Pen se défend de l'avoir fait. Voir sa conférence de presse.
Florentin,

Je crois ces prières sincères, car elles relèvent largement de la piété populaire, voir à ce propos les débats qui agitèrent notre église. Le tragique de la situation est le suivant : l'homme musulman pense le monde autour de sa religion, en conséquence de quoi le reste de l'humanité est appelé à la conversion, dans l'hypothèse la plus favorable. Les gauchistes pensent droits de l'homme, sans s'apercevoir qu'un droit de l'homme qui est d'être athée n'est tout simplement pas concevable dans le monde musulman. Les gauchistes défendent donc les prières publiques des musulmans, sans se rendre compte que si les chrétiens convaincus ont une place de second ordre, mais une place tout de même, dans la vision musulmane, eux, gauchistes et athées, sont promis à une confrontation à très court terme avec le sheitan.
Vous avez raison, Noémie, "le terme a lui seul est tout à fait approprié", comme le faisait justement remarquer le communiqué n° 1148.
Quant à la seconde guerre mondiale, bien sûr qu'il est possible d'en parler, mais un peu d'imagination ne nuit pas : pourquoi faudrait-il toujours faire référence à cette période ? Ceux qui le font ne cherchent que la polémique et la provocation. Il doit quand même être possible de frapper intelligemment les esprits sans tomber dans la "fascination morbide", dont parlait justement Jean-Marc.
Quant à la "défense" de Mme Le Pen, elle me fait penser à celle de son père à l'époque du "détail" ou à celle de Brice Hortefeux affirmant sans rire qu'il parlait des Auvergnats, lorsque s'adressant à un Beur, il lui disait en substance "Un, ça va, c'est quand il y en a beaucoup que ça pose des problèmes".
Ce qui se tient rue Myrrha n'a rien à voir avec la simple ferveur religieuse populaire. C'est une démonstration de force organisée par des salafistes qui viennent de toute l'agglomération parisienne. Les salles de prière du quartier ont une capacité suffisante pour les fidèles locaux et Boubakeur a proposé, absolument en vain, d'accueillir les autres dans la grande mosquée de Paris dont il a la charge et qui est toujours aux trois quarts vide. Et pourtant, on entend encore ça et là des gens dire que c'est parce qu'ils n'ont "nulle part où prier". On nous prend vraiment pour des imbéciles et l'on a raison, hélas !
Oui, Jean-Marc, une nouvelle fois, les gauchistes athées jouent avec fierté leur rôle d'idiots utiles.
Cher Jean-Marc, la sincérité ne me suffit pas. Les mystiques dans le monde musulman sont rejetés. Quand aux gauchistes, il ne peuvent qu'être victimes de leurs contradictions.
C'est cela, Guisaul, c'est ce côté "air de ne pas y toucher" qui braque bien des gens.

On lance un sujet polémique sur ce thème dont on sait qu'il va soulever les passions, puis on dit "mais ce n'est pas ce que j'ai voulu dire".

On peut parler du sort des chrétiens d'Orient, on peut parler du massacre des Arméniens, on peut parler de l'exode des pieds-noirs, pourquoi comparer à l'occupation allemande ?
Alors là, Marcel, si ce que vous dites est vrai (et je n'ai aucune raison d'en douter), les faits sont effectivement gravissimes!
Marcel,

Je ne parlais pas de la rue Myrha, dont je n'ai aucune connaissance directe. Je répondais à la remarque de Florentin, qui me semblait plus générale, mais je me trompe sans doute à la relecture, car il évoque ce cas de sans-gêne qui est caractéristique en effet de ces images.

Considérons-donc ma première phrase comme non appropriée ; je maintiens en revanche le reste, à propos des gauchistes.
On peut parler du sort des chrétiens d'Orient, on peut parler du massacre des Arméniens, on peut parler de l'exode des pieds-noirs, pourquoi comparer à l'occupation allemande ?

Et bien peut-être parce que le sort des chrétiens d'Orient, le massacre des Arméniens et l'exode des Pieds-noirs ne se noua, s'agissant du sort, ni ne se déroulèrent, s'agissant des massacre et exode, sur le sol de France métropolitaine, et moins encore dans les rues de sa capitale, cher Jean-Marc.
Oui, je comprends cela, Francis.

Il se trouve que j'ai servi effectué plusieurs missions dans les forces d'occupation à Berlin (c'était leur statut, cela nous permettait d'entrer librement en uniforme dans Berlin Hauptstadt der DDR). La population nous appréciait, seuls les gauchistes nous vomissaient, au nom du Lieber rot als tot.
Quand on regarde ces images, ces forêts de culs levés sur le pavé de notre capitale

Car il s'agit là d'un "phénomène physique", dans toute sa nudité, et qui tire toute sa force de par sa grande simplicité : "Regardez-moi, vous n'avez plus d'autre choix que de me regarder : je suis là, moi/nous, chez vous, physiquement".
Citation
Francis Marche
On peut parler du sort des chrétiens d'Orient, on peut parler du massacre des Arméniens, on peut parler de l'exode des pieds-noirs, pourquoi comparer à l'occupation allemande ?

Et bien peut-être parce que le sort des chrétiens d'Orient, le massacre des Arméniens et l'exode des Pieds-noirs ne se noua, s'agissant du sort, ni ne se déroulèrent, s'agissant des massacre et exode, sur le sol de France métropolitaine, et moins encore dans les rues de sa capitale, cher Jean-Marc.

J'ajouterais en connaissance de cause que le jeune moyen ne connaît aucun de ces drames, il ne les a pas vu en cours.

Quant à l'occupation des rues Myrrha et Poissonniers, j'y étais pendant la prière lors du Ramadan.
J'ai vu l'arrivée de voiture de toute la région parisienne, l'installation des barrières.
Nous étions quatre photographes en tout, j'étais la seule femme, et par conséquent je suppose, la cible principale des menaces, insultes et regards noirs.
Des hommes de l'âge de mon père, à genoux sur leur tapis, ont passé plusieurs minutes à me fixer d'un air tellement mauvais que j'aurais pu faire demi tour.
Il y avait d'ailleurs une milice présente. Les hommes étaient équipés de brassards "sécurité", et deux d'entre eux n'ont pas hésitez à me pointer du doigt, claquer les doigts avant de rejeter le bras : oui, le signe de dégager.
Un jeune est venu me houspiller, s'insurgeant que j'ose les prendre en photo pendant leur prière.
Parmi les exclamations, j'ai bien entendu un charmant "Tu vas voir après la prière!" - islam, religion d'amour -
Deux agents municipaux étaient présents, des femmes elles aussi, qui avaient l'air assez dépassées et nous ont demandé de bien vouloir prendre nos photos depuis le trottoir d'en face, parce qu'elles ne voulaient pas "avoir de problèmes", et souhaitaient que l'on respecte, peut être, le droit à l'image des gens qui priaient.

J'ai perdu toute forme de crédulité et de sympathie ce jour là pour la cause musulmane et leur "manque de lieux de culte".
Plus que d'occupation, puisque ce terme semble poser un problème, il faudrait peut-être parler de siège (dont la riche polysémie n'est pas inintéressante).
Le bon terme est ici colonisation. C'est une colonisation au sens premier du terme : occupation, peuplement, mise en valeur d'un territoire par un groupe de personnes venues d'un autre pays à cette fin.
Pardonnez-moi, cher Marcel, mais de "mise en valeur", je n'en vois pas l'ombre d'une en l'occurrence...
Citation
Francmoineau
Plus que d'occupation, puisque ce terme semble poser un problème, il faudrait peut-être parler de siège (dont la riche polysémie n'est pas inintéressante).

Ah oui, que sa levée assure son établissement, c'est piquant.
« Cela fait des mois et des années que le phénomène des prières dans les rues de la Goutte d’Or existe, que tout le monde ment à ce sujet [non non non ça n'existe pas, non non non], que les hébergeurs du web censurent les témoignages [incitation à la haine raciale], que ceux qui osent en parler sont diabolisés par l’Inquisition du Vivrensemble ; et soudain Pujadas, la bouche en cœur, annonce que les rues bloquées de la Goutte d’Or ne sont un mystère pour personne, qu’elles existent depuis longtemps, et qu’elles posent un problème bien précis : l’insuffisance de lieux de prière pour les musulmans. Et d’un seul coup, par enchantement, tombent les chiffres de la population musulmane, impossibles à publier officiellement jusque là. »

La suite dans ce billet de Fromageplus : [fromageplus.wordpress.com]
C'est quand même incroyable qu'ils osent nous bourrer le crâne sans la moindre vergogne en nous mentant effrontément car comme le dit Marcel : "Ce qui se tient rue Myrrha n'a rien à voir avec la simple ferveur religieuse populaire. C'est une démonstration de force organisée par des salafistes qui viennent de toute l'agglomération parisienne."

Ca sent vraiment le pétro-dollars toutes ces salamalecs journalistiques ou la peur puante devant un soulévement des quartiers.
On devrait les faire dégager au canon à eau, ça leur ferait un bain de siège.
Oui, oui, le bain de siège ! Excellent !
C'est leurs femmes qui seraient heureuses !
Il est certain que la ferveur religieuse n' a pas grand chose à voir avec ces prières sur la voie publique ;
Elles n' ont d' autre but que de nous dire : " la rue est à nous et vous attendrez qu' on ait fini pour circuler " .
Ce sont probablement les mêmes qui assistent à ces prières et qui encombrent les entrées des immeubles collectifs pour entraver les allées et venues de leurs voisins .
En outre il s' agit de faire pression sur nos édiles, pour que la République finance ou autorise la construction de mosquées au motif qu'il en manquerait . Cela permet aux Musulmans de se présenter une fois de plus comme victimes . Il est vrai qu'il se trouvera toujours quelque droit-de-l'hommiste patenté pour abonder dans leur sens .
Je me souviens qu' il y a quelques années, sur les routes, à l' approche des villages, se trouvaient des panneaux indiquant l' heure des messes , parfois jusqu'à quatre ou cinq par dimanche . Quand l' église du village était trop petite pour accueillir tous les fidèles il fallait bien tenir plusieurs offices religieux à des heures différentes .
Qu' est-ce qui empêche à présent les Musulmans , s'ils manquent de lieux de culte , de faire plusieurs services religieux dans la journée ? Manifestement ils préfèrent la démonstration de force collective sur la voie publique .
Prières de musulmans dans la rue: pas tolérable selon le PS

(AFP) – Il y a 3 heures

PARIS — Le porte-parole du PS, Benoît Hamon, a estimé mercredi que les prières de musulmans dans la rue constituaient "des situations qui ne sont pas tolérables beaucoup plus longtemps", prônant "une négociation avec un calendrier" dans le but de les faire cesser.

"Ce sont des situations qui ne sont pas tolérables beaucoup plus longtemps, on a une situation de tension avec les riverains et il faut trouver des solutions", a déclaré M. Hamon sur RMC et BFM-TV.

"Il faut arriver à une discussion, à une négociation avec un calendrier, un échéancier pour trouver des solutions en termes d'espace dans lesquels les fidèles peuvent exercer leur culte" mais "pour libérer aussi l'espace public", a-t-il ajouté.

"Il n'y a aucune raison que la laïcité ne soit pas garantie", il faut que "les choses soient claires pour tout le monde, claires pour les riverains, claires pour les fidèles", a-t-il insisté. "Par conviction laïque, il me paraît inacceptable" qu'on se retrouve dans cette situation.

Alors que la vice-présidente du FN Marine Le Pen a suscité l'indignation en faisant un parallèle entre les prières de musulmans dans la rue et l'Occupation, M. Hamon a jugé qu'"aujourd'hui ce n'est pas la laïcité qui préoccupe Marine Le Pen, c'est l'islam et ce sont les étrangers".

Il a aussi dénoncé "l'intégrisme catholique" qui, selon lui, inspire le Front national.

Il a accusé le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé de "proposer rien de moins que de faire du Le Pen sans Le Pen" en préconisant de "rouvrir le débat sur l'identité nationale", alors que les sondages montrent une percée du Front national.Prières de musulmans dans la rue: pas tolérable selon le PS
L'intégrisme catholique... comment peuvent-ils détester ma religion à ce point ?

Je crois de plus en plus au danger laïcard.
Voilà est une très-délicieuse et très-drôle salade russe.
Cher Jean-Marc, il n'y a pas grand chose à espérer de gens qui parlent d' échéancier pour trouver des solutions en termes d'espace...
Oui, Francmoineau, mais ressortir l'intégrisme catholique à propos de la rue Myrha, c'est quand même fort...
(Vos traits d'union sont délicieux, cher Marcel !)
Citation
Je crois de plus en plus au danger laïcard.

Hier soir sur la première chaine allemande l'ancien chancelier Helmut Schmidt a bénéficié d'une émission spéciale pour son anniversaire car il aura le 23 décembre 92 ans.

Cet homme d'une intelligence exceptionnelle, doté d'un sens de l'analyse géo-politique d'une acuité rare n'a pas pu s'empêcher de mettre l'islam et les religions chrétiennes dans le même sac cad qu'il ne fait aucune différence entre elles car elles seraient toutes aussi intolérantes les unes que les autres.

Cette mise à même niveau de toutes les religions est le dernier recours que les athées progressistes, les mondialistes de tous acabits et autres anti-croyants ont trouvé pour ne pas avoir à condamner unilatéralement l'islam.
Je parlais de l'actuelle pensée socialiste, cher Jean-Marc : tout et le contraire de tout.
Elle n'est pas belle, celle-là ?

"“Toute la terre est une mosquée sauf les cimetières et les lieux d’aisance”, selon une parole attribuée au prophète Mahomet, notée sur le site Islamweb.“ Toute la terre est une mosquée sauf les cimetières et les lieux d’aisance”, selon une parole attribuée au prophète Mahomet, notée sur le site Islamweb.
“Oui, bien sûr que je connais cette parole du prophète, confirme Mohamad Ouarraa, président du Conseil régional du culte musulman (CRCM) Bourgogne. C’est pour cela que je considère que s’il n’y a pas de mosquée, les gens ont le droit de prier n’importe où – en dehors des endroits cités ci-dessus – y compris dans la rue”."


[www.dijonscope.com]
Vous remarquerez que tombe du même coup l'excuse du trop peu de mosquées contruites en France : si toute la terre est une mosquée, on peut tout aussi bien prier chez soi. Confirmation, s'il en était besoin, qu'il ne s'agit que d'une démonstration de force, d'une entreprise d'intimidation des habitants du pays...occupé.
En fait, on confond deux choses :

La mosquée مسجد

La mosquée où on se rassemble جميع

Le premier mot, qui se dit en arable classique masjid, signifie "lieu où l'on prie", du verbe SJD, sajada, se prosterner. On peut se prosterner n'importe où, d'où l'idée de la mosquée non reliée à un lieu, à condition qu'on se tourne vers la qibla.

Le second mot est jami' et est l'abréviation de masjid jami', mosquée du rassemblement, du verbe JM3, jama'a, se réunir. Les Turcs utilisent ce second mot.

La rue Myrha est, en quelque sorte, le masjid jami' de Paris.
Ouais... La rue Myrrha, c'est surtout une fourmilière dans laquelle Mme Le Pen a donné un grand coup de pied.
Je redis, déja cité dans le Figaro, que Marine Le Pen a tort de s'engager dans cette voie, car si les musulmans sont dans la rue pour prier c'est que leur lieu de culte est trop petit ou inexistant; je suis étonné que les musulmans (non extrêmistes) n'aient pas réagi dans ce sens. J'ajoute que les mosquées dans une république laïque peuvent exister mais sans muezzin eu égard à notre histoire. Sur le plan légal un attroupement dans la rue qui oblige à la condamner est interdit, sauf accord ponctuel de la Préfecture.
« si les musulmans sont dans la rue pour prier c'est que leur lieu de culte est trop petit ou inexistant »

Faux.
Alain, ils sont dans la rue rue Myrha non par absence de lieu de culte à l'endroit où ils habitent, mais parce qu'ils veulent se rassembler
De même, les "apéro géants" n'étaient pas dûs au manque de pubs, de troquets, de bistrots (On notera à ce propos le rapide et très efficace balayage de ce "problème de société" qui aura moins duré qu'un appel de muezzin. Peuh... les buveurs manquent de foi.)
C'est, Orimont, que les apéros géants ont été remplacés par les géants apéros saucisson-pinard. Voyez plutôt le document invitant aux festivités de la Saint Gatien : les agapes sont saucissono-pinardisées.
Citation
JJSC
Ce sont probablement les mêmes qui assistent à ces prières et qui encombrent les entrées des immeubles collectifs pour entraver les allées et venues de leurs voisins .

Permettez moi d'en douter très cher, pour les avoir vu, les énergumènes sont des hommes murs, âgés, parfois accompagnés de leur fils, plus ou moins jeune, mais c'est une majorité de pères de famille.

Cher Alain S, j'appuie : vous verrez se garer des musulmans de toute l'ile de France dans le quartier pour la prière du vendredi. Ne me dites pas qu'il n'y a pas de grande mosquée dans le 78?!
Et même si c'était vrai, même s'il n'y avait pas assez de lieux de cultes, ce dont je doute fort, à partir du moment où ils se sont invités chez nous d'autorité, les musulmans n'ont qu'à faire avec cette situation . Il y a tout même plus dramatique dans la vie ! S'ils ne peuvent pas, si ces lieux de prière leur manquent tant que ça, qu'ils retournent alors dans leur pays d'origine, à la fin des fins !
En fait, si ce terme d'occupation entre si fort en résonance avec les faits, et retentit si bruyamment dans les consciences et paralyse un peu la machine à commentaires outrés contre le FN, c'est moins par la positive ressemblance de l'occupation de ces rues avec celle qu'elles ont pu connaître il y a 70 ans que par la désertion du personnel politique et administratif et de la puissance publique française qui rend les riverains et les parisiens du peuple historique de France totalement abandonnés, livrés à eux-même face au bon vouloir d'une autorité intruse qui semble, sur le terrain, l'avoir remplacée. Ce qui fait Occupation, c'est moins cette "levée de cul" comme il y avait dans l'antiquité tardive des "levées de boucliers" que ce sentiment très désagréable que le maire de l'arrondissement, Daniel Vaillant, et le préfet de police ont pris la fuite à Bordeaux, dans la direction diamétralement opposée au problème, en livrant leurs administrés à leur triste sort. C'est le sentiment de trahison qui fait le sentiment d'occupation. Et voilà qui est (un peu) nouveau.
Marine Le Pen, malgré ses défauts réels ou supposés, devient une sorte de brise fraîche, elle qui nous fait oublier les lamentables rachidadateries, les bayroutades du dimanche et les calamiteuses aventures de Première Dame en Inde, mains jointes comme une Franciscaine en bure de chez Dior.
Le CCIF ( Collectif Contre l’Islamophobie en France) porte plante contre MLP :


"Ces propos (de MLP) sont insupportables et inadmissibles. Ils confirment l’alerte du Collectif Contre l’Islamophobie en France sur l’explosion des actes de discrimination et de violence visant nos concitoyens de confession musulmane sur l’ensemble de notre territoire. De plus, il s’agit là d’un discours tenu dans une région qui a connu en un an 7 profanations de lieux de culte.

Après les multiples profanations de tombes, la mémoire des soldats morts pour notre pays ainsi que de leurs compagnons d’arme, l’honneur des musulmans a été une nouvelle fois sali par ces propos. C’en est trop !

A défaut de présenter un programme économique qui endiguerait la crise que nous vivons, de se démarquer de son père en rappelant que l’immigration rapporte chaque année à la France 12.4 milliards d’euros, Marine le Pen semble faire de l’islamophobie un fonds de commerce électoral, comme avant elle, son père a fait de l’antisémitisme le sien. Nous ne pouvons la laisser faire.

Le CCIF souhaite que Marine Le Pen s’explique devant les juridictions compétentes. Pour cela, nous décidons de porter plainte.

Soyons clairs, si les musulmans prient dans des conditions indignes pour tout être humain, c’est parce - qu’ils n’ont pas d’autre choix ! Les pratiques du culte dans l’espace public révèlent le manque de considération qui leur est accordé.

Les barrières qui s’élèvent devant eux sur tous les plans (social, économique, culturel, cultuel et politique) doivent être abaissées, et nous faisons appel à la Justice de la République pour remémorer à ceux qui l’oublient que tous les citoyens naissent libres et égaux en droits."
« C'est le sentiment de trahison qui fait le sentiment d'occupation »

Francis touche juste.
"Francis touche juste". Comme d'hab.

Mais c'est aussi la "millecollinisation " des esprits musulmans par les amis du désastre qui a transformé en occupants revanchards des personnes qui au départ ne demandaient sans doute rien d'autre que de vivre paisiblement dans notre pays. Il ne faut jamais oublier que ce sont eux , les amis du désastre, les principaux responsables.
D'accord avec Cassandre.

L'image du jour sur Fdesouche : excellente !

Cassandre, nous sommes en plein accord, c'est ce que je dis (maladroitement) depuis des années.
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