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Communiqué n° 1159 : Sur l'iPhone, nouvel alibi de la délinquance remplaciste

Communiqué n° 1159, jeudi 30 décembre 2010
Sur l'iPhone, nouvel alibi de la délinquance remplaciste

Le parti de l'In-nocence constate avec amusement que le complexe politico-médiatique, ne pouvant tout à fait cacher plus longtemps la formidable montée de la nocence et de la violence qui accompagne le prétendu "multiculturalisme", spécialement sous l'aspect des vols avec attaques aux personnes, a décidé d'incriminer surtout... les objets volés. Les partisans actifs ou passifs du Grand Remplacement en cours du peuple français indigène, ne pouvant ni ne voulant mettre en cause les acteurs de ces violences, idéologiquement intouchables, estiment avec une belle unanimité que ce sont les iPhones, ces téléphones portables multifonctionnels de nouvelle génération, qui sont responsables — par leur qualité, par leur prix, par leur petite taille et même par le caractère provocant qu'il y aurait à les arborer en public — des vols avec violence dont ils font l'objet. Ces vols avec violence étant presque toujours le fait de jeunes remplaceurs, mais ceux-ci ne pouvant en aucun cas être désignés clairement, on désigne l'iPhone en lieu et place des coupables.

Le parti de l'In-nocence, au demeurant, souligne à quel point cette affaire, et les chiffres de délinquance qui l'ont provoquée, viennent à point pour corroborer s'il en était besoin le discours qu'a prononcé son président Renaud Camus, le 18 décembre dernier, aux Assises sur l'islamisation : "La Nocence, instrument du Grand Remplacement".
Je me demande pourquoi, alors que c'est techniquement extrêmement facile, on n'impose pas que soit implanté sur les iPhones et autres appareils de même nature un logiciel de sécurité qui permet, à la première connexion à internet de l'objet dérobé, d'identifier immédiatement où il est et depuis où il se connecte.

Dans ces conditions, le receleur serait immédiatement identifié et, s'il n'y a plus de receleurs épouvantés par la sanction à laquelle ils sont accessibles, il n'y aura plus de vols de ce genre.
Mais, cher Jean-Marc, pardonnez-moi, vous n'y êtes pas du tout ! mais alors pas du tout ! C'est un peu comme si vous vouliez résoudre une question en effaçant son point d'interrogation.
Écoutez, Francmoineau, il y a deux types de vols. Ceux qui concernent du numéraire et ceux qui concernent des biens revendables.

Le communiqué nous dit que ces vols sont "presque toujours le fait de jeunes remplaceurs", je ne ferai pas de commentaire sur ce sujet. Je note que ces vols n'ont lieu que parce que des personnes achètent ce type d'objet, de même que les trafics de canabis et autres substances n'ont lieu que parce que des personnes achètent en bout de chaîne ces substances.

Mettre en cause l'objet est un faux débat. Mettre en cause le receleur est une vraie question (notre loi pénale a toujours puni le receleur de la même peine que le voleur). Si vous connaissez des arrêts qui envoient à l'ombre des personnes qui ont acheté un iPhone sans facture et en liquide, citez-les moi, cela m'intéresse.

C'est très bien de tirer à boulets rouges sur ces voleurs-là, mais ce serait encore mieux d'allonger le tir.
Je vais dire cela autrement : il n'y a pas de délinquance d'une nature ou d'une autre, il y a une délinquance tout court, une criminalité, avec auteurs, co-auteurs et complices.

Je pense qu'il serait très souhaitable (mais en cela j'empiète sur les attributions des membres du Parti, et mon observation n'a que la valeur de celle, justement, d'un observateur) de bien peser la valeur, de bien mesurer la portée des expressions du style "remplaciste", "remplaceur" et "Grand remplacement". On peut comprendre de quoi il s'agit quand on est familier avec le thème, et que cette compréhension est éclairée par tout un ensemble d'écrits. On risque de rencontrer au mieux le scepticisme, au pire l'incompréhension quand ces notions apparaissent dans les quelques ligne d'un communiqué.
Ce communiqué, selon moi, se veut une réponse à l'argument avancé dans une certaine presse selon lequel l'objet du délit serait en quelque sorte lui-même le responsable du délit (comme on disait jadis, par exemple, que la mini-jupe est responsable des viols) et il se veut aussi un commentaire sur cet argument, savoir qu'un tel argument n'est avancé par ladite presse à nulle autre fin que de masquer les auteurs véritables de ces délits et le sens sociologique de ces agressions.

Il ne doit pas être lu comme une thèse criminologique mais plutôt comme la dénonciation d'une intox grossière, ubuesque, du complexe médiatico-politique...
Je note que ces vols n'ont lieu que parce que des personnes achètent ce type d'objet, de même que les trafics de canabis et autres substances n'ont lieu que parce que des personnes achètent en bout de chaîne ces substances.

Vous déraisonnez, cher Jean-Marc. Ce qui est en cause ici, c'est, la disparition du surmoi civilisationnel.
Francis,

Je le lis comme vous, et vous faites bien de rappeler cette évidence. Je voulais simplement dire que tout le monde risquait de ne pas comprendre les choses ainsi. Je n'ai pas une formation de juriste, quoique j'aie beaucoup pratiqué le droit administratif, professionnellement parlant. Cette pratique me laisse penser que le Parti serait bien inspiré de demander à ceux de ses membres qui ont une telle formation une analyse à ce propos (sur l'usage exact des notions liées à cette théorie du Remplacement et ses implications sur la délinquance), car il me semble, pour prendre des exemples proches des régions que nous aimons, qu'on s'aventure là dans les eaux agitées du détroit de Malacca, ou dans les cieux turbulents des îles Andaman.

C'est, si je puis dire, un simple conseil d'ami, et suivant l'expression : "It's up to you !".
Je reviens encore, car le sujet me paraît central. Didier souligne à juste titre qu'il faut maintenant mettre les mains à la pâte (en cela vous voyez que je ne souhaite pas que le Parti se retrouve dans le pétrin).

Il y a un constat. Il y a un concept. Je ne crois pas très opérationnel de refaire à chaque fois ce constat, et d'exposer à chaque fois le concept, concept qui me semble assez délicat à manier.

Il faudrait, de mon point de vue, passer assez rapidement à une phase qui ne soit pas de déploration, mais de traduction de la mise en oeuvre du concept, c'est à dire que fait-on, que propose-t-on comme mesure concrète ?

C'est cela qu'à fait le parti de M. Freysinger.
"It's up to you" fleure bon, lui aussi, son Sud-Est asiatique.

J'ai lu dans un forum le commentaire d'un internaute qui n'hésitait pas à comparer le meurtre de cette femme dans le métro (poussée dans l'escalier) à un accident que provoquerait quelqu'un qui roulerait sans permis en se rendant à son travail. L'auteur du meurtre ayant "causé la mort de la victime sans l'intention de la donner". Je rejoins Francmoineau ici: l'effacement du surmoi civilisationnel, derrière, entre autres, le jurididisme. Receleur ou pas, poule ou oeuf ou oeuf ou poule, il y a des jeunes gens, dans le métro parisien, qui sont désormais prêts à massacrer froidement à coups de pied et de poing n'importe quel voyageur (ou voyageuse, c'est plus sûr) pour lui arracher un téléphone portable qu'il trouvera à écouler sur tel ou tel marché secondaire. L'amour et la fascination que provoque ce type de smart phone n'est pas à nier, il est universel -- on a appris récemment qu'en Chine, un homme s'était suicidé après avoir perdu le sien. Ce qu'il faut souligner, c'est que ce type d'agression sauvage pour arracher ces objets à leur propriétaire est typique d'une certaine population, que l'on avait vu à l'oeuvre sous les caméras des journalistes, par exemple lors de certaines manifestations lycéennes il y a deux ou trois ans, dans ce type d'acte. Ce phénomène est choquant, il est le signe d'un véritable ensauvagement : les voleurs à la tire, les pickpockets ont toujours existé, les vols avec violence aussi, des malades mentaux qui poussent des innocents sur les rails existent aussi: mais la banalisation du passage à tabac dans un lieu public suivi d'un meurtre pour un téléphone de 200 euros de valeur marchande tout au plus, voilà qui fait froid dans le dos quand ces actes se voient publiquement excusés par la presse: l'iPhone est trop cool, c'est normal qu'on tue pour l'avoir.
Citation
Francis Marche
les voleurs à la tire, les pickpockets ont toujours existé, les vols avec violence aussi, des malades mentaux qui poussent des innocents sur les rails existent aussi: mais la banalisation du passage à tabac dans un lieu public suivi d'un meurtre pour un téléphone de 200 euros de valeur marchande tout au plus, voilà qui fait froid dans le dos quand ces actes se voient publiquement excusés par la presse: l'iPhone est trop cool, c'est normal qu'on tue pour l'avoir.

C'est exactement ça. De même qu'il ne faut pas regarder dans les yeux certaines catégories de la population, par exemple...
31 décembre 2010, 13:42   Question bête
Je ne voudrais pas être hors-sujet (encore que, tout bien considéré, ma question rejoigne en grande partie, sur le plan des causes, sans doute, le sujet qui nous occupe) ; j'invite les personnes les plus âgées de ce forum à fouiller dans leurs souvenirs : à quand remonte exactement la mode des voitures brûlées le premier janvier ?
Début des années 80 ?
C'est cela même.
Plus de détails ici.
Ce n'est pas la première fois que le "syndrome iPhone" souligné par ce communiqué se manifeste. On se rappelle, par exemple, le lâché d'argent à des fins publicitaires qui avait été tenté à Paris, tentative avortée qui s'était soldée par des nocences qui ne nous étonnent hélas plus : tabassages, voitures renversées, dégradations et autres. La première réaction des hommes politiques avait été de se retourner contre... la société organisatrice, et de faire voter une loi pénalisant ce genre de pratique commerciale, qui s'est pourtant déjà déroulée dans d'autres pays sans aucun problème.

Même chose avec la fameuse affaire de l'agression dans le Noctilien révélée par F.Desouche, qui avait entraîné l'accusation... du policier ayant diffusé les images. Qu'on imagine que l'agression ait été suivant le modèle inversé, et que les attaquants aient été Blancs et la victime Arabe. Tout de suite, le policier ayant laissé diffuser les images aurait été salué par toutes les associations antiracistes pour son comportement citoyen, toute la classe médiatique aurait hurlé au retour des heures les plus sombres de notre histoire, etc. Mais dès que la réalité ne correspond pas au modèle de l'antiracisme dogmatique, il faut vite s'en prendre à ceux qui ne font que constater cette réalité, et la reformuler par diverses dénégations.
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