Communiqué n° 1168, mercredi 19 janvier 2011
Sur les très mauvais chiffres démographiques et le pessimisme des Français
Le parti de l'In-nocence est très frappé par la coïncidence rigoureuse entre, d'une part, les très mauvais chiffres de la démographie française, qui s'aggravent tous les jours — la population ayant dépassé les soixante cinq millions d'habitants et le taux de fécondité des femmes en France étant le plus élevé d'Europe et l'un des plus élevés du monde développé —, et, d'autre part, le pessimisme et la "morosité" (selon le terme journalistique) qui règnent dans le pays et que confirment régulièrement tous les sondages. Preuve est ainsi apportée de la façon la plus claire que la croissance démographique, de si désastreuse conséquence écologique, n'est en aucune façon un signe de dynamisme national et de vision positive de l'avenir. Elle n'est hélas que le résultat mécanique d'une aberrante politique nataliste, qui achète par de folles dépenses et par des avantages de toute espèce un comportement nataliste dont le seul effet, outre les dommages irréversibles apportés au territoire et aux conditions de vie, est l'accélération constante du Grand Remplacement de la population indigène.
Le parti de l'In-nocence note d'autre part que les diverses et considérables prébendes liées à la reproduction entraînent l'élargissement permanent d'une classe de pensionnés et d'allocataires, dont la fonction principale, sinon exclusive, au sein de la société est de faire des enfants, ce qui correspond très exactement à l'antique définition du prolétariat. Ce phénomène est parfaitement en accord avec la prolétarisation fulgurante en effet, déculturation et décivilisation aidant, de l'ensemble de la société.
Le parti de l'In-nocence estime pour sa part que l'argent si mal employé à favoriser le Grand Remplacement, à promouvoir la banlocalisation et la pollution du territoire et à accentuer la prolétarisation, le serait infiniment mieux à préparer le pays au nécessaire vieillissement qu'impliquerait une politique démographique raisonnable, consciente des enjeux écologiques. Une des principales urgences serait d'assurer l'autonomie de la population indigène en matière de services, l'ensemble du système éducatif devant cesser de produire en masse des diplômés "d'honneur", dépourvus de toutes connaissances véritables et inutilisables sur le marché du travail, et commencer à former au contraire des personnes à même de remplir avec compétence, en échange de salaires attractifs et avec l'aide de techniques soigneusement étudiées, les fonctions indispensables aujourd'hui bradées aux contre-colonisateurs légaux et clandestins.