Communiqué n° 713 : Sur l'agression de la rue Petit

Le parti de l'In-nocence estime que ne fait guère de doute le caractère antisémite de l'agression dont ont été victimes le samedi 6 septembre, rue Petit, dans le dix-neuvième arrondissement de Paris, trois jeunes juifs portant la kippa, et qui se rendaient à la synagogue. L'argument selon lequel ce caractère ne serait pas attesté parce que les agresseurs n'auraient pas proféré d'insultes antisémites est absurde : il équivaudrait, transposé, à estimer qu'il y a un doute sur les intentions des violeurs qui se taisent ou des assassins qui ne laissent aucun message.

Le parti de l'In-nocence estime que cette agression sauvage, et qui s'inscrit dans une longue série, expose une fois de plus le véritable visage de la société prétendûment multiculturelle et authentiquement multiethnique que prônent inlassablement les médias et le discours établi ; et qu'elle souligne s'il en était besoin la criminelle légèreté et la radicale inconscience dont témoignent les incessantes incitations à toujours plus d'immigration : les résultats de la colossale immigration déjà intervenue montrent assez, jour après jour, ce qu'il en est de la société et de l'état de civilisation que nous promet et nous assure déjà l'évolution à laquelle nous sommes d'heure en heure invités à souscrire.

Comme toujours (et c'est tant mieux) les "de souche" sont totalement étrangers à l'affrontement communautaire qui s'installe progressivement sur l'ensemble de "leur territoire".
Il suffit d'ouvrir les yeux pour se dire que la France, globalement, est en état de dysfonctionnement. Aucune amélioration n'est possible, car l'idéologie hégémonique s'y oppose ; une incomptibilité d'humeur s'est installée entre cette idéologie et les solutions pratiques (Aïe !) qu'il faudrait appliquer pour sauver les meubles, c.a.d pour sortir du chaos multiracial. Evidemment, si les médias se retiennent, ne "stigmatisent" personne, c'est que les agresseurs n'ont malheureusement pas le profil idéal (militants du FN, skinheads, identitaires (ah oui, j'oubliais que moi...), néo-nâââzis, révisionnistes, etc).

Dois-je conclure de votre phrase :

Comme toujours (et c'est tant mieux) les "de souche" sont totalement étrangers à l'affrontement communautaire

que les victimes, elles aussi, n'ont pas le profil idéal ?

Ce que je sais c'est que des victimes "de souche", elles, auraient moins le "profil idéal", aussi je n'imagine pas qu'elles puissent déclencher un pareil tollé médiatique. Enfin, si vous avez quelques exemples, n'hésitez pas à me contredire...

Mais qu'est-ce que cela signifie pour vous ? le port d'une kippa suppose forcément qu'on n'est pas "de souche" ?

Non, pas forcément, mais lorsque dans certains quartiers de Paris on porte (crânement) un signe aussi ostentatoire qu'une kippa...

... il arrive ce qui doit malheureusement arriver.

Une kippa se porte toujours crânement, Pascal, quand on vous dit que vous devenez redondant.

et quand votre soeur ou votre nana se fait violer parce qu'elle passait par là en mini-jupe (pas crânement cette fois, je n'ai pas l'adjectif sous la main, ras-le-bonbon peut-être), il arrive malheureusement ce qui doit arriver Pascal ?

La dérouillée pour port de kippa ou le viol sous porte-cochère pour port de mini-jupe, vous faites une différence, vous ? Tous deux vous paraissent-ils de malheureuses conséquences prévisibles d'une erreur vestimentaire ?

Bien cher Francis,

A lire ses messages, je suppose que M. Orsoni est accompagné de ce genre de dame :

[lts.online.fr]

Exact. M. Orsoni aime bien les casques à pointe portés crânement, en général.

"Une kippa se porte toujours crânement, Pascal"


Non, car tout dépend du lieu, Francis. En Israël elle ne se porte pas crânement, que je sache.

Si certains se sentent agressés par le port du voile ou de la djellaba je ne vois pas au nom de quoi, d'autres, ne pourraient pas ressentir le port de la kippa comme une sorte d'agression (question de sensibilité). Quant au port de de mini-jupe, quel rapport avec ces tensions communautaires ? La mini-jupe à toujours excité les hommes, qu'ils soient du 93 ou pas, musulmans ou non.

Je suis certainement redondant, comme vous dites, mais vos messages, ou plutôt vos sermons, commencent à me... enfin je suis persuadé que Jmarc est assez grand pour se défendre tout seul.

Oui, avec une veste pied-de-poule, à la Darquier de Pellepoix, vous voyez, un motif élégant, très français, quoique légèrement gammé.

Un message s'étant interposé, je précise que la veste va avec le casque.

Monsieur,

Je vous trouve bien affirmatif quant aux goûts masculins. Je préfère de beaucoup le casque à pointe à la minijupe.

La kippa sur porte sur quelle partie de l'anatomie cher Pascal ? Le coude ? Le tour des reins ? Non, assurément. Elle se porte sur le kkkkk... le krrrr... le crâne. Et bien voilà. Nous y sommes. Voyez jusqu'où peut se loger votre redondance, Pascal, votre circularité. Je vous en laisse juge.

Leurs usages respectifs diffèrent trop pour se comparer, Jmarc. Pour moi, voyez-vous, le casque à pointe retourné fait un beau verre à pied sans le pied, un gros verre à punch ou une petite vasque à planter dans le gazon. Tandis que la mini-jupe retournée dévoile mille usages où se noie l'imagination, et qui n'excluent pas pour autant, notez-le, la plantation, ou le plantage, dans le gazon humide.

Oui Francis... mais votre Jmarc, la mini-jupe, retournée ou pas, gazon humide ou sec, lui, il s'en fiche comme de ses vieux slips ! Il vous l'a déjà dit c'qu'il aime, il vous l'a déjà dit !... Francis, faudrait écouter, pas êt' bêtement circulaire... hein ?

Bon Dieu, certains d'entres vous sont indécents.

Moi les minijupes me rendent alcoolique.

Nous prions pour votre foie que ce ne soit que les mini-jupes, M. Urmeau.

Les minijupes et les culottes. Ne me mettez pas dans l'embarras.