Oui, effectivement, l'article de
La Provence mentionne bien les "clandestins" comme étant à l'origine des troubles en question à Marseille (notons qu'il s'agit d'une citation). En tout cas, on sait maintenant que le boulanger de la place Victor-Gélu est d'"origine sicilienne", que le SDF/homme de main est d'"origine allemande", et qu'une restauratrice "vietnamienne" habite dans les environs. Seuls les "jeunes" des quartiers alentour, les "groupes de filles" de treize ans qui causent tout ce
ramdam grabuge évoluent dans la sphère de l'in-nommable... du ce-qui-va-sans-dire ?