Le site du parti de l'In-nocence

Douloureuse, éternelle et enivrante catastrophe

Envoyé par Francis Marche 
Il est peu d'auteurs aujourd'hui qui nous disent ce qu'il advient par la musique. L'auteur de ce texte le fait, l'ose. Lisez cela, lentement, repensez-y en écoutant les auteurs cités, redevenez quelques minutes étudiants de votre époque et de celle qui, lâchement, l'a pondue. La musique reste, quoi qu'il advienne. Si vous ne l'aimez pas c'est que votre corps, tout votre être, se sont trahis et en allés. Allez, moi, ce soir c'est Gennady Rozhestvensky dans Alban Berg, le concerto pour violon opus 15 qui me fait m'en aller.

Attention: il y a un savoir délicat, fugitif, discret et plutôt timide, comme l'est la vérité, et son sobre enseignement, dans ce texte en forme de questionnement, à lire comme au terme d'une attente : [george-s-fuly.blogspot.com]
Moi, cette après-midi, tous volets fermés, en chantonnant par-dessus (le seul problème est que le canon, tout seul, c'est difficile), c'est, à l'orgue, la petite fugue en sol mineur BWV 578, connue. Cela me fait aussi un peu m'en aller (malade). Merci pour le lien (l'auteur de ce blog ne peut pas savoir combien je lui dois en matière musicale).
C'est ( presque) toujours un plaisir de lire JérômeVallet.
Et surtout d'écouter ce qu'il suggère d'écouter...

J'ai fait des découvertes merveilleuses...

Stéphane, je crois que je vais aussi écouter Bach, ce soir.
Je pinaille, cher Francis, mais l'"opus 15" de Berg ? S'agit-il du Concerto à la mémoire d'un ange ?
Utilisateur anonyme
03 septembre 2011, 20:54   Re : Douloureuse, éternelle et enivrante catastrophe
Ce blog est passionnant, aussi bien l'article sur la musique que ceux plus anciens. Le style fait penser un peu à Nabe. A ne pas aborder pour la première fois après dix heures du soir sous peine de vol de nuit.

Les créations numériques de cet artiste méritent le détour (à voir en plein écran) :



Vous voulez dire un Nabe qui aurait des choses à dire et qui les dirait bien ?
Très stimulant, en effet...
Du coup, en bon cuistre rustaud écoutant à peu près tout et n'importe quoi, j'ai immédiatement téléchargé la Sinfonia disponible ici, for whom may be interested...

(À propos de concertos pour violon, j'ai par hasard écouté il y a quelques jours celui de Schoenberg, l'opus 36, interprété magistralement par Hilary Hahn. Euh, y'a pas à dire, mais ça roxx vraiment...)
Utilisateur anonyme
03 septembre 2011, 22:15   Re : Douloureuse, éternelle et enivrante catastrophe
Hé mais j'ai téléchargé une vidéo cochonne avec votre lien ! J'ai confondu Sinfonia Epifanie avec Gros Seins. Moi qui voulait briller aux yeux de mes invités par mon aisance webmatique : complet Gros-Jean...
Encore un acte manqué...
03 septembre 2011, 22:26   Entre le cru et le cuit
Vous faites bien de le dire, Agrippa, le lien est : "Télécharger Berio conducts Berio", en haut, pas celui du milieu de page, ça m'a fait le coup aussi...
Ah, les cultureux doivent constamment naviguer à vue dans une mer de déchets...
C'est ce qu'on nomme le "Freudian click", n'est-ce pas, Alain ?
Utilisateur anonyme
03 septembre 2011, 22:32   Re : Entre le cru et le cuit
Ah, ne m'en parlez pas, vivement que l'abbé Pagès mette un peu d'ordre dans tout cela (il restera les attributs nourriciers de Marie...).

Merci pour le lien.
Agrippa, il y a pire. Imaginez que vous présidiez le congrès de l'AAJV, l'association des amis de Jérôme Vallet, que vous regardez du coin de l'oeil le scrétaire insérer le CD issu d'un coffret d'Haydn, et que vous vous souveniez à cet instant où vous aviez caché ce fichu CD de Sting lors de la descente de la PiPi (Police intellectuelle du Parti de l'In-nocence).
Je vous en prie, cher Agrippa.

Oh vous savez, Jean-Marc, Freud et moi...
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