La propagande islamiste au CNRS, publiée par Le Monde

(Message supprimé à la demande de son auteur)

C'est malheureux à dire, mais le CNRS est pour une grande part devenu un organisme militant. Il semble que le militantisme s'insinue désormais partout, et c'est un grand malheur pour l'édition française.

Islam est un terme polysémique, donc les islamistes ne sont pas islamistes. Laïcité est également polysémique, donc les Occidentaux ne sont pas particulièrement laïques, et ils le sont moins en tout cas que ne le sont les arabes printanisés (qui, eux, n’emploient pas le mot laïque). Par contre islamophobe et nauséabond ne sont pas des termes polysémiques. Employés contre des Français par un directeur de recherche au CNRS, ils valent excommunication, et justifient l’imposition de pénitences sévères, sur lesquelles M. Bayart reste évasif.

En effet, Stéphane, il suffit de nous remémorer les pressions subies par les éditions du Seuil au moment de l'affaire Gouguenheim, sans compter le soutien, pour le moins tiédasse, que le médiéviste avait reçu de la part de ses collègues de l'ENS.

Un militant algérien l'avait expliqué au jeune historien et sociologue Maxime Rodinson, lors d'une Fête de L'Humanité, entre les deux guerres : "L'Oumma et L'Huma, c'est la même chose ." [www.lemonde.fr]

Francis Marche (ohé !...), elle est pour vous, celle-là.