Utilisateur anonyme
04 janvier 2012, 16:43
Propos d'un ami du désastre
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04 janvier 2012, 17:10 Re : Propos d'un ami du désastre |
06 janvier 2012, 18:55 Re : Propos d'un ami du désastre |
06 janvier 2012, 20:46 Re : Propos d'un ami du désastre |
06 janvier 2012, 20:51 Re : Propos d'un ami du désastre |
06 janvier 2012, 20:56 Re : Propos d'un ami du désastre |
06 janvier 2012, 21:51 Re : Propos d'un ami du désastre |
06 janvier 2012, 23:23 Re : Propos d'un ami du désastre |
Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 00:28
Re : Propos d'un ami du désastre
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Voilà qui pose clairement le problème. Le péril croît rapidement, l'ennemi s'installe et renforce son emprise, l’aveuglement, l'esprit d'abandon, la lâcheté, le vertige de la trahison, ont envahi les esprits. Nous mesurons ce qu’il faudra de courage, de volonté, de fermeté de cœur et de lucidité pour nous y attaquer. Les solutions ne peuvent être que de grande ampleur, elles s’imposeront par la contrainte et probablement par la violence. Leur nature exigera l’adhésion du peuple profond. Seul un élan collectif de révolte, un refus unanime de la prétendue fatalité renverseront le cours de l’histoire. Notre premier objectif est donc de réveiller ce peuple aujourd’hui anesthésié, gorgé de mensonges, dépouillé de son histoire. C’est pourquoi il est vital que de grandes voix lui parlent : nous pouvons nous donner comme mission de permettre à notre peuple de les entendre.Citation
Bruno Chaouat
Certes, certes, mais il y a tout de même l'irréversibilité démographique, non ?
Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 01:42
Re : Propos d'un ami du désastre
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Citation
Alain L.
Citation
Bruno Chaouat
Certes, certes, mais il y a tout de même l'irréversibilité démographique, non ?
Voilà qui pose clairement le problème. Le péril croît rapidement, l'ennemi s'installe et renforce son emprise, l’aveuglement, l'esprit d'abandon, la lâcheté, le vertige de la trahison, ont envahi les esprits. Nous mesurons ce qu’il faudra de courage, de volonté, de fermeté de cœur et de lucidité pour nous y attaquer. Les solutions ne peuvent être que de grande ampleur, elles s’imposeront par la contrainte et probablement par la violence. Leur nature exigera l’adhésion du peuple profond. Seul un élan collectif de révolte, un refus unanime de la prétendue fatalité renverseront le cours de l’histoire. Notre premier objectif est donc de réveiller ce peuple aujourd’hui anesthésié, gorgé de mensonges, dépouillé de son histoire. C’est pourquoi il est vital que de grandes voix lui parlent : nous pouvons nous donner comme mission de permettre à notre peuple de les entendre.
Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 08:54
Re : Propos d'un ami du désastre
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Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 09:04
Re : Propos d'un ami du désastre
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Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 16:36
Re : Propos d'un ami du désastre
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Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 16:39
Re : Propos d'un ami du désastre
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Citation
Alain L.
Cher Bruneto, nous sommes tous conscients que la tâche est rude, le chemin cahoteux et l'avenir incertain. Mais "point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, etc.", encore que l'espoir ne soit pas vain. Que chacun prenne sa part de l'immense travail à accomplir et qu'il remplisse ce qu'il s'est assigné comme mission dans l'œuvre commune. Pour moi, cela me semble un devoir et une mesure d’hygiène mentale. Je ne peux m'accommoder du malheur présent que dans l’action qui prépare sa défaite, sinon ……. !
Je suis reconnaissant à Renaud Camus d’être l’une de ces grandes voix qui peuvent s’élever contre le mensonge proféré par tant de bouches. Nous ne devrions pas avoir de tâche plus urgente que de lui donner la parole.
Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 16:39
Re : Propos d'un ami du désastre
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Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 17:20
Re : Propos d'un ami du désastre
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07 janvier 2012, 18:24 Re : Propos d'un ami du désastre |
Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 18:31
Re : Propos d'un ami du désastre
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Utilisateur anonyme
07 janvier 2012, 21:42
Re : Propos d'un ami du désastre
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Utilisateur anonyme
08 janvier 2012, 00:48
Re : Propos d'un ami du désastre
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Citation
Didier Bourjon
Vous y tenez, décidément...
Voyez si je fais l'effort de réagir autrement à vos provocations et tentatives d'ironie — je m'étonne moi-même.
Ne comptez pas trop voir la chose perdurer, tout de même...
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Je le répète : « "Il faudra qu'elle gueule sacrément" : Eh bien, justement : non. »
Il n'y a rien d'autre à dire.