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Communiqué n° 1330 : Sur les mauvaises nouvelles de la démographie allemande

Communiqué n° 1330 : vendredi 13 janvier 2011
Sur les mauvaises nouvelles de la démographie allemande

Le parti de l'In-nocence reçoit avec inquiétude et chagrin les très mauvaises nouvelles de la démographie en Allemagne, pays qui jusqu'à présent, et dans une certaine mesure, pouvait servir de contre-exemple positif à la désastreuse situation française ; et dont voici qu'il paraît, hélas, s'aligner sur elle. Non seulement la population a recommencé d'y augmenter, en effet, mais en plus cette augmentation est due exclusivement à l'immigration. Le Grand Remplacement suit donc outre-Rhin son cours suicidaire avec autant d'impétuosité qu'en France, sur fond de surpopulation aggravée, aux applaudissements conjoints de démographes inconscients, de natalistes béats et de remplacistes fervents.
Quelqu'un connaîtrait-il les chiffres officiels et officieux de l'immigration en Allemagne ? Avec l'origine de ces migrants ?
Ceux que cela intéresse pourront prendre connaissance en cliquant i c i de l'origine des étrangers installés en Allemagne.

Sans surprise les turcs sont les plus nombreux mais il y a aussi beaucoup d'italiens, de polonais et même des francais plus de 100 mille.

En résumé les immigrés d'origine européenne ou caucasienne sont quand même majoritaires.
Citation
Secrétariat général
Communiqué n° 1330 : vendredi 13 janvier 2011
Sur les mauvaises nouvelles de la démographie allemande

Le Grand Remplacement suit donc outre-Rhin son cours suicidaire avec autant d'impétuosité qu'en France, sur fond de surpopulation aggravée, aux applaudissements conjoints de démographes inconscients, de natalistes béats et de remplacistes fervents.

"Natalistes béats" et "remplacistes fervents" ne peuvent être mis sur le même plan.

Compte tenu du rapports des forces en présence une politique nataliste et familiale jointe à une "limitation extrême de l'immigration" pourrait encore mettre un coup d'arrêt au "grand Remplacement".

Ces deux politiques sont les deux faces de la même monnaie idéologique.

"Idéologiquement" ces deux mesures politiques partent de la même source : l'amour de la vie c'est à dire l'ensemble des forces qui luttent contre la mort. Et la lutte contre la mort c'est le désir de reproduire et de protéger ce qui est.

La lecture de votre "Abécédaire" est d'une tristesse difficilement supportable. Il s'en dégage une lugubre atmosphère de tombeaux. Votre programme ne vise qu'à la protection de ce qui est (et qui l'est d'ailleurs en assez mauvais état). L'application de vos principes reviendrait à élever des murs autour d'une maison de retraite qui deviendra bientôt un cimetière, à bâtir des digues enserrant une eau morte, stagnante et bientôt croupie.

Je souhaite aussi des murs mais autour d'une maternité et d'une cour de récréation. Et je souhaiterai que cette cour soient peuplée d'enfants jouant à la marelle, aux billes et que les enfant qui y jouent quelle que soit leur origine ou celle de leur parents s'appellent eux aussi Jean et Marie (et qu'ils aillent tous au catéchisme le mercredi après-midi). Cette cour pourra accueillir des enfants de parents étrangers dans les limites de se capacité d'assimilation. Mais cette assimilation ne peut se faire que si les premiers arrivés eux aussi continuent à s'accroître et à imposer aux autres les règles de la marelle et du jeu de billes.
Je ne suis pas d'accord avec vous, monsieur Brunetto, j'ai trouvé dans l'Abécédaire de l'In-nocence bon nombre d'interventions intéressantes et positives, qui proposent, non pas simplement de protéger ce qui peut l'être encore, mais de retrouver, reconstruire, inventer un monde In-nocent ou plus exactement reprendre (comme le dit si bien monsieur Bourgeon) notre culture et notre civilisation pour ne pas se perdre. Cela implique évidemment et premièrement de regarder, de constater, les choses telles qu'elles sont.
Pardonnez-moi cher Rand O'Mize, mais c'est : Monsieur Bourjon.

Sinon, je suis d'accord avec vous : la lecture de l'Abécédaire, qui, si elle est rendue pénible d'abord par une confection un peu trop négligée (dont je crois savoir que Renaud Camus est le premier à s'en être plaint et à s'en plaindre), mais aussi par la dure réalité décrite sans fards qu'elle nous présente, révèle également la force d'un concept, celui de l'In-nocence, qui implique le moins pour le plus, qui s'applique à de nombreux domaines, qui laisse entrevoir un avenir qui pourrait être une reprise de ce qui rend notre civilisation si précieuse.

Pour cela je serai éternellement reconnaissant à Renaud Camus (mais aussi à Didier Bourjon, qui me l'aura fait découvrir, et qui m'aura accompagné dans la compréhension de l'In-nocence).
L'écoute de l'émission Répliques de ce jour avec l'historien Pierre Nora éclaire avec une grande subtilité et force distinctions temporelles l'idée de nation française. A la fin de l'émission Pierre Nora définit quelle doit être selon lui la mission actuelle des historiens pour contribuer à maintenir l'existence de la nation française dans les conditions présentes.

[www.franceculture.fr]
Monsieur Rand, je ne nie pas le courage de certaines prises de positions mais je décrivais le sentiment général que j'éprouvais une fois lu l'ouvrage. La plupart des communiqués sont plein du bon sens que seul l'actuel renversement général des valeurs fait prendre pour des positions politiquement intenables.

Le ton est en effet assez uniformément celui du repli, du reproche. La politique prend souvent comme critère le plus petit commun multiple, l'adaptation de la vie aux moyens. L'ouvrage pourrait avoir comme sous-titre "Eloge de Malthus" comme ce pensum que lit le héros de je ne sais plus quelle nouvelle de Bioy Casares.

Si on s'oublie parfois à quelque audace on l'émascule aussitôt par crainte de "nocence" (puisque c'est le sésame du Parti) ou par peur d'être trop partial. Ainsi du communiqué n°61 du 21/06/2004 : on regrette que la référence au christianisme n'est pas été retenue dans le préambule du projet de constitution européenne (et on sait à cause de qui). Mais aussitôt on neutralise cette témérité en affirmant que référence aurait aussi dû être faite au judaïsme, la pensée grecque, etc. Alors autant ne rien mettre en effet dans le préambule de la constitution.

S'ajoute aussi un style grandiloquent et pesant qui nuit souvent au message lorsque le sujet traité est ridicule ou dérisoire. Ainsi du communiqué n°449 du 10 avril 2007 sur l'usage du mot "maman". L'efficacité du message aurait gagné à être traitée avec plus de légèreté ou d'humour.

Il reste que cet "Abécédaire" a l'immense mérite de mettre en relief nombre de ces "petits faits vrais" qui posent une époque et une société. On doit donc le lire en piochant au hasard et de temps en temps. On évite ainsi le sentiment pénible que donne une lecture suivie pour en retirer tout le plaisir qu'on y trouve à se faire mal.
Cher Brunetto, vous dites "tout le plaisir qu'on y trouve à se faire mal" et je m'y retrouve, sans masochisme aucun.

Quant au style grandiloquent, il m'a semblé lire ici qu'il se voulait "parapluie avalé", c'est donc bien une volonté de l'auteur (des auteurs, plutôt ?). Je trouve que cette forme, presque un uniforme, permet de traiter de quelque sujet qui soit sans faire barrière au sens, et qu'en s'éloignant le plus du "parlécrire", trop souvent employé de nos jours, cela permet de mieux appréhender la réalité ainsi décrite.

Mais je suis sûr que certains trouvent cette présentation trop austère ou élitiste (sans doute les deux, même). Je ne suis pourtant pas de haute extraction ni ne possède la culture suffisante pour comprendre toutes les références citées en ce lieu, j'en respecte d'autant (d'au temps ?) ses intervenants ainsi que cette volonté exprimée par monsieur Camus de permettre à chacun de devenir ce qu'il peut être, pleinement.

J'ai ri parfois à la lecture de certains communiqués, mais je pense que les sujets abordés par les communiqués méritent d'être traités avec sérieux, ce qui est le cas. Si vous voulez rire, lisez un recueil de brèves de comptoir !
Citation
Rand O'Mize

Quant au style grandiloquent, il m'a semblé lire ici qu'il se voulait "parapluie avalé", c'est donc bien une volonté de l'auteur (des auteurs, plutôt ?).

J'ai ri parfois à la lecture de certains communiqués, mais je pense que les sujets abordés par les communiqués méritent d'être traités avec sérieux, ce qui est le cas. Si vous voulez rire, lisez un recueil de brèves de comptoir !

Monsieur,

Si c'est voulu c'est très bien mais c'est voulu un peu trop systématiquement.

Je ne cherche pas à rire. Le rire est devenu la pilule dorée qui permet à notre époque "festive et sympa" d'accepter encore qu'on lui dise qu'il faudrait lire autre chose que Levy et Mussot : "car vous savez au bout du bout Kafka est un sacré auteur comique !", "et puis tout de même Shakespeare, quel rigolo !". Non je ne cherchais pas à rire en lisant le l'ouvrage de Monsieur Camus.
"On doit donc le lire en piochant au hasard et de temps en temps."

C'est la pratique d'une bible.

Cette après-midi, j'ai suivi une émission radio sur France-Culture. On y racontait la vie d'Allan Thering, présenté comme l'inventeur génial de l'informatique et qui tenait la dragée haute à Wittgenstein et rendit d'éminents services dans le décryptage des messages allemands pendant la seconde guerre. Cette histoire est peut-être très connue. J'y apprenais que les dernières recherches de ce savant n'avaient plus porté sur l'informatique mais sur la croissance, et notamment celle des plantes. Il se disait sur le point de comprendre le principe de la vie. Cela, avant son suicide par empoisonnement, à la suite d'un procès et d'une castration chimique, liés à l'accusation d'être homosexuel. Etrange suicide par absorption d'une pomme au cyanure, qu'il se cuisina. Et le journaliste de préciser cette circonstance insolite qui voulait que M. Thering ait vu sept fois le dessin animé Blanche Neige. Suivirent des spéculations sur le choix par Steve Jobs de la pomme comme emblème de sa marque d'ordinateurs, en hommage peut-être rendu.
Parmi les diverses supputations pour expliquer le geste du chercheur, les symboles que pouvait receler cette pomme croquée qui donne la mort il ne vint à personne l'idée d'évoquer l'image du fruit défendu du jardin d'Eden.
Citation
Orimont Bolacre
"On doit donc le lire en piochant au hasard et de temps en temps."

C'est la pratique d'une bible.

N'éxagérez pas tout de même l"Abécédaire" est nettement moins maniable.
s'appellent eux aussi Jean et Marie

C'est curieux, ces deux prénoms me rappellent quelqu'un. C'est voulu ?
L'efficacité du message aurait gagné à être traitée avec plus de légèreté ou d'humour.
Je crois qu'il s'agit d'Alan Turing, (http://en.wikipedia.org/wiki/Alan_Turing), cher Orimont.

Et toujours au chapitre des noms et pseudonymes, M. Rand O'Mize est-il un parent aléatoire de M. Miza Lundeks ?
Oui, vous avez raison : Alan Turing. Sa destinée romanesque a de quoi se hisser jusqu'à la légende.
À propos d'Alan Turing (mais pas seulement de lui, et loin de là) : Histoire des codes secrets (sous-titrée : De l'Égypte des Pharaons à l'ordinateur quantique), de Simon Singh, aux éditions JC Lattès.
Vous n'allez certainement pas me croire mais la machine universelle de Turing, à l'origine de l'ordinateur personnel tel que conçu par Jobs et consort, offre un modèle du Grand Remplacement (le corps de la machine est dissocié des fonctions qu'il accueille, etc..). L'origine de la marchandisation des hommes, devenus "ressources humaines" puise à la "métaphysique de Turing" ou à sa vision nouvelle de la machine universelle: les migrations vont et viennent sur un corps (un territoire) qui leur est en son principe indifférent. Mais il y a plus.
(Message supprimé à la demande de son auteur)
Vous n'allez certainement pas me croire mais la machine universelle de Turing, à l'origine de l'ordinateur personnel tel que conçu par Jobs et consort, offre un modèle du Grand Remplacement (le corps de la machine est dissocié des fonctions qu'il accueille, etc..).

En effet, M. Marche, on ne vous croit pas. Il faut tout de même rappeler qu'une machine de Turing, universelle ou pas, est un objet mathématique et rien de plus. Elle n'a pas de corps ; c'est une "machine de papier". C'est un modèle mathématique de machine (réelle ou abstraite).

Ne mélangeons pas tout... L'époque mélange déjà assez.
C'est un objet mathématique qui se pose sur des corps polyvalents, et c'est de cette association qu'est née l'informatique. Libre à vous de déclarer que je mélange tout, mais à charge pour vous alors de démêler l'affaire en nous épargnant les verdicts et les condamnations non étayées de mes dires.
Cher M. Marche, la précision définitionnelle des concepts et objets mathématiques compromet toute extrapolation abusive.
Grosso modo, vous comparez l'universalité d'une MTU (Machine de Turing universelle), soit le fait que cette machine (qui est elle-même une fonction) peut simuler le fonctionnement de toute autre machine (autrement dit calculer toute fonction calculable), avec le fait qu'un territoire puisse accueillir tout peuple, tant l'indifférence des peuples au territoire est marquée. Votre comparaison est bancale : une MTU prend pour argument (i.e. calcule) des codages d'autres machines (la MTU simule d'autres machines), alors qu'un territoire n'accueille pas d'autres territoires, mais des hommes. Le processus auto-référentiel (une machine simulant d'autres machines (F(f(x))), qui permet l'universalisation, n'est pas présent dans le Grand Remplacement, lequel met en jeu deux objets de nature différente : un territoire d'un côté, un ou des peuples de l'autre.

J'espère avoir été clair.
Cher Isaac,

je suis à des milliers de kilomètres de ma bibliothèque d'où j'aurais aimé vous répondre en puisant des citations de divers auteurs, dont Roger Penrose.

Voyez cependant ceci, extrait du site officiel consacré à Turing, on y décrit le fonctionnement théorique de la Machine universelle de Turing:

In 1935, at Cambridge University, Turing conceived the principle of the modern computer. He described an abstract digital computing machine consisting of a limitless memory and a scanner that moves back and forth through the memory, symbol by symbol, reading what it finds and writing further symbols ('On Computable Numbers, with an Application to the Entscheidungsproblem' Proceedings of the London Mathematical Society, Series 2, 42 (1936-37): 230-265). The actions of the scanner are dictated by a program of instructions that is stored in the memory in the form of symbols. This is Turing's stored-program concept, and implicit in it is the possibility of the machine operating on and modifying its own program. (In London in 1947, in the course of what was, so far as is known, the earliest public lecture to mention computer intelligence, Turing said 'What we want is a machine that can learn from experience', adding that the 'possibility of letting the machine alter its own instructions provides the mechanism for this' ('Lecture to the London Mathematical Society on 20 February 1947', in Carpenter, B.E., Doran, R.W. (eds) A.M. Turing's ACE Report of 1946 and Other Papers Cambridge, Mass.: MIT Press (1986), p. 123).) Turing's computing machine of 1935 is now known simply as the universal Turing machine. Cambridge mathematician Max Newman has remarked that right from the start Turing was interested in the possibility of actually building a computing machine of the sort that he had described (Newman in interview with Christopher Evans ('The Pioneers of Computing: an Oral History of Computing, London Science Museum, 1976)).

Il y a d'une part un corps, désigné ici comme le scanneur, qui est un lecteur passif et supposé sans mémoire (soit le territoire); il y a d'autre part un corps de données, conçu indépendamment de ce dernier, de provenance abstraite, qui est la mémoire (figurée par un ruban infini dans l'esprit de Turing); dans le fonctionnement de cette machine, le corps sans mémoire, le corps passif et décrypteur (qui dans la métaphore que je vous ai proposée est la société ou le territoire qui accueille les populations, celles-là mêmes dont la mémoire est exaltée, à la différence des populations accueillantes dont la mémoire est volontairement inhibée), ce scanneur donc, est entièrement assujetti au ruban mémoriel qui s'y imprime (ce ruban figurant la ou les sociétés visiteuses du territoire passif). Si bien que seule aura une histoire mémorielle la déjà-mémoire visiteuse à qui ce dispositif offre la possibilité d'une surélaboration mémorielle (la machine est capable de produire une re/auto-programmation de la mémoire visiteuse). Cependant que le territoire qui permet ce foisonnement mémoriel, lui, est mémoriellement inerte, aussi dévitalisé que peut l'être sur ce plan l'historiographie moderne diffusée depuis 2011 dans les écoles de notre territoire assujetti. Voilà. C'est à peu près tout ce que je peux vous répondre, mais que je crois aussi être assez clair.

Lien webmatique de la citation: [www.alanturing.net]

La colonisation, ou la contre-colonisation n'est rien d'autre que cela: la continuation, et le foisonnement, d'une Histoire, d'une mémoire collective, sur un territoire qui l'accueille.
Utilisateur anonyme
17 janvier 2012, 14:35   Viridis Candela
« ...dans le fonctionnement de cette machine, le corps sans mémoire, le corps passif et décrypteur [...] ce scanneur donc, est entièrement assujetti au ruban mémoriel qui s'y imprime (ce ruban figurant la ou les sociétés visiteuses du territoire passif). Si bien que seule aura une histoire mémorielle la déjà-mémoire visiteuse à qui ce dispositif offre la possibilité d'une surélaboration mémorielle (la machine est capable de produire une re/auto-programmation de la mémoire visiteuse). »

Alfred Jarry Francis Marche, Commentaire pour servir à la construction pratique de la Machine à explorer le Temps in Cahiers du Collège de 'Pataphysique N° 2, 22 septembre 1950
17 janvier 2012, 16:19   Re : Viridis Candela
Bravo Isaac ! Voilà ce qui s'appelle savoir clore un débat.

Je vous cite Turing dans le texte, vous me traitez de clown. Si vous n'étiez pas si bien caché derrière cet écran et ce pseudo newtonien lui-même comme nez rouge sur la figure de la science à laquelle vous paraissez prétendre, je me déplacerais pour venir vous tirer les oreilles en vous sommant d'annoncer à l'assemblée ce qui vous amène ici.
Utilisateur anonyme
17 janvier 2012, 16:45   Re : Viridis Candela
Avouez que votre texte est assez drôle, M. Marche... Puisque vous m'y acculez, je vous précise que je ne me serais permis de nuancer votre comparaison si je n'avais donné quelques cours d'informatique théorique à l'université... J'ai un peu pratiqué Turing dans le texte. Cela dit, quoique vous fussiez drôle malgré vous, de si audacieuses comparaisons ne sont jamais tout à fait inintéressantes.
17 janvier 2012, 17:06   Re : Viridis Candela
Vous avez donné des cours d'informatique à l'université et vous n'en êtes pas qu'un peu suffisant M. Isaac, mais sinon, à part ça , que pensez-vous de cela ? En quoi selon vous la machine de Turing et toute l'informatique qui s'en réclament, informent les sociétés ? Hein quoi ? Elle ne les informent point ? Ah bon. Alors pardon. J'ai dû être drôle malgré moi. Je vous laisse à votre spectacle, à votre savoir et à votre satisfaction d'en avoir atteint les bornes.
Utilisateur anonyme
17 janvier 2012, 17:26   Re : Viridis Candela
Enfin, enfin, M. Marche, tout cela n'a pas beaucoup d'importance... Vous qui aimez les comparaisons, souffrez la mienne ; ce n'était qu'un trait d'humour, qui vous a amusé, j'en suis certain. Et puis, il n'est pas si aisé d'être Maître ès pataphysique... Allez, allez, oublions cela, cher Monsieur.
Utilisateur anonyme
17 janvier 2012, 19:24   Re : Viridis Candela
(Message supprimé à la demande de son auteur)
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