« aveugle, rigide, dur, obtus, ultra-quelquechose, néo-quelquechosed’autre. » J’applique à la première page du Petit Lavisse (Ernest Lavisse,
Nouvelle Première Année d’histoire de France pour les candidats au certificat d’études primaires, 1894, réédition Éditions des équateurs, 2010) : « Les Gaulois étaient païens, c’est-à-dire qu’ils adoraient
aveuglément plusieurs dieux. Leurs prêtres
obtus, qui s’appelaient druides, enseignaient que l’âme est immortelle. Mais,
durs et
rigides, ils croyaient être agréables à leurs dieux en faisant des sacrifices humains. »
Ça marche parfaitement. Essayons avec François premier (même source) : «
François 1er (1515-1547),
dur et obtus, commence son règne
rigide par la victoire de Marignan (1515) et la conquête
aveugle du Milanais. »
Ça marche tout aussi bien, c’est merveilleux, je sais écrire le Frédéric Martel, je vais gagner un maximum de blé en dénonçant tous ces gens qui ont peur
du nazisme, du fascisme, du stalinisme de l’islam, ces moins que rien. Et en plus, techniquement parlant, je n’aurai plus besoin de travailler, sauf si on appelle travailler le fait d’enfiler des noms d’oiseaux sur des phrases en mauvais français.