Modération

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Il faudrait tout même remercier les musulmans de nous fournir en de telles quantités d'excellents arguments contre leur religion. Les communistes, en leur temps, avaient tout de même "l'intelligence" de ne pas écrire de livres sur le goulag.

Mein Kampf était écrit.

Mein Kampf était écrit mais la traduction française était interdite.

Bonne initiative.

Comme ça beaucoup de gens ne savaient pas ce qui les attendait...

Si personne ne transmet juste parce qu'il n'y pas de traduction pour enfanter des best seller dans les librairies!

Je crois que Rauschning a fait traduire Mein Kempf pour avertir les Français de ce qui les attendait.
Par ailleurs le même Rauschning, en publiant ses entretiens avec Hitler juste avant-guerre, souhaitait tirer un signal d'alarme.

Alors à quoi bon le traduire pour tout le monde?!
Vous savez, la liberté d'expression est et restera la liberté du pouvoir. Le pouvoir en place n'a jamais eu et n'aura jamais l'intention de publier, traduire et diffuser ce qui nuit à son pouvoir, tout simplement parce que ce serait suicidaire. Les penseurs pertinents, audacieux dérangeront toujours, et ils auront raison de soulever avec d'autant plus de bruit le pourquoi qui fait qu'ils dérangent. Mais aller dire qu'il existe un pouvoir qui serait pour la liberté totale d'expression, je n'y crois pas du tout. Encore une fois ce serait suicidaire. Le pouvoir a toujours des contradicteurs, et pas toujours les bons arguments pour maintenir son pouvoir en place.

Les penseurs pertinents, audacieux
J'espère que tout le monde aura compris que je ne parlais pas de Hitler. Je note parfois sur ce forum des interprétations bien singulières.

Ce n'est pas le premier ouvrage du genre. Youssef Al-Qardawi, l'invité-vedette de l'UOIF dont on parle tant ces derniers jours, ne disait pas autre chose dans Le licite et l'illicite en Islam. Ce livre, en vente dans toutes les bonnes librairies, explique comment battre sa femme en évitant les parties qui laissent des séquelles visibles comme le visage.
Alexandre Del Valle avait magistralement interpellé à ce sujet Tariq Ramadan, qui après avoir tout fait pour ne pas répondre, avait fini par lâcher: "je pense que c'est à éviter".