Le site du parti de l'In-nocence

Hagiographie.

Envoyé par Julien Fleury 
04 avril 2012, 14:55   Hagiographie.
Je viens de subir par mégarde le 13h de France Inter et les grands titres de la presse sur internet. Je crois que la première panthéonisation du régime Hollande I ou Sarkozy II est toute trouvée, pour ce saint laïc de la déculturation et du grand remplacement. La parole la plus glaçante cependant pour l'opposition : "Richard Descoings avait encore tant à apporter au système éducatif." On sent confusément qu'il saura l'apporter à travers ses apôtres et son église universelle.

Citation
Le Parisien
La mort de Richard Descoings, directeur de Sciences-Po Paris, dans une chambre d'hôtel de Manhattan, à New-York, a profondément choqué et attristé de nombreuses personnalités françaises et internationales, mais aussi les élèves de l'institution qu'il dirigeait depuis près de 16 ans et dont il était particulièrement proche.

SUR LE MÊME SUJET

Directeur de Sciences-Po : son décès reste pour l'instant inexpliquéDirecteur de Sciences-Po : son décès reste pour l'instant inexpliqué



L'hommage de l'ambassadeur des Etats-Unis en France. Charles Rivkin a salué l'engagement de Richard Descoings en faveur de «l'excellence académique» et de «la promotion de l'égalité des chances». «Son action a été marquée par son engagement à toute épreuve en faveur de l'excellence académique et de la promotion de l'égalité des chances par l'éducation. Sa détermination à ouvrir Sciences Po aux étudiants étrangers, dont de nombreux Américains, était admirable», ajoute-t-il.

Valérie Pécresse (UMP) : «Un homme engagé et brillant». La porte-parole du gouvernement a souligné qu'il était un homme d'esprit et d'action : «Richard Descoings avait une vision pour l'Enseignement supérieur et la Recherche français. Fervent soutien de l'autonomie des universités, il avait fait de Sciences-Po le laboratoire de toutes les innovations: en liant étroitement formation d'excellence et recherche de niveau international, en ouvrant son établissement aux élèves les plus brillants des quartiers défavorisés, en bâtissant au coeur de Paris une initiative d'excellence qui rassemble les forces des meilleures universités de la capitale».

Un «grand serviteur de l'Etat», selon Nicolas Sarkozy. «Le président de la République tient à rendre hommage à la carrière exceptionnelle d'un grand serviteur de l'Etat, qui aura consacré toute sa vie à la cause qu'il s'était choisie et dont rien ne l'avait détourné : l'éducation», écrit l'Elysée dans un communiqué. «Pionnier de l'ouverture à l'international et de la recherche des nouveaux financements, travailleur infatigable et passionné, il n'a eu de cesse d'inventer en permanence, dans un monde plus volontiers soucieux de ne pas bousculer les habitudes», poursuit-il.

L'hommage de Ban Ki-moon. Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et le président de l'Université de Columbia Lee C. Bollinger se sont déclarés «profondément attristés» par le décès du directeur de Sciences Po Paris Richard Descoings. Dans un communiqué commun ils soulignent notamment que M. Descoings «avait consacré beaucoup d'énergie à élargir l'accès à l'université». Le directeur de Sciences Po avait participé lundi à un colloque à l'université de Columbia à New York réunissant une vingtaine de présidents de grandes universités américaines et internationales sous l'égide de l'ONU.

Copé (UMP) «bouleversé». Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé : «Je le connaissais très bien, je suis absolument bouleversé», a déclaré le député-maire de Meaux sur LCI. C'était «un grand Français qui a transformé, modernisé cette grande école pour en faire une école performante au niveau international», a ajouté l'ex-ministre UMP, ajoutant : «J'ai beaucoup de peine».

«La disparition d'un visionnaire» selon Chatel (UMP). La France perd «un esprit visionnaire» a estimé mercredi le ministre de l'Education nationale Luc Chatel dans un communiqué. «Avec cette disparition, la France perd un grand serviteur de l'Etat et un esprit visionnaire qui, par son audace, son énergie et sa capacité à briser les tabous, a révolutionné notre enseignement supérieur et notre conception de l'éducation», déclare Luc Chatel dans un communiqué.

Maurice Leroy (NC) salue le pionnier de l'ouverture sociale. Le ministre de la Ville, en charge du Grand Paris, Maurice Leroy : «Au-delà de la modernisation de Sciences Po qu'il a entreprise depuis son accession à la direction, il restera un pionnier dans l'ouverture sociale dans l'enseignement supérieur. Les conventions d'éducation prioritaire ont permis à des centaines de jeunes des quartiers de passer de leur quartier à la rue Saint-Guillaume, leur ouvrant ainsi les portes du monde. Sans jamais transiger sur l'excellence, il a su ouvrir le cercle des élites à la diversité intellectuelle».

Un «esprit original et entreprenant» pour Bayrou (MoDem). François Bayrou, candidat centriste à l'Elysée, a salué mercredi en Richard Descoings, directeur de Sciences Po mort à New York «un esprit original et entreprenant qui faisait bouger les choses». Sur i-TELE, le député et président du MoDem a aussi salué son «style particulier», sa «volonté de renouvellement, «sa grande énergie».

SOS Racisme salue son courage et sa ténacité: «En tant que directeur de Sciences Po Paris, Richard Descoings a profondément changé le visage de cette école. Il a eu le courage et la ténacité pour bousculer les habitudes de cette institution et contribuer à l'ouvrir à la diversité des publics accueillis et formés. Sa disparition est celle d'un esprit imaginatif, curieux et résolument tourné vers l'avenir. C'est une perte pour Sciences Po mais également pour le monde de l'enseignement supérieur de notre pays.»

Reconnu du monde éducatif selon François Hollande (PS). Le candidat PS à l'Elysée a salué en Richard Descoings : «C'est avec une grande tristesse et émotion que j'ai appris le décès de Richard Descoings à New York,» écrit françois Hollande dans un communiqué. «Encore dans la force de l'âge, Richard Descoings avait encore tant à apporter au système éducatif. Il était l'une des figures les plus importantes et les plus reconnues du monde éducatif et universitaire auquel il avait consacré tout son engagement et tout son talent», ajoute le député de Corrèze. Selon lui, «le travail accompli à Sciences Po était reconnu de tous et avait provoqué intérêt et admiration.»

Une grande perte selon Vincent Peillon (PS). Le responsable éducation de l'équipe de campagne de François Hollande, a estimé que «sa disparition constitue une grande perte pour la communauté éducative et tous ceux qui souhaitent faire évoluer l'éducation». Selon lui, «Richard Descoings a consacré l'essentiel de son activité professionnelle à l'éducation et à l'enseignement supérieur, déployant une liberté et une activité sans pareilles, s'attachant à faire bouger les lignes et à changer les mentalités».

«Il a mis en oeuvre la sélection multi-critères» selon Yazid Sabeg (PS). Haut commissaire à la Diversité, Yazid Sabeg qui a travaillé avec Richard Descoings dit de lui que «c'est le pionnier de l'ouverture sociale des filières prestigieuses. C'est le premier à avoir mis en oeuvre la sélection multi-critères (en dehors des critères) et il a été combattu pour ça. C'est un modèle dont devraient s'inspirer toutes les grandes écoles. Il marquera l'histoire de l'enseignement supérieur dans notre pays».

Le recteur Patrick Gérard souligne les valeurs d'ouverture. Patrick Gérard, chancelier des universités de Paris : «L'action de Richard Descoings à la direction de la prestigieuse école parisienne a été constamment animée par les valeurs d'ouverture : ouverture internationale, par la création d'une année à l'étranger dans le parcours des étudiants français et par l'accueil d'un grand nombre d'étudiants venus de tous les continents ; ouverture sociale, avec les conventions éducation prioritaire passées avec les lycées pour offrir une voie novatrice d'intégration aux élèves issus de milieux défavorisés et avec une réforme des droits d'inscription ; ouverture territoriale par la création de six campus en province».

VIDEO. Les étudiants rendent hommage à leur directeur
04 avril 2012, 15:27   Re : Hagiographie.
Sont-ce les mêmes étudiants qui l'interrogeaient dans une tribune publiée dans Libération sur le montant de ses rémunérations et ses réponses évasives sur le sujet ?
Plutôt qu'un visionnaire, je dirais que c'était une Cassandre : il annonçait des changements catastrophiques et ils finissaient toujours par arriver. Je suis peiné d'apprendre la mort de l'homme, mais je considère que ce qu'il a fait pour le lycée et l'enseignement supérieur est tout simplement criminel.
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 15:29   Re : Hagiographie.
Cher Fleury, quoi qu'on ait pu penser des politiques menées par Richard Descoings, il était très difficile de le détester lui : il était gentil, ouvert et, somme toute, Richie, à SciencesPo, on l'aimait bien.
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 15:30   Re : Hagiographie.
Par contre, le rapport à sa mort, au 27, rue Saint-Guillaume comme dans les médias, fait très société du spectacle.
04 avril 2012, 15:35   Re : Hagiographie.
Je ne me rappelle que d'une chose.

Alain Finkielkraut avait été invité à Sciences-po pour donner une conférence et celle-ci n'avait pas pu avoir lieu car les soi-disants étudiants acceuillirent A.F. le poing droit levé en chantant l'internationale et l'empêchèrent de parler. Pauvres andouilles. Pendant ce temps Descoings se croulait de rire dans son coin.
04 avril 2012, 15:36   Re : Hagiographie.
Après les suites, les chambres...
04 avril 2012, 15:39   Re : Hagiographie.
Eh bien moi je ne l'aimais pas bien du tout. Il fut l'un des plus actifs, emblématiques et malfaisants Amis du désastre. Vous dites qu'il était gentil ? Sympathique en somme ? Et alors, qu'est-ce que ça change ?
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 15:42   Re : Hagiographie.
Oui, Rogemi : ni Finkielkraut, ni Soral (ce qui n'est pas vraiment la même chose) n'avaient le droit de venir parler, exposer leurs idées et leurs ouvrages à SciencesPo sous Descoings Ier.
Et je confirme ce qu'on dit à S.O.S. Racisme : Le visage de SciencesPo a changé...
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 15:43   Re : Hagiographie.
Comme me le dit à l'instant un camarade, voisin d'amphi dans ledit Institut : Il a sacrifié la diversité sociale à la diversité ethnique.
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 15:45   Re : Hagiographie.
Cher Marcel, ça ne change rien, évidemment ; mais je vous assure que, si on le fréquentait un peu, il était impossible de le détester. C'est plus facile de combattre un adversaire haïssable.
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 15:47   Re : Hagiographie.
Et, cher Rogemi, je crois que l'on se souvient d'une chose et que l'on s'en rappelle une autre...
04 avril 2012, 15:53   Re : Hagiographie.
Non, ils ne chantèrent pas l'Internationale mais Les Nouveaux partisans. Vous sous-estimez, ou surestimez, je ne sais plus trop, les étudiants de Sciences-Po, Rogemi. Il fallait y voir une sorte de clin-d'oeil potache à AF, qui, tout de même, "fit" mai 68, de son propre aveu.
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 16:07   Re : Hagiographie.
Oui, et dans les années 80, il parrainait S.O.S. Racisme...
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 16:07   Re : Hagiographie.
04 avril 2012, 16:09   Re : Hagiographie.
Comme Marcel Meyer, je ne l'aimais "pas bien du tout" non plus. La première chose qui me revienne en mémoire à l'annonce de sa mort, c'est la disparition de l'épreuve de culture générale au concours d'entrée : on ne saurait mieux résumer son action, ma foi.
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 16:11   Re : Hagiographie.
Citation
Francis Marche
Non, ils ne chantèrent pas l'Internationale mais Les Nouveaux partisans. Vous sous-estimez, ou surestimez, je ne sais plus trop, les étudiants de Sciences-Po, Rogemi. Il fallait y voir une sorte de clin-d'oeil potache à AF, qui, tout de même, "fit" mai 68, de son propre aveu.

«Mai 68, c'est aussi le printemps de Prague», nous parlons bien de ceci?





Pour le chahut qui précède, il reste une vidéo ici.
04 avril 2012, 16:12   Re : Hagiographie.
"Tu étais notre Dumbledore", du nom du directeur de l'école de magie fréquentée par Harry Potter, précise un autre mot. "Un Marsupilami ne meurt jamais : il dort", a même écrit Pierre, en référence à la photo de M. Descoings sur son profil Facebook.

Merci Monsieur Leroy, vous me permettez d'apporter une jolie vignette à mon propos précedent !
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 16:20   Re : Hagiographie.
Je vous en prie, Francmoineau. Mais la comparaison avec Harry Potter me semble assez juste ; la question reste cependant de savoir si SciencesPo fabrique, comme Poudlard, plutôt des magiciens ou plutôt des sorciers...
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 16:24   Re : Hagiographie.
Le traitement des hommages rendus à Richard Descoings par les journalistes du Monde, dans le paragraphe que vous citez, montre d'ailleurs autant leur déculturation à eux que celle des étudiants de l'Institut et l'intégration à la culture d'œuvres, de références qui n'ont pas grand chose à y faire.
04 avril 2012, 16:31   Re : Hagiographie.
Marsupilami, Harry Potter : qui a dit qu'il n'y avait plus de culture générale à Sciences Po ?
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 16:35   Re : Hagiographie.
Soyons honnêtes : le Marsupilami, c'était un avatar sur le Carnet de visages et la comparaison avec Harry Potter n'est due qu'au fait que les conditions et les conséquences de la mort du directeur de SciencesPo font penser à celles d'Albus Dumbledore dans Le Prince de sang-mêlé.
04 avril 2012, 16:49   Re : Hagiographie.
Citation
Eh bien moi je ne l'aimais pas bien du tout. Il fut l'un des plus actifs, emblématiques et malfaisants Amis du désastre. Vous dites qu'il était gentil ? Sympathique en somme ? Et alors, qu'est-ce que ça change ?

Wir sind uns einig.

Attention le clip mis en ligne plus haut n'a rien à voir avec la conférence dont je parle.

Citation
Et, cher Rogemi, je crois que l'on se souvient d'une chose et que l'on s'en rappelle une autre...
Cher Monsieur Leroy je vais vérifier mais à première vue il me semble que vous pinaillez ...
04 avril 2012, 17:18   Re : Hagiographie.
AF parlant d'un anti-totalitarisme, oui ce serait plus constructif, si toutefois il ne donne pas lieu à une nouvelle chasse aux sorcières dénichant des coupables où ils ne sont pas.
04 avril 2012, 17:36   Re : Hagiographie.
Citation
Francmoineau
La première chose qui me revienne en mémoire à l'annonce de sa mort, c'est la disparition de l'épreuve de culture générale au concours d'entrée : on ne saurait mieux résumer son action, ma foi.
04 avril 2012, 17:40   Re : Hagiographie.
C'était plutôt ceci (Science Po a une chorale, semble-t-il où l'on s'entraîne à chanter ce chant signé de Dominique Grange, qui fut l'hymne de la Gauche Prolétarienne de Benny Lévy, on peut tout de même le mentionner). Enfin, une chanson française plutôt réussie. La dernière chanson française du 19ème siècle égarée en fin du 20eme.





[ce chant fut composé par Dominique quand elle était "établie", en usine, dans la région de Nice, alors qu'elle était militante de la GP, fin 1969]

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_Grange
04 avril 2012, 18:05   Re : Hagiographie.
Citation
Jean-Michel Leroy
Soyons honnêtes : le Marsupilami, c'était un avatar sur le Carnet de visages et la comparaison avec Harry Potter n'est due qu'au fait que les conditions et les conséquences de la mort du directeur de SciencesPo font penser à celles d'Albus Dumbledore dans Le Prince de sang-mêlé.

(Vous ne devriez pas vous obstiner ainsi, cher Jean-Michel Leroy...)
04 avril 2012, 18:06   Re : Hagiographie.
Ah, oui, excellent, Monsieur Werner !
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 18:16   Re : Hagiographie.
Avec le défunt, l’épreuve de culture « générale » a été passée de la phase soins palliatifs à l’euthanasie passive, puis active La catastrophe réside ailleurs.
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 18:20   Re : Hagiographie.
Citation
Rogemi

Citation
Et, cher Rogemi, je crois que l'on se souvient d'une chose et que l'on s'en rappelle une autre...

Cher Monsieur Leroy je vais vérifier mais à première vue il me semble que vous pinaillez ...

Je ne fais qu'appliquer et rappeler les préceptes que mes professeurs, dans un élan d'acharnement pédagogique, m'ont inculqué. Et si on commence à instruire des procès en pinaillage au parti de l'In-nocence, c'est vraiment la fin de tout. (Dites-donc, Renaud Camus, en parlant de Grand remplacement, est-ce que vous ne pinaillez pas un peu ?)

Pour ce qui est du procès en obstination de Francmoineau, j'y souscris. Richard Descoings était mon gourou et sa mort me choque.
04 avril 2012, 18:36   Re : Hagiographie.
[url=
]G.B.[/url]
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 18:55   Re : Hagiographie.
Je plaisantais, n'est-ce pas ?
On a l'impression que la population sciencespiste se comporte comme une secte, en ce moment douloureux.
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 21:25   Re : Hagiographie.
Citation
Rogemi
Attention le clip mis en ligne plus haut n'a rien à voir avec la conférence dont je parle.

Il semblerait qu'il y ait eu plusieurs fois des incidents avec AF...
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 21:41   Re : Hagiographie.
Les hurlements simiesques et les propos brillants de Finkielkraut datent du même jour de 2007 :



Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 21:48   Re : Hagiographie.
Pendant ce temps Descoings se croulait de rire dans son coin. (Rogemi.)

Heu...bitch please !

Il se faisait du souci pour son invité. (Arthur Bouet.)
Utilisateur anonyme
04 avril 2012, 22:00   Re : Hagiographie.
Contrairement à ce qu'indique le titre du vidéogramme, ce sont les singes hurleurs qui sont hués par le sage public outré, par Finky.
Utilisateur anonyme
05 avril 2012, 01:17   Re : Hagiographie.
06 avril 2012, 11:32   Re : Hagiographie.
On dit : je me le rappelle et je m'en souviens.
06 avril 2012, 11:42   Re : Hagiographie.
Avec l'oubli, c'est plus simple.
06 avril 2012, 23:40   Re : Hagiographie.
Oui je crois que l'oubli s'impose !
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter