La curée

Et maintenant, M. Poutou :



"Le bulletin de vote Hollande, c'est un outil pour dégager Sarkozy même si après, on n'a aucune confiance politique dans (François) Hollande". "Le mot d'ordre, c'est de dégager Sarkozy", a insisté Philippe Poutou, qui avait déjà lancé un appel similaire le soir du 1er tour. "L'outil, c'est Hollande", a-t-il ajouté.

L'arrogance des toutous.

M. Poutou, c’est bien celui qui disait : si on pouvait ne pas travailler du tout, ce serait encore mieux. Et on a osé dire que le candidat loufoque était M. Cheminade !

Enfin, cher Chatterton, il n'a pas tout à fait tort, Poutou ; parole d'ouvrier, ça, de quelqu'un qui en a eu son compte, des machines-outils. En voilà un vrai travailleur, qui en a par-dessus la tête, du taf...

Poutou, l'homme qui vous fera regretter la bonne vieille dialectique trotskiste.

Enfin, cher Chatterton, il n'a pas tout à fait tort, Poutou ; parole d'ouvrier, ça, de quelqu'un qui en a eu son compte, des machines-outils. En voilà un vrai travailleur, qui en a par-dessus la tête, du taf...

Oui, cher Alain, je sais bien, mais il postulait à la magistrature suprême, pas à un poste en usine !

"Et on a osé dire que le candidat loufoque était M. Cheminade !"

En effet. Dans ce brame pathétique en faveur de l'empoi, unanimement poussé par tous les candidats, on a daubé sur M. Cheminade et sa conquête de la planète Mars. Ah ! Ah ! Ah ! le professeur Nimbus ! Le professeur Tournesol ! Alors qu'en bonne logique, il était en définitive le seul candidat à donner un sens à un développement technique qui ne nuise pas au travail.