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Lancement de la nouvelle formule des « Vaisseaux brûlés »

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
12 mai 2012, 13:17   Lancement de la nouvelle formule des « Vaisseaux brûlés »
Chers lecteurs de Renaud Camus,

Une période de beta-test ayant paru concluante, la nouvelle formule de la grande œuvre hypertextuelle de R.C., Vaisseaux brûlés, est officiellement lancée.

Il est donc possible, désormais, de soutenir l'écrivain directement, simplement et immédiatement, en ces temps éditoriaux troublés. Pour cela, veuillez vous rendre sur sa nouvelle librairie en ligne. L'intégralité des sommes recueillies revient à Renaud Camus (moins la minime commission de l'intermédiaire PayPal).

Il est prévu que d'autres textes, inédits, et certains attendus depuis longtemps, soient proposés sur le site selon le même mode d'accès (*), probablement d'ici l'été. Stay tuned!

(*) « Le livre est un intermédiaire vieilli entre deux systèmes différents de fichiers. » (W.B., 1927 — not William Burke)
Voici une excellente chose.

Je saisis l'occasion pour signaler aux in-nocents dont la geekiness serait imparfaite que le "beta-test" est une procédure normale et non un envoi à l'équipe des Inrocks.
Je dois tout de même, après avoir remercié David Farreny pour son énorme et magnifique travail à mon profit, préciser, à l’intention surtout des visiteurs politiques de ce forum, que Vaisseaux brûlés est un hypertexte très peu politique, au moins directement et explicitement (pour le reste, qu’est-ce qui ne l‘est pas...) — son rapport avec l’In-nocence et ses principaux thèmes est tout à fait ténu.
Septembre absolu, le Journal 2011, vient de paraître. La couverture est superbe.


« L’homme de l’antiracisme est éternellement remplaçable. Et c’est en cela que l’antiracisme n’est compatible ni avec la morale, ni avec la culture. Juger l’homme remplaçable, faire en sorte qu’il le soit, c’est le dépouiller de son humanité la plus essentielle (…). Et pour s’assurer que l’origine, la civilisation, la race, l’appartenance native, ne viennent pas faire ob- stacle à cette substitution, à cette interchangeabilité des individus, à ce Grand Remplacement, il n’y a d’autre moyen que la déculturation. Pour rendre l’homme substituable, échangeable, remplaçable à merci, la première exigence est de le dé- culturer, de faire en sorte que rien ne le distingue de ses compagnons d’espèce et de planète, de le dédiscriminer (…). »

(A lire : le "coup de cœur" d'Hubert de Champris sur [www.libertepolitique.com])
(Message supprimé à la demande de son auteur)
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