"...former des élèves journalistes à la lutte contre les discriminations et les préjugés"

Comment l'on finance la formation des fantassins idéologiques du Grand Remplacement et comment, en France, l'argent du contribuable part en pelletées de millions dans les caisses noires d'"assoces" aux objets sociaux et modes de fonctionnement plus opaques les uns que les autres, et en dehors de toute obligation de résultat, et comment la fonction publique, par le truchement associatif, prend soin de la Nomenklatura de l'Etat et de ses collectivités territoriales. A lire, à méditer, plus particulièrement lorsqu'il est question de "crise économique", de "nouveaux pauvres", de "dictature des marchés", etc...


[www.lefigaro.fr]

Enfin une formation efficace. Nous en avons pour nos 110.000 euros.

A écouter:
[dai.ly]

Le directeur de l'AFIC ("Accueil et formation pour l'intégration et la citoyenneté", à en croire le document de présentation de cette sympathique association, spécialisée dans la formation professionnelle, est "discriminologue" (ça ne s'invente pas).

Les Français financent déjà un Comité permanent de lutte contre les discriminations, un Observatoire des discriminations, un Observatoire des inégalités (feu la Halde), un Haut Conseil à l'intégration, une Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances. Savent-ils que les associations de défense de droits sont en grande partie financées par le contribuable ? L'état a aussi donné, par exemple, en 2010, 110.000 euros à l'Afic (Accueil et formation pour l'intégration et la citoyenneté) pour former des élèves journalistes à la lutte contre les discriminations et les préjugés, 125.000 euros à Act Up Paris, 20.000 euros à Ni putes ni soumises, ou qu'il finance encore largement SOS Racisme malgré les déboires de ses dirigeants?

Savent-ils que...

Oui, les Français le savent, enfin les plus informés, mais dans leur grande majorité ils s'en foutent, idem pour le Grand Remplacement (c'est d'ailleurs étroitement lié). Sinon, comment expliquer une pareille indifférence ? Un tel vote aux dernières élections ? Si le population française était davantage mature, moins abêti par la doxa immigrationniste, l'UMP et le PS seraient tenus de rendre des comptes.

Lors d'une conférence de presse Marine Le Pen - seule contre tous - avait osé dénoncer ces pratiques scandaleuses. Sans résultat.

Où déboires est mis pour turpitudes. L'auteur de l'article marche sur des oeufs. Trente-quatre milliards d'euros (soit trente-quatre mille millions d'euros ! ) pour assurer l'entretien d'une clientèle électorale. Quand on aime on ne compte pas.

Ne savent pas ou ne souffrent pas, au fond, de cette situation ? Ou plutôt en souffrent sans le savoir, comme le montre la consommation des neuroleptiques ?
De toutes façons, l'idéologie est plus forte que le réel. Il faut des doses de réel vraiment très fortes pour ébranler un tant soit peu une idéologie (cf le communisme, même pas mort...).