Les récents évènements d'Amiens - une école et une salle communale incendiées, un commissariat vandalisé, plusieurs voitures brûlés, un agriculteur agressé, plusieurs policiers blessés - ressemblent assez aux pratiques de la razzia. Je suppose que c'est l'expression d'une joie ramadanesque, d'une confirmation que les musulmans ont bel et bien gagné les élections - comme ils le criaient.
Valls s'est fait siffler. Guigou accuse Sarkozy (dommage qu'il commence à se faire lointain dans le temps : une excuse qui s'étiole). Hollande ne dit rien et continue de bronzer. Triste pays.
Ces évènements font suite au meurtre de deux gendarmes, à de nombreux débordements de tous ordres, presque tous l'oeuvre de deux communautés bien identifiées : les arabo-musulmans et les gens-du-voyage (en particulier la partie rom). Si on ôte les gens de ces communautés de la société, le nombre de faits divers sordides et violents fond comme neige au soleil. Si on enlève en plus les Africains de l'Afrique sub-saharienne, spécialistes des fraudes à la Sécurité sociale et autres caisses sociales, la France redevient un pays assez pacifique et assez policé.
Les médias ont installé les nouveaux Déat au pouvoir : notre nation et notre pays littéralement vendus au marché et à leurs fantasmes. Le grand prolétariat du monde entier vient remplir les comptes de quelques profiteurs, aux dépends des gens qui travaillent et de ceux qui ont investi... Le capital moyen et le travail des Français (et étrangers réguliers) sert à engraisser le sommet de l'Etat (grands commis, politiques et journalistes, via de nombreuses aides) et quelques malins d'une part, et tout un peuple de substitution venu nous remplacer.
Le pire dans cette histoire est que nous finançons sans pouvoir protester notre propre remplacement qui se fait dans la haine et l'ingratitude, quand ce n'est pas le mépris le plus violemment agressif.
Notre justice de gauche trouve des excuses aux CPF, évidemment.
Il se dit que les para et la police commenceraient à se radicaliser... J'imagine que les gendarmes ne doivent pas être très heureux de l'époque. A quand un nouvel "honneur de la police" ? Je crains que ça ne vienne un de ces prochains jours, avec la difficulté majeure qu'on ne contrôle jamais ces éléments vengeurs ! Le remède est alors souvent pire que le mal.
Comme dirait Lénine : que faire ?