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Communiqué n° 1448 : Sur une déclaration de M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur & des Cultes

Communiqué n° 1448, mardi 2 octobre 2012
Sur une déclaration de M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur & des Cultes

Le parti de l’In-nocence regrette que M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur & des Cultes, interrogé sur l’effroyable massacre à coups de manches de pioche, de marteaux et de couteaux de deux jeunes gens par une quinzaine d’autres à Échirolles, dans l'Isère, ait cru devoir évoquer une fois de plus, comme tant de ses prédécesseurs, en guise d’explication au drame, le prétendu état d’“abandon” dans lequel auraient été laissés, justement par ses prédécesseurs, cette banlieue grenobloise et tant d’autres quartiers si ridiculement appelés “populaires”, sans doute pour signifier que le changement de peuple y est déjà consommé.

Le parti de l’In-nocence voit dans pareille déclaration une preuve de plus de la radicale incapacité de l’antiracisme dogmatique, même dans ses versions travaillées par le doute, à rendre compte de ce qui survient. Les “quartiers populaires” n'ont nullement été laissés à l’abandon : la République y a au contraire englouti tant d’argent qu’une très large part du désastreux état des finances publiques a là son origine. C’est se flatter inconsidérément d’appeler “abandonnés” ces territoires perdus, évacués, qu’on s’est vainement efforcé de maintenir dans la communauté nationale et sous l’autorité de l’État à coups de concessions, de complaisance et de milliards. C’est aussi et surtout perpétuer le mythe éternel de la culpabilité de la France, des Français et de leurs gouvernements, face à une barbarie stupéfiante qui n'est que l’expression en acte du réensauvagement de la nation, sous l’effet du multiculturalisme déculturant, du changement de peuple, de la cohabitation forcée de communautés aux états de civilisation sans rapport les uns avec les autres, et d’abord sans rapport avec la civilisation française.
Citation
Secrétariat général
Les “quartiers populaires” n'ont nullement été laissés à l’abandon : la République y a au contraire englouti tant d’argent qu’une très large part du désastreux état des finances publiques a là son origine.

Hier matin, dans sa chronique de l'actualité économique, l'assez percutant journaliste Nicolas Doze, qui intervient sur BFM TV, a reconnu par la bande ce fait en usant d'autres termes. Il a évoqué une "aberrante facture sociale de l'état-providence", que le régime en place veut régler en allant maintenant jusqu'à tenter de taxer, dans des proportions insensées, les plus-values de cessions d'entreprises.
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