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Communiqué n° 1523 : Sur le dit “logement social”

Communiqué n° 1523, vendredi 1er février 2013
Sur le dit “logement social”

Le parti de l’In-nocence remarque que la ronde infernale de l’aveuglement volontaire, après une station récente du côté des prisons, de leur état d’entretien et de la surpopulation carcérale, s’est déplacée à présent, selon un mouvement familier, du côté de la crise du logement et particulièrement du dit “logement social”, qui mériterait mieux l’appellation de “logement ethnique” tant il semble largement dévolu par le pouvoir remplaciste aux remplaçants, dans le processus en cours de changement de peuple.

Le parti de l’In-nocence relève qu’on assiste actuellement, comme à propos des prisons il y a quelques semaines, à l’habituel ballet médiatique de spécialistes, de présidents et porte-parole d’associations subventionnées, de sociologues organiques et de politiciens, qui tous se penchent sur ce grave problème sans évoquer un seul instant sa donnée centrale, à savoir ses relations étroites, directes, fondamentales, avec le Grand Remplacement et avec l’afflux continuels de nouvelles vagues d’immigrés, auxquels il faut à tout prix offrir un toit. Construire toujours davantage, c’est-à-dire accélérer encore l’artificialisation des sols, la banlocalisation générale et la disparition de la campagne, voilà la seule exigence évoquée de toute part. Tout juste un ancien ministre du logement, M. Benoist Apparu, dans un sabir qui est une des composantes majeures de l’offuscation de tous les sujets (« On va planter les dossiers », pour dire que les “dossiers” risquent de ne pas aboutir...), évoque-t-il en passant l’Allemagne, seul pays d’Europe à échapper à la crise du logement, « mais c’est pour des raisons démographiques, parce que sa population diminue » : c’est nommer sans s’en rendre compte la seule solution véritable.

Le parti de l’In-nocence rappelle à cette occasion qu’il est aussi hostile au développement démographique et aux politiques natalistes qu’à l’immigration ; et qu'il voit l’inversion des flux migratoires et le renversement de la croissance démographique comme les seules issues raisonnables, non seulement à la crise du logement ou à la surpopulation carcérale mais à l’aggravation continuelle de la nocence, au désastre écologique, à la perte d’identité et à la Grande Déculturation.
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