Communiqué n° 1532, mardi 19 février 2013
Sur les économies budgétaires et la politique familiale
Le parti de l’In-nocence est d’accord avec le gouvernement : la politique familiale est l’un des domaines — avec les subventions aux associations de promotion de la “diversité” — où d’importantes économies peuvent être réalisées, ainsi qu’il est impérieux de le faire. Il est en revanche en désaccord complet sur la façon de procéder et sur la répartition des restrictions budgétaires. Le gouvernement entend réduire ou supprimer les allocations familiales accordées aux classes moyennes et supérieures et concentrer les subsides de l’État sur les couches prétendument les plus défavorisées, c’est-à-dire, ainsi qu’il est notoire mais qu’il n’est jamais dit, sur les immigrés et descendants d’immigrés. Il s’agit en somme d’accélérer encore le changement de peuple et le Grand Remplacement, en payant pour l’encourager et en incitant financièrement les conquérants à faire encore plus d'enfants, alors que c’est déjà leur principal instrument de conquête et qu’ils en produisent déjà beaucoup plus que les indigènes colonisés.
Le parti de l’In-nocence estime qu’il convient au contraire, face à la situation écologique désastreuse de la planète et de notre pays, soumis à la banlocalisation intensive, de réduire et de supprimer progressivement toutes les politiques d’incitation à la natalité, qui sont accessoirement l’une des plus puissantes incitations existant à l’immigration. Hautement inopportunes de toute façon, ces politiques seraient bien sûr d’autant plus nocentes qu’elles seraient plus précisément calculées, comme dans l’actuel projet gouvernemental, pour profiter essentiellement aux forces démographiques néo-coloniales.