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Communiqué n° 1550 : Sur un nouveau progrès du changement de civilisation

Communiqué n° 1550, mercredi 20 mars 2013
Sur un nouveau progrès du changement de civilisation

Le parti de l’In-nocence voit dans l’arrêt de la Cour de cassation jugeant discriminatoire le licenciement d’une salariée voilée par une crèche privée une date importante dans le processus de changement de civilisation en cours, tel qu’il est inévitablement entraîné par le changement de peuple et par la conquête musulmane dont fait l’objet notre pays.

Le parti de l’In-nocence estime à ce propos que dans l’état actuel de la législation il n‘est possible de faire confiance, pour la défense de l’indépendance et de l’identité de la patrie, ni à la loi ni à la justice, engluées qu’elles sont dans un esprit de renonciation, de collaboration au désastre, de soumission à l’inéluctable prétendu, c’est-à-dire au Grand Remplacement. La seule issue selon lui est une massive réforme juridique, par laquelle le pouvoir politique dénoncerait les traités et changerait les lois, pour mettre fin à cet état de sidération affectant un pays qu’on voit tous les jours un peu plus avalé par ses conquérants, sans faire montre de la moindre résistance. Il faut que des lois posent nettement ce qui est français et ce qui ne l’est pas, ce qui appartient à la culture et à la civilisation de la nation et ce qui n’y appartient pas, ce qui procède de son génie propre et de ses traditions et ce qui leur est étranger. Et tout ce qui porte atteinte à cette essence délimitée, qu’il s’agisse de mœurs ou de paysage, de langue ou de modes de la présence, il faut qu'elles s'y opposent de la façon la plus rigoureuse, expulsion et déchéance de nationalité comprises.
C'est un peu, me semble-t-il, une resucée de la fameuse proposition 51 (c'était bien la 51, celle qui voulait interdire les langues étrangères dans l'espace public ?), en plus vague et général, visant en fin de compte à rien moins qu'à déclarer hors la loi sur le territoire national tout ce qui ne sera pas spécifiquement homologué comme français ?...

(L'on souhaite en tout cas bien du plaisir à ceux qui auront pour charge d'établir les correspondances entre toutes les palettes possibles de modes d'être, de façons d'occuper l'espace etc., et le génie français authentifiant d'un inimitable chiffre ce qui lui appartient en propre, puis d'empaqueter le tout dans une législation praticable, et encore viable...)
"il n‘est possible de faire confiance, pour la défense de l’indépendance et de l’identité de la patrie, ni à la loi ni à la justice, engluées qu’elles sont dans un esprit de renonciation, de collaboration au désastre, de soumission à l’inéluctable prétendu, c’est-à-dire au Grand Remplacement".

Il ne faut pas mettre en cause et la loi (censée être l'expression de la volonté générale mais qui devient de plus en plus l'expression d'intérêts particuliers satisfaits les uns après les autres) et la justice, la seconde (et son armée de juges) ne faisant qu'appliquer ce que décide la première (et son armée de législateurs).
Si l'on part de zéro, la tâche peut sembler immense, voire impossible. Mais la page n'est pas blanche, loin de là, et il suffit de la compléter et surtout de l'assumer en tant que telle, de l'afficher, de la revendiquer... et d'en faire appliquer les articles.

Le voile intégral : déjà proscrit de l'espace public.
Le voile : il est aujourd'hui proscrit dans les administrations et dans les établissements scolaires. On pourrait étendre l'interdiction à tous les lieux publics au motif qu'il rentre en conflit avec la conception française (occidentale) des rapports entre les hommes et les femmes.
L'abattage rituel : contraire à notre tentative de réduire la souffrance animale.
Les menus sans porc dans les cantines : contraire à nos traditions culinaires.
La séparation des hommes et des femmes (dans les piscines, les foires etc.) : contraire à la conception française (occidentale) des rapports entre les hommes et les femmes.
La polygamie : déjà interdite (mais l'application de la loi laisse à désirer).
Les enseignes en arabe (ou en chinois...) : je ne sais pas ce que dit la loi, mais j'en ai vu à Marseille, et elles devraient être proscrites.
Les mosquėes : interdiction des signes architecturaux distinctifs (minarets, quelle que soit la hauteur...) qui n'appartiennent pas à notre architecture.
Fêtes et jours fériés : "sanctuariser" le calendrier actuel.
Etc.
Exemple d'une bonne justice :

La Cour de cassation rappelle qu’est répréhensible le port, sur la voie publique, d’un voile couvrant intégralement le visage et que la loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 ayant interdit la dissimulation du visage dans l’espace public est compatible avec l’article 9 de la Convention européenne.
Certains s'y risquent, non sans bonheur. Ici en Inde, lors d'une manifestation contre l'existence d'un film documentaire américain, film d'amateur, à diffusion plus que confidentielle, intitulé Innocence of Muslims. Photo prise à Kolkata le 5 octobre 2012. Tout y est. Cette image est parfaite. Il y a dans le texte du slogan le mot "massacre", qui n'est pas "kill", qui est d'essence religieuse, sectaire au sens plein du terme. [MASSACREZ CEUX QUI INSULTENT L'ISLAM]. Et bien entendu, comme il est de rigueur, en poussant les enfants en tête, de manière à pouvoir exposer leur corps ensanglanté aux caméras de la presse internationale en cas de violence. Tout un système, que rien n'arrête.

Utilisateur anonyme
21 mars 2013, 12:03   Re : Résumer le Coran en cinq mots
Moi qui envisageais un trek de Calcutta à Bénarès au printemps dans un esprit d'ouverture à l'autre.
On ira plutôt à Aurillac.
Vous aurez largement de quoi vous ouvrir à l'autre, j'entends à cet autre-là, même à Aurillac !
Je reviens sur ce sujet qui me tient à cœur en évoquant un cas qui, bizarrement, n'a pas eu les mêmes résonances que ceux évoqués dans le communiqué ; la date de la décision (du Conseil d’État cette fois) est la même (19 mars), ceci explique peut-être cela.

Le cas était celui-ci : un bandeau de collégienne :signe religieux ? exclusion, réintégration ?

Le Conseil d’État a tranché

La volonté de dialogue est relevé par la juridiction, mais jusqu'à quand le dialogue, jusqu'où ? Dialogue ou négociation ?
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