Texte remarquable. Il me rappelle un peu aussi l'Algérie du temps de la guerre. La plupart des Français "libéraux", comme on disait, c'est-à-dire favorables à l'indépendance, ne cessaient en privé de fustiger l'armée et les "paras", mais il fallait voir leur soulagement, quand il leur arrivait d'être obligé de se déplacer le soir ou même dans la journée dans certains lieux réputés peu sûrs à cause de la présence de "fellaghas", de savoir que les paras, si haïssables, patrouillaient dans la région !