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Chronique de la sauvagerie ordinaire dans le "93"

Envoyé par Pierre Jean Comolli 
93: violente agression à Saint-Denis

Cette fois, c'est un crâne qu'on enfonce à coups de pavé.
Il s'agit de la seconde agression relevée en 24h à Saint-Denis. Hier samedi, Le Parisien mentionnait qu'une équipe de journalistes avait été molestée dans les rues de la ville avant de se faire voler une caméra.

Ça, je dois dire que ça fait partie de ces petits faits divers qui arrachent un sourire narquois à la France entière.
Sinon, on ordinarise correctement, à Marseille, aussi :
[provence-alpes.france3.fr]
La réaction indignée des vacanciers n'est pas mal non plus :
[www.lefigaro.fr]
Utilisateur anonyme
09 juillet 2013, 12:08   Re : Chronique de la sauvagerie ordinaire dans le "93"
Citation
Michel Le Floch
La réaction indignée des vacanciers n'est pas mal non plus :
[www.lefigaro.fr]

Nicolas Bernard-Buss ayant pris deux mois ferme, combien vont prendre ces jeunes qui ont tenté de tuer un officier de police ? Vingt ans ?
Non car le soleil tapait très fort ce jour-là et que le flic provoquait probablement ces pauvres "jeunes".
Et puis la pratique de la noyade est une vieille tradition populaire mentionnée par Pagnol et Giono.
Un acquittement avec félicitations du jury me semblerait une peine équitable.
Citation
Pierre-Marie Dangle
Sinon, on ordinarise correctement, à Marseille, aussi :
[provence-alpes.france3.fr]

J'allais poster cela, en "titrant" : "Avoir 16 ans à Marseille".

M. Mucchielli, moi, à 16 ans, je réalisais mes premiers jobs d'été (ramassage des patates, des melons et celui, moins pénible, des pêches): je ne harcelais pas des familles prenant le soleil avec leurs bébés et je ne tentais pas, drogué à la marijuana, de noyer (noyer!) une personne dépositaire de l'autorité publique. Et il va sans dire que je ne connaissais personne de cet âge, de près ou de loin, qui auraient pu commettre de tels actes. D'ailleurs, jamais au cours de mon adolescence je n'entendis parler, dans les journaux ou au café, de la perpétration d'actes délictueux équivalents.
Oui mais faire le guet ou "chouffer" toute la journée, traqué par la police, dans une cage d'escalier, c'est pas marrant non plus. Ces jeunes ont le droit de se détendre aussi de temps en temps !!
Citation
Michel Le Floch
Oui mais faire le guet ou "chouffer" toute la journée, traqué par la police, dans une cage d'escalier, c'est pas marrant non plus. Ces jeunes ont le droit de se détendre aussi de temps en temps !!

Vue sous l'angle excusologiste, l'explication se tient, en effet. L'avocat de ces sauvages ferait preuve d'un certain panache en les défendant en puisant dans le vocabulaire de la pénibilité au travail. "Putaing M. le juge, après 6h de chouf, z'êtes un peu à cran quand même oh! Faut les comprendre ces jeunes aussi..."
Le principal problème du pays aujourd'hui, c’est la montée de l’islamophobie.
Quand la réalité dépasse la fiction. Le PI, finalement, est encore très très en dessous de la réalité.


« Dans l’après-midi (à la plage), il y a des enfants seuls qui viennent et qui jouent comme des enfants, parfois de façon un peu agressive. Et de temps en temps, il y a quelques ados qui sont à la dérive. » – Patrick Mennucci

« Nous avons des groupes de "jeunes" qui sont livrés à eux-mêmes. Il n’y a plus de centres sociaux. Il n’y a plus de colonies de vacances… » – Patrick Mennucci
Citation
Michel Le Floch
Quand la réalité dépasse la fiction. Le PI, finalement, est encore très très en dessous de la réalité.


« Dans l’après-midi (à la plage), il y a des enfants seuls qui viennent et qui jouent comme des enfants, parfois de façon un peu agressive. Et de temps en temps, il y a quelques ados qui sont à la dérive. » – Patrick Mennucci

« Nous avons des groupes de "jeunes" qui sont livrés à eux-mêmes. Il n’y a plus de centres sociaux. Il n’y a plus de colonies de vacances… » – Patrick Mennucci

Propos abjects puis mensongers. Concernant le gros mensonge sur l'absence de centres sociaux (arrivé au vingtième, j'ai arrêté de compter): [www.marseille.fr]

Il en est un situé en face de l'Institut Paoli-Calmette sur lequel je suis tombé par hasard, alors que je me promenais dans le coin. En passant devant, j'ai - je vous le jure - cru qu'il s'agissait d'une résidence hôtelière!

Pour en revenir au nombre censément insuffisant de haltes-garderies de luxe pour barbares en herbe, peut-être que M. Mennucci veut dire qu'il en faudrait encore plus pour pouvoir y accueillir des effectifs impossibles à maîtriser et dont la taille n'a de cesse d'augmenter.
Citation
Renaud Camus
Le principal problème du pays aujourd'hui, c’est la montée de l’islamophobie.

Au moins (comme on dit dans le Sud).
M. Menucci est vraiment extraordinaire. N'est-ce pas lui qui s'est fait voler sa voiture de fonction, laquelle a ensuite été utilisée pour un braquage ?

A une certaine époque intervenait sur ce forum une dame marseillaise fort aimable et bien renseignée. Elle nous en avait appris de belles sur les élus socialistes du secteur.

Il suffit de regarder la carte électorale de Marseille pour comprendre ce qui se passe : 66% pour Hollande dans le XVème arrondissement !
Sous le pavé de la Seine-Saint-Denis, la plage de Marseille...

Saurez-vous établir le lien entre ceci et cela ?

(Dans la série "les jeux de l'été du P.I." Niveau : facile)
C'est fort simple.

Dans César, Escartefigue dit :

"Un Marseillais, monsieur Brun, s'il voit un chapeau melon sur un trottoir, il ne peut pas se retenir, il shoute".

Or, sous le melon, c'est bien connu, le pavé, et sous le pavé, la plage.


PS (comme dirait M. Menucci, pour les In-Nocents qui ne sont nés après 1920) : le jeu de cacher un pavé sous le chapeau se nomme le trompe-couillon.
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