Communiqué n° 1614, mardi 23 juillet 2013
Sur la surpopulation carcérale
Le parti de l’In-nocence voit avec exaspération reparaître pour un nouveau tour de piste la question absurde de la surpopulation carcérale — absurde, non pas parce que cette surpopulation serait imaginaire, elle n’est que trop réelle au contraire ; mais absurde parce que le problème est éternellement posé en l’absence de toute référence explicite à la situation historique sans précédent qui la conditionne entièrement, à savoir la colonisation de notre pays et le Grand Remplacement. Le changement de peuple est encore plus avancé dans les lieux de détention qu’il ne l’est hors les murs, c’est dire à quel point il y est prégnant. La surpopulation carcérale n’est qu’un reflet très atténué de la sur-nocence des conquérants, et cette sur-nocence est, avec la démographie, un des deux instruments principaux de leur conquête. Il n’y a pas trop de monde dans les prisons, il y a une immigration de masse qui engendre une nocence insupportable pour la population indigène et contre laquelle, à défaut d’expulsion, qui serait infiniment préférable, l’incarcération est le seul recours.