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Communiqué n° 1625 : Sur le coût du resquillage dans les transports en commun
Envoyé par Secrétariat général
| 30 août 2013, 13:31 Communiqué n° 1625 : Sur le coût du resquillage dans les transports en commun |
Communiqué n° 1625, jeudi 29 août 2013
Sur le coût du resquillage dans les transports en commun
Le parti de l’In-nocence apprend sans s’étonner que le coût du resquillage dans les transports en commun est évalué à quatre cents millions d’euros annuels, trois cents pour la SNCF et cent pour la RATP. On voit bien ici comment une nocence insignifiante à l’échelle individuelle et si souvent appelée par euphémisme “incivilité” est une plaie à l’échelle collective. Au-delà des fraudes occasionnelles se dessine le profil du resquilleur systématique, celui que tous les citadins ont déjà vu sauter un tourniquet du métropolitain, scène dont la nocence attente au plus haut point à la paix civile et au calme des villes. Ce fraudeur volontiers sensible, qui selon toute apparence s'estime soustrait de nature à la loi commune quand elle ne lui est pas imposée de force, pourra à l’occasion se faire détrousseur de passagers, ainsi que l’ont montré plusieurs récentes “attaques de diligence” . Enfin, le chiffre, pourtant alarmant puisque c’est d’argent public qu’il s’agit, ne suscite aucun commentaire de la part des responsables de ces institutions. Il est présenté uniquement comme une donnée « relativement stable d’une année sur l’autre », dont il faut prendre son parti — un peu comme celui des véhicules incendiés à l’occasion de la Saint-Sylvestre...
Sur le coût du resquillage dans les transports en commun
Le parti de l’In-nocence apprend sans s’étonner que le coût du resquillage dans les transports en commun est évalué à quatre cents millions d’euros annuels, trois cents pour la SNCF et cent pour la RATP. On voit bien ici comment une nocence insignifiante à l’échelle individuelle et si souvent appelée par euphémisme “incivilité” est une plaie à l’échelle collective. Au-delà des fraudes occasionnelles se dessine le profil du resquilleur systématique, celui que tous les citadins ont déjà vu sauter un tourniquet du métropolitain, scène dont la nocence attente au plus haut point à la paix civile et au calme des villes. Ce fraudeur volontiers sensible, qui selon toute apparence s'estime soustrait de nature à la loi commune quand elle ne lui est pas imposée de force, pourra à l’occasion se faire détrousseur de passagers, ainsi que l’ont montré plusieurs récentes “attaques de diligence” . Enfin, le chiffre, pourtant alarmant puisque c’est d’argent public qu’il s’agit, ne suscite aucun commentaire de la part des responsables de ces institutions. Il est présenté uniquement comme une donnée « relativement stable d’une année sur l’autre », dont il faut prendre son parti — un peu comme celui des véhicules incendiés à l’occasion de la Saint-Sylvestre...
| 30 août 2013, 15:01 Re : Communiqué n° 1625 : Sur le coût du resquillage dans les transports en commun |
Il existe des sites pour "bien frauder", pour indiquer comment "gruger" la SNCF.
Voici un exemple :
[guide.zonard.net]
Il me semble qu'une bonne part des fraudeurs (je suis un usager régulier des transports en commun) appartiennent à la catégorie (puisqu'on aime les catégories) des in-sensibles (sous-catégories des étudiants attardés, des étudiants in-attardés, des refuseurs d'emploi, des vampires du RSA).
D'autre part, certains n'ont pas à frauder, notamment ces groupes de Français bien de souche, gavés d'aides sociales mais non encore repus, qui profitent des déplacements gratuits pour bénéficiaires du RSA que la région Midi-Pyrénées finance, afin de faire le plein (c'est le cas de le dire) d'alcool et de cigarettes en Andorre, pour les revendre à Toulouse.
[www.ariegenews.com]
Il est certes important de s'intéresser aux dits sensibles, mais il serait intéressant de s'intéresser aux fraudeurs et gagne-petits de la rapine "bien de chez nous".
Voici un exemple :
[guide.zonard.net]
Il me semble qu'une bonne part des fraudeurs (je suis un usager régulier des transports en commun) appartiennent à la catégorie (puisqu'on aime les catégories) des in-sensibles (sous-catégories des étudiants attardés, des étudiants in-attardés, des refuseurs d'emploi, des vampires du RSA).
D'autre part, certains n'ont pas à frauder, notamment ces groupes de Français bien de souche, gavés d'aides sociales mais non encore repus, qui profitent des déplacements gratuits pour bénéficiaires du RSA que la région Midi-Pyrénées finance, afin de faire le plein (c'est le cas de le dire) d'alcool et de cigarettes en Andorre, pour les revendre à Toulouse.
[www.ariegenews.com]
Il est certes important de s'intéresser aux dits sensibles, mais il serait intéressant de s'intéresser aux fraudeurs et gagne-petits de la rapine "bien de chez nous".
| 31 août 2013, 11:33 Re : Communiqué n° 1625 : Sur le coût du resquillage dans les transports en commun |
Citation
Jean-Marc du Masnau
Il existe des sites pour "bien frauder", pour indiquer comment "gruger" la SNCF.
Voici un exemple :
[guide.zonard.net]
Il me semble qu'une bonne part des fraudeurs (je suis un usager régulier des transports en commun) appartiennent à la catégorie (puisqu'on aime les catégories) des in-sensibles (sous-catégories des étudiants attardés, des étudiants in-attardés, des refuseurs d'emploi, des vampires du RSA).
D'autre part, certains n'ont pas à frauder, notamment ces groupes de Français bien de souche, gavés d'aides sociales mais non encore repus, qui profitent des déplacements gratuits pour bénéficiaires du RSA que la région Midi-Pyrénées finance, afin de faire le plein (c'est le cas de le dire) d'alcool et de cigarettes en Andorre, pour les revendre à Toulouse.
[www.ariegenews.com]
Il est certes important de s'intéresser aux dits sensibles, mais il serait intéressant de s'intéresser aux fraudeurs et gagne-petits de la rapine "bien de chez nous".
Cher Jean-Marc, quoique ne vous connaissant pas, j'aurais tendance à vous trouver sympathique. Néanmoins, nombre de vos commentaires me laissent perplexe !
Je suis aussi une utilisatrice quotidienne de la RATP et, pour ma part, j'ai constaté que les fraudeurs-sauteurs de tourniquet à la barbe du poinçonneur des Lilas, sont de jeunes sensibles dont on peut saluer la souplesse certaine. Comme quoi, vous voyez que je leur reconnais des qualités.
D'autre part, les articles de presse à ce sujet rapportent la lassitude (euphémisme) des conducteurs de bus de banlieue face aux sensibles qui non seulement ne paient pas leur voyage mais, en plus, les agressent verbalement ou physiquement.
Sur certaines lignes, les contrôleurs n'osent plus contrôler.
En outre, en ce qui concerne les petites arnaques avec l'Andorre, il me semble que c'est un petit trafic lié à la pression des taxes en France. Or, dites-vous, ce sont de "bons" Français qui s'y adonnent. Soit !
Mais qui vous dit sur ce forum que tous les sujets de France seraient des modèles de vertu ?
J'en viens donc à la dernière partie de votre message :
D'autre part, certains n'ont pas à frauder, notamment ces groupes de Français bien de souche, gavés d'aides sociales mais non encore repus, qui profitent des déplacements gratuits pour bénéficiaires du RSA que la région Midi-Pyrénées finance, afin de faire le plein (c'est le cas de le dire) d'alcool et de cigarettes en Andorre, pour les revendre à Toulouse.
[www.ariegenews.com]
Il est certes important de s'intéresser aux dits sensibles, mais il serait intéressant de s'intéresser aux fraudeurs et gagne-petits de la rapine "bien de chez nous".
Je ne peux m'empêcher de lire dans ces phrases une sorte de défense des sensibles et cette défense, à mes yeux, n'a d'autre but que de relativiser leur nocence.
Je vais vous dire pourquoi "s'intéresser aux dits sensibles" me semble plus urgent. C'est plus urgent parce que ces individus sont venus sur le sol de France en tant qu'invités. Ils n'ont en rien participé à l'histoire de ce pays. Ils l'ont choisi pour les avantages qu'ils peuvent y avoir. Or, lorsqu'un pays vous fait des cadeaux (école gratuite, cantine gratuite, logements à loyer modéré, soins gratuits, etc., cette gratuité étant toute relative puisque nous payons des impôts pour la leur garantir), la moindre des choses en retour est de respecter les règles de ce pays et de traiter avec respect les cadeaux qui vous sont donnés.
| 31 août 2013, 13:20 Re : Communiqué n° 1625 : Sur le coût du resquillage dans les transports en commun |
Chère Vera, je relativise en effet, et pour être plus clair, je vais préciser un point.
La France dorlote les fainéants et ne sanctionne pas les asociaux, de quelqu'origine qu'ils soient.
Dès lors, étonnez-vous que les fainéants et associaux nous viennent d'ailleurs : ils seraient stupides de ne pas le faire. Coupez les vivres aux fainéants, et vous verrez qu'il y aura moins d'immigration de prédation, et que ne viendront chez nous que les gens décidés à travailler.
Île semble que l'assistanat et la culture de l'excuse sont sources de nos mots, et qu'on n'en parle pas assez.
La France dorlote les fainéants et ne sanctionne pas les asociaux, de quelqu'origine qu'ils soient.
Dès lors, étonnez-vous que les fainéants et associaux nous viennent d'ailleurs : ils seraient stupides de ne pas le faire. Coupez les vivres aux fainéants, et vous verrez qu'il y aura moins d'immigration de prédation, et que ne viendront chez nous que les gens décidés à travailler.
Île semble que l'assistanat et la culture de l'excuse sont sources de nos mots, et qu'on n'en parle pas assez.
| 31 août 2013, 22:35 Re : Communiqué n° 1625 : Sur le coût du resquillage dans les transports en commun |
Citation
Jean-Marc du Masnau
Chère Vera, je relativise en effet, et pour être plus clair, je vais préciser un point.
La France dorlote les fainéants et ne sanctionne pas les asociaux, de quelqu'origine qu'ils soient.
Dès lors, étonnez-vous que les fainéants et associaux nous viennent d'ailleurs : ils seraient stupides de ne pas le faire. Coupez les vivres aux fainéants, et vous verrez qu'il y aura moins d'immigration de prédation, et que ne viendront chez nous que les gens décidés à travailler.
Île semble que l'assistanat et la culture de l'excuse sont sources de nos mots, et qu'on n'en parle pas assez.
Non, l'assistanat et la culture de l'excuse ( terme à préciser) ne sont pas la source de nos maux en matière d'immigration. Que l'Etat aide certains de ses citoyens me semble assez légitime. Il s'agit de la cohésion nationale. Que le lumpen soit difficilement récupérable, même Français de souche, sans doute, c'est son essence.
Donc, il me semble fou que la France distribue ses allocations diverses à des étrangers. Nous avons bien assez à faire avec nos "petits blancs".
De plus, l'immigration proliférante sert des fins à la fois économiques et politiques, vous le savez fort bien. C'est pour cela que la droite classique n'y a pas mis un terme. Elle arrange aussi la gauche qui en a fait sa clientèle de choix. Rassurez-vous, à Paris, les logement de la Ville ne sont pas attribués aux petits blancs Français et fainéants gavés d'allocations comme vous le dites mais aux familles africaines qui nous enrichissent tant et, en plus, nous égaient la grisaille avec leurs jolis boubous de toutes les couleurs !
Par ailleurs, vous aurez remarqué que quel que soit le modèle social, l'immigration sub-saharienne, généralement musulmane, pose problème dans l'ensemble des pays d'Europe.
Dernier point sur lequel je vous rejoins : je crois que les allocations familiales et la politique nataliste française sont de grossières erreurs qui nuisent à la France. En effet, en Afrique, le taux de natalité est en baisse dans presque tous les pays alors qu'en France, le taux de natalité des Africaines demeure horriblement haut. Ce paradoxe s'explique par le fait qu'elles font des enfants dans le but de toucher de généreuses allocations familiales.
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