Communiqué n° 1638, mardi 1er octobre 2013
Sur la dite “pression migratoire”
Le parti de l‘In-nocence estime que la dite “pression migratoire”, dont on nous informe qu’elle va s'aggravant aux frontières de l’Europe, et telle qu’on nous la montre par exemple à Ceuta et Melilla, témoigne surtout, et avec éclat, de l’absurdité suicidaire de l’Europe et des pays européens, dont la France, face à l’invasion dont ils font l’objet. De prétendus “clandestins”, regroupés par centaines, forcent une frontière qui leur est fermée en se précipitant sur de très hautes grilles d’enceinte, que, par leur nombre, ils renversent. Une fois accompli ce haut fait, qui constitue une violation manifeste du droit des gens et des lois du pays dont ils assaillent les confins, ils deviennent, aussitôt, miraculeusement, intouchables : ce ne sont plus des envahisseurs mais des réfugiés (on ne sait pas de quoi), des demandeurs d’asile, des “sans-papiers”. On croirait un jeu. Jamais au cours de l’histoire nations qui voulaient vivre, ou seulement survivre, n’ont souscrit ou consenti à des lois aussi bizarres, qui ne les autorisent à se protéger que sur la frontière même mais les obligent à s’accommoder de l’invasion à peine est-elle entreprise avec succès, et à en assumer les (considérables) frais. La première urgence est de dénoncer une législation aussi folle.
