Communiqué n° 1679 : Sur la dite “première dame”

Communiqué n° 1679, lundi 13 janvier 2014
Sur la dite “première dame”

Le parti de l’In-nocence proteste une nouvelle fois contre l’obstination des media, y compris ceux du service public, à qualifier de la ridicule appellation de “première dame” Mme Valérie Trierweiler. Cette dénomination est totalement étrangère aux traditions françaises, elle est du pur américain, aussi absurde que la main sur la poitrine de M. Nicolas Sarkozy, naguère, durant les hymnes nationaux, ou que la syntaxe et le vocabulaire de nos prétendues “élites”, qui désormais parlent anglais en français.

Le parti de l’In-nocence estime que l’officialisation subreptice de l’expression de “première dame”, déjà saugrenue pour une épouse de président de la République, devient grotesque et profondément déplacée s’agissant d’une personne qui n’a aucun lien juridique avec le chef de l’État et dont il est scandaleux dans ces conditions qu’elle dispose d’un “cabinet” et qu’elle soit imposée à l’instar d’une épouse aux chefs d’État étrangers, stupéfaits, comme leurs opinions publiques respectives, par cette pratique arbitraire.

Le parti de l’In-nocence serait parfaitement disposé à respecter pleinement la vie privée de M. François Hollande et à mépriser comme ils le méritent les folliculaires qui la traquent. Il ne peut pas ne pas remarquer néanmoins qu’en imposant dans la vie publique et les fonctions officielles une compagne qui n’était pas son épouse c’est l'actuel président de la République qui a contraint les Français et le monde entier à se soucier d’une vie privée dont ils n’avaient que faire.

Je suis très surpris par ce communiqué...

Il y a, dans le cas d'espèce, forcément une "Première dame", puisqu'il est évident, aux yeux de tous, qu'il y en a plusieurs...

Il faut donc que les conquêtes de Coquinou 1er puissent être distinguées les unes de autres...

Si on parle de "la Compagne du président", par exemple, on ne saura pas laquelle, ça dépend des heures...

Croyez-moi, donnons-leur un numéro, ça ira très bien...

Je viens de découvrir que la dame avec lequel le président de la République trompe sa maîtresse possède, au-dessus de la fesse gauche, un tatouage.
Ah, l'élégance à la française ! Quel raffinement ! C'est merveilleux !

Ce semble être une façon d'inscription, peut-être est-ce le type de marquage auquel fait allusion Jean-Marc ; toujours est-il, cher Afchine, que vous êtes bien tâtillon : je préférerais encore largement ce tatouage, comme seule vêture, à la robe, qui vous moule vraiment un fessier de cow-boy, damn...