Communiqué n° 1715, jeudi 22 mai 2014
Sur l’affaire de l’Institut Universitaire de Technologie de Saint-Denis
Le parti de l'In-nocence voit dans la crise qui secoue l’IUT de Saint-Denis une illustration emblématique de la situation du pays en temps de Grand Remplacement : escroquerie aux vacations fictives organisée par M. Rachid Zouhhad, le chef du département “Techniques de commercialisation” de l’IUT, confiscation d’un lieu associatif par certains étudiants pour en faire une salle de prière, tensions suite à l'interruption d'une vente de sandwiches hallal, menaces de mort contre le directeur après la tentative d’assainissement qu’il a menée, et, à présent, agression physique contre lui.
Le parti de l'In-nocence constate que les réactions du complexe médiatico-politique et des autorités universitaires illustrent quant à elle la lâcheté, l’abjection ou la complicité devant le sort qui est fait à notre pauvre pays, le sommet ayant été atteint par l’assemblée générale de la “communauté universitaire de l'IUT”, laquelle réclame un « apaisement médiatique » et condamne « fermement tout amalgame (…) qui stigmatisent [sic] une communauté dans son intégrité et portent [sic] atteinte à la sécurité et au bon fonctionnement de l'institution ». Comme toujours, au lieu de s'attaquer à l'incendie, on se précipite pour essayer d'empêcher les gens de tirer des conclusions générales rationnelles ; au lieu de crier “Au feu !”, on crie “Pas d'amalgame !”, et on laisse la maison brûler.
