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Esodo senza fine verso le coste della Sicilia (La Repubblica)

Envoyé par Francis Marche 
Près de mille Africains par jour abordent Lampedusa ou les côtes de Sicile sur des embarcations de fortune.

[www.repubblica.it]

Ils seront accueillis comme réfugiés (de guerre ? économique ? des dictatures ? peu importe) ou comme "sans-papiers" selon la terminologie française, et pris en charge par les collectivités nationales d'Europe occidentale.

Une considération politique rarement posée au sujet du "sans-papiérisme" à la française, dont la formation politique qui s'en fait le champion en France est celle des Verts.

L'écologie et "la durabilité" s'articulent sur un principe désormais universel, universellement reconnu comme premier par tous ceux qui se préoccupent d'écologie et de pérennisation des équilibres naturels et des équilibres homme-environnement. Ce principe, énoncé en anglais, nourrit les incantations de tous ceux qui, dans l'ensemble du monde, se réclament de cette sensibilité politique, souvent doublée l'alter-mondialisme : Think globally, act locally.

Ce qui veut dire "pensez en termes mondiaux mais agissez à l'échelle de votre localité".

Or les sans-papiers et leurs passeurs, et se joignant à ces deux groupes, leurs soutiens et relais (les fameuses "assoces", Cimade et consort, et bien sûr le parti des Verts) prennent une position rigoureusement antinomique à ce mot d'ordre : ils agissent par pression internationale, intercontinentale, en se transportant d'Afrique en Europe et en imposant leur présence sur un continent qui n'est pas le leur, et ce faisant tournent résolument le dos aux difficultés qui se posent sur place, dans leurs villes et villages d'origine. Si bien que le prescripteur moral qu'est le parti des Verts en Europe, quand il prône l'accueil et la régularisation de "tous les sans-papiers", viole de manière frontale et délibérée ce qui fait le pilier de ses philosophie et posture politico-morales.

Ces gens agissent dans un sens diamétralement opposé aux fondamentaux de la politique qu'ils déclarent être la leur.

Puis ils s'étonnent et s'attristent d'avoir à payer au plein tarif des urnes cette monstrueuse imposture morale et politique. La corruption morale du parti dévot (ici sa branche "écologie"), sa radicale hypocrisie, se situent à ce niveau de profondeur, et contribuent grandement à miner la confiance du peuple de France en cette fausse élite jusqu'à la rupture désormais inévitable.
Utilisateur anonyme
02 juin 2014, 13:45   Re : Esodo senza fine verso le coste della Sicilia (La Repubblica)
Les sophismes des Verts, j'ose le croire, ne convainquent plus grand monde.

Les associations que vous évoquez, en Italie comme à Calais, sont tout juste supportées par les autochtones, fatigués de lire dans la presse qu'ils ne sont que de méchants racistes parce qu'ils n'accueillent pas à bras ouverts ces pauvres gens qui fuient une misère assurée pour trouver un bonheur vendu par les charlatans du parlement européen et par les passeurs, professionnels de la misère humaine qui n'oublient pas que tout est marché, tout est commerce, y compris la détresse et le désarroi de ces malheureux.

Les membres du parti dévot devraient comparaitre sur les mêmes bancs que ces passeurs : ils doivent tous répondre de leur crime, de leur mensonge. D'un côté : venez donc, vous serez bien accueillis ; de l'autre : allez-y donc, le bonheur est assuré.

Malheureusement, quand les peuples français et italien regardent, sur leurs écrans, le débarquement de cette misère, pensez-vous vraiment qu'ils fassent le lien entre cette hypocrisie criminelle et les dégâts causés par l'accueil de ces immigrés désespérés ? Je n'en suis pas certain. Les Verts, comme je l'ai indiqué, arrivent de moins en moins à tromper les peuples, mais les graines qu'ils ont semées dans les esprits, notamment celle de la culpabilité, poussent et empêchent encore ces peuples de dire non et de gifler comme il se doit ce parti de criminels.
Utilisateur anonyme
07 juin 2014, 15:03   Re : Esodo senza fine verso le coste della Sicilia (La Repubblica)
+ 3500.

« Ce qui se passe est hors contrôle et constitue un drame inhumain. La crédibilité des institutions europénnes est vacillante, et nous devons faire face à des chiffres insupportables », a réagi auprès de l'agence italienne ANSA Lillo Firetto, maire d'un des ports siciliens où sont conduits de nombreux immigrés, Porto Empedocle.
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