Enseignement de la culture d'origine

Dans une commune de 10 000 habitants, la fiche de renseignements à remplir pour l'inscription de votre enfant en cours préparatoire vous demande, sous l'espace où vous indiquez vos nom et prénom et date de naissance, votre nationalité et votre date d'arrivée en France. Juste en dessous, on vous demande de cocher "oui" ou "non" pour répondre à la proposition suivante : "Souhaite une enseignement de la langue et de la culture d'origine (si celui-ci peut-être mis en place)".

J'envisage d'écrire au maire pour lui proposer d'enseigner, d'abord, la langue française et la culture française.

C'est drôle, un forum. On est outré par un fait qui signifie quelque chose, car je crois que ce formulaire d'inscription veut dire quelque chose. On soumet son indignation aux in-nocents et rien, le bide, un four (aucune référence à Patrick Bruel NDLA). Mon message n'a donc aucun intérêt ? Moi qui pensais générer une discussion sans fin sur l'enseignement des cultures, des civilisations, des langues et de La langue...

Que ce fil tombe dans les oubliettes de l'In-nocence et qu'un administrateur de bonne volonté veuille bien le supprimer, merci.

C'est-à-dire que cette information est tellement cohérente avec tout ce que nous savons, déplorons et combattons, qu'il n'y a pas grand-chose à ajouter. Cela ne veut dire en aucun cas qu'elle n'est pas intéressante et que nous ne sommes pas reconnaissants qu'elle ait été portée à notre connaissance...

Marcel Meyer a raison, cher Rivoallan. Et puis ces horribles nouvelles nous laissent littéralement sans voix.

Et puis ces horribles nouvelles nous laissent littéralement sans voix.

Voilà. Je voulais partager l'histoire du maire de cette ville truffée de "quartiers populaires", qui, depuis quelques années je crois, récompense d'une prime de plus de 700 E les titulaires du bac ayant obtenu une mention, puis j'ai renoncé. "Tu n'accableras pas ton prochain comme toi-même", me suis-je commandé in extremis.