Communiqué n° 1783, lundi 8 décembre 2014
Sur la politique de logements sociaux à Paris
Le parti de l’In-nocence voit dans les projets de préemptions d'appartements en vue d’en faire des logements sociaux, et cela dans tous les types d’immeubles, tels qu’exposés par Mme Hidalgo, le maire, et par la mairie de Paris, une des plus cyniques et provocatrices entreprises du pouvoir remplaciste. Il y a beau temps que la qualification de “logements sociaux”, nom de code éventé, ne trompe plus personne : il s’agit en fait de logements promis presque exclusivement aux non-indigènes. Le dessein affiché de “promouvoir la diversité” est d’ailleurs parfaitement explicite. Les promoteurs du Grand Remplacement ont déjà fait en sorte que pas une région de France ne lui échappe, pas une ville, pas une zone rurale : ils veulent à présent franchir un pas de plus et s’assurer que pas un immeuble ne puisse servir de protection contre le changement de peuple et de civilisation. Le sinistre “vivre-ensemble” ne peut plus être présenté comme un idéal : il sera donc imposé comme un châtiment et une obligation. L’essentiel est que nul ne puisse espérer s’y soustraire.
